Le lâcher-prise : la gestion du stress

Prendre conscience de soi et vivre le moment présent

a marqué ce sujet comme résolu.

Malheureusement, ce tutoriel qui était en bêta a été supprimé par son auteur.

Bonjour,

Je souhaite votre avis sur le début de ce cours avant de continuer, j’ai essayé de le faire généraliste (sans aucune orientation sur une situation quelconque ou de croyance).

L’introduction, la première partie, et le début de la deuxième partie sont finis.

Je voudrais votre avis sur le contenu, dont les points suivants :

  • L’utilisation de « nous » (1ère personne du pluriel) est-elle adaptée ? J’ai eu peur en utilisant vous/tu de transmettre le message « je sais tout et vous rien ».
  • Mes explications sont-elles assez claires ?
  • J’utilise uniquement l’exemple d’un boulanger, ce qui fait que j’oriente mon tutoriel. Ceci vous dérange lors de la lecture ?
  • L’introduction et la première partie vous donnent-elles envie de lire le tutoriel ou de fermer la page ?
  • Un avis sur l’icône ?
    icône

Je vous remercie pour votre retour. :)


Tout le monde se secoue ! :D

J’ai commencé (samedi 19 novembre 2016 à 14h49) la rédaction d’un tutoriel au doux nom de « Le lâcher-prise » et j’ai dans l’objectif de proposer en validation un texte aux petits oignons. Je fais donc appel à votre bonté sans limites pour dénicher le moindre pépin, que ce soit à propos du fond ou de la forme. Vous pourrez consulter la bêta à votre guise à l’adresse suivante :

Merci !

+3 -0

Salut,

Quelques remarques :

Si nous regardons autour de soie

C’est doux la soie ^^ . En plus de la faute, ne serait-il pas plus logique d’écrire : si nous regardons autour de nous ?

Nous avons tous pu constater deux types de personnes opposés du tout au tout.

Peut être un peu trop brutal ? Je verrais bien cette phrase et les suivante plus sous la forme d’une ou deux questions : "Avez vous déjà rencontré des gens qui vous donne l’impression que leur vie est un fardeau ? Et à l’inverse, bla bla bla."

J’aurais aimé rencontrer plus de sources et/ou de liens externes pour ouvrir le spectre de tes propos. A voir quand la rédaction sera plus avancée ?

Bonne continuation.

Salut,

Quelques remarques :

Si nous regardons autour de soie

C’est doux la soie ^^ . En plus de la faute, ne serait-il pas plus logique d’écrire : si nous regardons autour de nous ?

Anto59290

A vrai dire j’hésite entre soi et nous. J’ai mi "soi" pour appuyer l’individualisme, mais je ne sais pas si c’est grammaticalement correct

Nous avons tous pu constater deux types de personnes opposés du tout au tout.

Peut être un peu trop brutal ? Je verrais bien cette phrase et les suivante plus sous la forme d’une ou deux questions : "Avez vous déjà rencontré des gens qui vous donne l’impression que leur vie est un fardeau ? Et à l’inverse, bla bla bla."

Anto59290

Je te remercie, c’est une très bonne remarque je garde ce conseil en tête.

J’aurais aimé rencontrer plus de sources et/ou de liens externes pour ouvrir le spectre de tes propos. A voir quand la rédaction sera plus avancée ?

Anto59290

Pour les sources ils faut compter sur des livres. Les sites internet sont souvent orientés commercialement, religieusement ou sectaire, de plus ils ne donnent aucune source sur leur propos.

+0 -0

Salut,

Tout d’abord, merci pour ce tutoriel.

Forme

on nous apprend rarement ce que c’est le bien-être et le lâcher-prise

dans mon oreille, ce qu’est le ou qu’est-ce que le sonnerait mieux.

Gardons l’exemple d’un boulanger possédant quatre boulangeries dans des villes différent, s’il souhaite contrôler lui-même la vente et la cuisson du pain plusieurs fois par jour de chacune des boulangeries. Ses déplacements seront continuels, ce qui modifiera le cœur de son métier.

Gardons l’exemple d’un boulanger possédant quatre boulangeries dans des villes différentes. S’il souhaite contrôler lui-même la vente et la cuisson du pain plusieurs fois par jour de chacune des boulangeries, ses déplacements seront continuels, ce qui modifiera le cœur de son métier.

il ira faire plusieurs allers-retours

fera

Ces situations de contrôle absolu, où nous prenons les choses à cœur, peuvent être génératrices de stress menant à des symptômes physiques, émotionnels et/ou comportementaux. Constaté par la présence d’un stress qui nous empêche d’agir avec nos pleines facultés. Soit par un réflexe d’autodéfense, soit par une réaction créée par le stress ou à une perception négative de la réalité.

Je ne comprends pas ce paragraphe, parce que j’ai du mal à saisir la jointure entre les phrases.

Toutefois avant de prendre une décision pour corriger à un problème. Il est nécessaire d’avoir un fil d’Ariane, une représentation correcte de la situation et des objectifs à atteindre, de telles manières à avoir une analyse correcte sur la situation, ainsi que des actions à mener.

Toutefois avant de prendre une décision pour corriger un problème, il est nécessaire d’avoir un fil d’Ariane, une représentation correcte de la situation et des objectifs à atteindre, de manière à avoir une analyse correcte sur la situation, ainsi que des actions à mener.

Pour être capable de lâcher-prise, il est essentiel de se poser les bonnes questions, en effet la prise de conscience ne suffit pas.

Pour être capable de lâcher-prise, il est essentiel de se poser les bonnes questions. En |effet, la prise de conscience ne suffit pas.

La prise de conscience de soi

Pour être capable de lâcher-prise, il est essentiel de se poser les bonnes questions, en effet | la prise de conscience ne suffit pas. Une mauvaise représentation de soi peut avoir des résultats | contraires à vos attentes, des résultats catastrophiques qui au lieu de vous détacher des liens générateurs de stress, vous en créent de nouveau.

Je modifierai le sous-titre par "Se poser les bonnes questions" ou un truc comme ça du coup, parce que c’est assez ambigu avec le sous-titre précédent, à savoir "Être conscient". Et puis, ça porte à confusion avec la phrase "en effet la prise de conscience ne suffit pas"

Fond

C’est un sujet intéressant.

L’utilisation de « nous » (1ère personne du pluriel) est-elle adaptée ? J’ai eu peur en utilisant vous/tu de transmettre le message « je sais tout et vous rien ».

Oui, c’est une bonne idée.

Mes explications sont-elles assez claires ?

Là, je dirais que ça dépend, mais c’est aussi peut-être la structure des phrases qui veut ça. À voir ce que peuvent en penser les autres. Mais je vous encourage à ne pas tomber dans l’analyse trop scientifique (un minimum tout de même pour que les choses ne tombent pas comme des vérités générales), mais c’est typiquement le genre de sujet qui doit être accessible.

J’utilise uniquement l’exemple d’un boulanger, ce qui fait que j’oriente mon tutoriel. Ceci vous dérange lors de la lecture ?

Personnellement, non.

L’introduction et la première partie vous donnent-t-elles envie de lire le tutoriel ou de fermer la page ?

Globalement, oui.

Un avis sur l’icône ?

Pour moi, elle n’est pas très parlante.

Bonne continuation. :)

+0 -0

Salut,

  • L’utilisation de « nous » (1ère personne du pluriel) est-elle adaptée ? J’ai eu peur en utilisant vous/tu de transmettre le message « je sais tout et vous rien ».

J’aime bien le « nous » en général (ça rapproche du lecteur, mais laisse une certaine distance je trouve), et pour ton sujet, je pense qu’il est bien adapté.

  • Mes explications sont-elles assez claires ?
  • J’utilise uniquement l’exemple d’un boulanger, ce qui fait que j’oriente mon tutoriel. Ceci vous dérange lors de la lecture ?

L’exemple du boulanger est une bonne idée et aide les explications. En plus, ça rend la lecture assez agréable (mais là, c’est assez personnel) puisqu’on a presque l’impression de suivre une histoire.

  • L’introduction et la première partie vous donnent-t-elles envie de lire le tutoriel ou de fermer la page ?

L’introduction est bonne et remplit globalement son rôle, même si elle peut être améliorée (peut-être déplacer la définition de l’inné après la question pour d’abord demander si on doit se limiter à trois mois de bonheur, puis dire que même si certains semblent avoir un don inné pour le bonheur, on peut quand même devenir heureux en effectuant un travail sur soi).

  • Un avis sur l’icône ?

Elle n’illustre pas trop le sujet. Peut-être faudrait-il une image comme celles que l’on retrouve sur certains livres de développement personnel (quelqu’un d’heureux, de la verdure, etc.).

En tout cas merci pour le tutoriel, j’attends de voir la suite.

+0 -0

Ces situations de contrôle absolu, où nous prenons les choses à cœur, peuvent être génératrices de stress menant à des symptômes physiques, émotionnels et/ou comportementaux. Constaté par la présence d’un stress qui nous empêche d’agir avec nos pleines facultés. Soit par un réflexe d’autodéfense, soit par une réaction créée par le stress ou à une perception négative de la réalité. Je ne comprends pas ce paragraphe, parce que j’ai du mal à saisir la jointure entre les phrases.

Smokiev

Je suis dans le même cas, je ne comprends pas ce que j’ai écrit. :lol: J’ai modifié plusieurs fois ce passage, les versions précédentes ont aussi un problème de structure :

Ces situations peuvent être générateur de stress menant à symptômes physiques, émotionnels et comportementaux menant à une fatigue qui génère une perception négative de la réalité et provoque la difficulté à se concentrer.

Et :

Ces situations de contrôle absolu peuvent être génératrices de stress menant à des symptômes physiques, émotionnels et comportementaux. Nous apportant un stress qui nous empêche d’agir avec nos pleines facultés. Soit par un mécanisme d’autodéfense de, soit par une réaction créée par le stress ou à une perception négative de la réalité. Ce qui nous empêche de prendre des décisions de peur qu’un événement se produise.

Je vais jeter ce paragraphe et le réécrire, j’ai trop surenchéri. Je constate aussi que j’essaye d’être un peu trop précis, ce qui provoque un problème de structure.


  • L’introduction et la première partie vous donnent-elles envie de lire le tutoriel ou de fermer la page ?

L’introduction est bonne et remplit globalement son rôle, même si elle peut être améliorée (peut-être déplacer la définition de l’inné après la question pour d’abord demander si on doit se limiter à trois mois de bonheur, puis dire que même si certains semblent avoir un don inné pour le bonheur, on peut quand même devenir heureux en effectuant un travail sur soi).

Karnaj

Merci très bonne remarque, je trouvais la question mal placée et j’hésitais à la supprimer. Sur le coup, je n’ai pas pensé à la mettre au-dessus de ce paragraphe. Je me sens bête. :lol:

+0 -0

Bonjour,

Je voulais savoir si en plus de la diminution du stress, il y avait d’autres avantages au lâcher prise ? (je trouve que cela manque dans la première partie)

Je souhaiterais aussi connaitre les solutions qui vont être présenté dans la seconde partie.

Quand j’en entends parler, je me pose la question des limites du lâcher prise lorsque nous sommes aux prises avec notre environnement familial, pro etc.

J’ai appliqué les changements à tête reposé. Par contre pour la question de l’introduction, si je la met avant le paragraphe, ça m’oblige à reformuler la question.


Bonjour,

Je voulais savoir si en plus de la diminution du stress, il y avait d’autres avantages au lâcher prise ? (je trouve que cela manque dans la première partie)

banco29510

Très bonne remarque, je pense avoir oublié de définir le terme "générateur de stress", que j’utilise pour cibler tout ce qui ne va pas. Et pas seulement le stress en lui même. Je vais essayer de trouver un autre terme/champ lexical pour ne pas provoquer de confusion.

Je souhaiterais aussi connaitre les solutions qui vont être présenté dans la seconde partie.

Quand j’en entends parler, je me pose la question des limites du lâcher prise lorsque nous sommes aux prises avec notre environnement familial, pro etc.

banco29510

(Ça serait plutôt en troisième partie)

Je garde ma réponse pour plus tard, pour ne pas vous influencer lors de la lecture de cette troisième partie. :p

Je continue à rediger tranquillement le cours. Par contre j’ai des doutes sur mes exemples, je voudrais que le lecteur se rattache à l’exemple/personnage.

Je pense que mon choix des exemples n’est pas judicieux, et je ne suis pas sûr de connaître les méthodes d’écriture qui permettent aux lecteurs de rentrer dans la peau du personnage/exemple.

A moins d’écrire mes propres expériences, j’avais fais en sorte de ne pas citer des situations que j’avais vécu.

J’ai mis à jour le tutoriel : J’ai continué la rédaction, j’ai réécris l’introduction et la première partie. Que pensez-vous du contenu actuel (je dois encore rédiger le reste) ? (J’ai pu glisser des fautes, je ferrais la relecture plus tard).

NB : Ne prenez pas compte des listes à puce à la fin, c’est un pense bête pour moi.

+1 -0

Salut !

J’ai fais une première lecture rapide, personnellement je trouve ce contenu très intéressant et très bien rédigé. Je suis justement entrain de lire « Le développement de la personne » de Carl Rogers, il y a pas mal d’éléments en commun je trouve. Mais je n’aurai pas beaucoup de critiques intéressantes à apporter…

Notre cerveau est conçu pour se remémorer des événements douloureux. Cette capacité de notre cerveau nous permet de forger notre expérience, notre conscience et notre survie. Face à ces remémorations, il est important d’adopter une maîtrise de soi pour ne pas se laisser déborder par ce flot de souvenirs. L’absence de maîtrise de soi peut générer du stress menant à des symptômes physiques, émotionnels et comportementaux menant à une fatigue.

Juste, ceci m’évoque une suggestion : ça pourrait être intéressant de mettre un petit bloc pour bien différencier ceci du syndrome de stress post-traumatique. Un grand nombre de personnes sont concernées sans le savoir et ça me semble important qu’elles prennent conscience que ce n’est pas juste un « stress normal », et qu’un psy peut les aider à le gérer.

Voilà voilà, désolé c’est très succinct. Bon courage ! :)

+0 -0

Bonjour, tout d’abort merci à toi de venir tenter de partager des connaissances, j’ai personnellement beaucoup de mal avec le développement personnel, mais pour une fois c’est agréable de voir quelqu’un venir en parler sans essayer de vendre quelque chose ….

Je vais soulever les points que je trouve les plus problématiques :

  • Tu as tendance à presenter la plupart de tes propos comme des vérités indiscutables, c’est extrêmement problématique, ça rejoint le côté parareligieux du développement personnel, qui nous apprend la sainte vérité alors sur des sujets qui sont depuis des siècles discuter par toutes sortes de philosophe.
  • L’expression "Le lâcher prise" me semble problématique puisque si j’ai bien compris ça consiste à combattre ses idées noires, ce qui donne des choses étranges comme "il faut lutter pour lâcher prise".
  • Les phrases de ce genre me pose problèmes : "Soyons claires, ressasser le passé ou planifier des situations futures est inutile. Seul le présent compte, sortez de votre tête et vivez le moment présent."

    • Ce n’est pas à toi de déterminer ce qui doit compter pour les gens, ce genre de phrase je trouve qu’elle entre en totale contradiction avec l’injonction à choisir ce vrai désir, tu ne trouve pas ?

Voilà, j’espère que tu ne prendras pas mal la critique, certains aspects sons plutôt sympathiques mais d’autres clairement sont à mon gout à revoir pour être digne d’un article de "partage de connaissance".

Je n’ai pas lu tout le tuto, ayant du mal avec le ton parareligieux (comme dit par Shevek). Notamment :

"Le stress a la même manie que le dialogue intérieur, il apparaît sans notre permission. Stoppons-le dès qu’il apparaît."

Je ne suis tellement pas d’accord avec ça. Contrôlons le serait bien meilleur. Lorsque que le corps se met en réponse combat-fuite (quand il génère de l’adrénaline car il pense qu’il y a danger, mais qu’il n’en est pas encore sur): c’est rarement pour rien.

Ainsi, le stress donne une source d’énergie non-négligeable. Par exemple :

  • A la veille de monter sur scène, les artistes naviguent sur le stress. Ils ne veulent pas le faire disparaître : ils leur donnent de l’énergie en plus pour être au mieux de soi-même.
  • Lors de concours (pour parler de mon expérience personnelle) : sans le stress je ne m’en serais jamais aussi bien sorti durant le concours. Il m’a permis d’écrire plus vite, d’être mieux concentré, etc …
  • Ou même quand tu traverses et qu’une voiture te fonce dessus : sans l’adrénaline (et sa version dans la durée : le stress), tu ne pourrais jamais ne serait-ce qu’espérer éviter la voiture.

Bref, j’ai l’impression que tu as une version manichéenne des fonctionnements de protection du corps humains tels qu’acquis au cours de son évolution. Et ça m’embête.

Ce qui m’embête encore plus, c’est que j’ai l’impression de voir en ce tutoriel une germe d’Eckhart Tolle, alors même qu’un tutoriel, c’est un "partage de connaissance" et non pas de croyances.

+0 -0

Bonjour, merci des retours, comment puis-je adapter le ton ? En présentant mes propos comme des notions de probabilité forte que de vérité ? A vrai, dire je ne sais pas comment inculquer/partager/enseigner une culture à une personne qui en a déjà une, j’ai l’impression qu’il y aura toujours un rapport de force et paraître comme une religion.

@lhp22 A partir de quel moment le remarques-tu ?

+0 -0
Ce sujet est verrouillé.