Inspiration

Pensée

a marqué ce sujet comme résolu.

Je pense que Nohar a négligé un facteur décisif.

Comme l’avait remarqué Einstein en son temps, dans ces conditions, je ne peux pas ressentir que je chute. Par contre, comme c’est impossible de respirer dans le vide total, je panique avant de perdre connaissance et de décéder.

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L’avantage du vide total, c’est qu’il ne laisse qu’environ 15 secondes de conscience ce qui permet de trop gamberger sur la mort horrible qui va arriver en moins de 2 minutes.

Donc, la réponse à la question de Lemo est probablement quelque chose comme : « Oh ! Merde… ».

Je ne suis pas négligent, je respecte juste la consigne dans sa globalité : il est peut-être un peu dommage d’oublier l’hypothèse formulée ("et que vous êtes vraiment conscient", d’une façon ou d’une autre) pour esquiver la question… Non ? On suppose déjà qu’on est en train de chuter dans le vide, ce qui est déjà bien compliqué à réaliser sur cette planète à une échelle suffisante pour avoir le temps de formuler une pensée intelligible (a fortiori de perdre connaissance, sans même parler de mourir de l’exposition au vide avant de toucher le sol), alors pourquoi pas imaginer également que l’on est équipé pour rester parfaitement conscient (ce qui est facile en comparaison : les combis pressurisées on sait faire) ? :)

Cela dit je dois respecter la source de mon inspiration en terminant ma citation : "… Mais l’important, c’est pas la chute, c’est l’atterrissage." (La haine, de Mathieu Kassovitz).

Et aussi, jouer le jeu en proposant une seconde réponse plus personnelle : "La vache ! Ce qu’il fait chaud sous ce casque !"

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