Pourquoi la moutarde nous monte-t-elle au nez ?

Physiologie humaine et chimie de la moutarde

a marqué ce sujet comme résolu.

Tout le monde se secoue ! :D

J’ai commencé (il y a 11 heures) la rédaction d’un article au doux nom de « Pourquoi la moutarde nous monte-t-elle au nez ? » et j’ai pour objectif de proposer en validation un texte aux petits oignons. Je fais donc appel à votre bonté sans limites pour dénicher le moindre pépin, que ce soit à propos du fond ou de la forme. Vous pourrez consulter la bêta à votre guise à l’adresse suivante :

Merci !


Je fais de la moutarde chez moi, et j’ai été curieux de savoir pourquoi et comment ça marche exactement. J’ai appris des choses intéressantes et je me suis dit que je pouvais en faire un article.

Pour l’instant, c’est très brouillon. J’attends des retours sur le principe de l’article et sa progression.

Pour tout ce qui peaufinement, il faut encore que je le fasse. En particulier, il faut que je vérifie tout ce que j’affirme pour éviter de dire des bêtises. Pas la peine de passer là-dessus pour le moment.

+7 -0

Bonjour les agrumes !

La bêta a été mise à jour et décante sa pulpe à l’adresse suivante :

Merci d’avance pour vos commentaires.


J’ai avancé un peu. Je pense avoir presque toutes les images dont j’ai besoin. J’ai collecté pas mal d’articles.

Je me suis rendu compte que trouver les bons mots-clés sur un sujet aussi éloigné de mes habitudes est très dur. Mais au moins maintenant, je connais les noms latins de toutes les variétés de moutarde !

La partie « Comment la moutarde monte au nez > La sinigrine » est rédigée (à part les sources, mais c’est un peu fastidieux :D). Je pense que ces quelques paragraphes peuvent être relus.

Je continue sur le reste.

+0 -0

Bonjour les agrumes !

La bêta a été mise à jour et décante sa pulpe à l’adresse suivante :

Merci d’avance pour vos commentaires.


J’ai réussi à sourcer les affirmations les plus importantes et atteindre un statut de candidat à la publication.

Il reste encore un peu de poussière dans les coins, mais je vais déjà proposer ça en validation pour voir ce qu’ils en disent.

+0 -0

Bonjour,

J’ai été dépêché ici par mon compatriote @Taurre pour venir faire des commentaires afin d’aider la validation :pirate:

Tout d’abord: très chouette article :)

Niveau scientifique, je n’ai pas grand chose à redire, si ce n’est que je me suis demandé pendant tout l’article, "oui, mais pourquoi?". Selon moi, l’explication que tu donnes (en conclusion) devrait arriver plus tôt et n’est pas tout à fait claire (selon moi): de ce que j’en ai compris, myrosinase et glucosinolate sont stockés à des endroits séparé. Si jamais un mammifère (ou nous) venions à croquer dans les graines, on induirait la formation de thiocyanate, en rassemblant les deux au même endroit (typiquement, la bouche). C’est donc tout bêtement un mécanisme de défense (source). Et en tout les cas, je remonterais ça dans la section "origine des molécules actives" ;)

Niveau pédagogique, je rajouterai l’une ou l’autre explication sur les points suivants:

  • Les acides aminés (c’est quoi et à quoi ça sert), vu que ta molécule est dérivée d’un acide aminé (je pense que tu peux simplifier l’explication de la synthèse du glucosinolate en "on part d’un acide aminée, on lui colle un sucre et on modifie la partie que tu as appelé génine") ;
  • La différence avec les dérivés de type pipéridine (poivre) ou capsaïcine (piment). Si je suis bien (mais ça fait loin), elles aussi induisent le mécanisme de pseudo-chaleur.
  • Éventuellement, détailler que ce mécanisme de pseudo-chaleur n’est que l’activation des récepteurs de température de nos papilles gustatives.
  • J’ai l’impression que tu mets plus de source que nécessaire. Typiquement, pour la synthèse du glucosinolate, j’ai trouvé que celle la dernière source (celle-là) suffisait, surtout que certaines de tes sources ne sont pas accessibles pour le commun des mortels. Et quitte à ne mettre que le titre, fait le partout :) (c’est pas un article scientifique, après tout).

Voilà voilà :)

PS: question cohérence et français, je veux bien te refaire le schéma de synthèse du thiocyanate :)

+0 -0

Bonjour les agrumes !

La bêta a été mise à jour et décante sa pulpe à l’adresse suivante :

Merci d’avance pour vos commentaires.


Bon, j’ai eu le temps de m’y coller.

Selon moi, l’explication que tu donnes (en conclusion) devrait arriver plus tôt et n’est pas tout à fait claire (selon moi): de ce que j’en ai compris, myrosinase et glucosinolate sont stockés à des endroits séparé. Si jamais un mammifère (ou nous) venions à croquer dans les graines, on induirait la formation de thiocyanate, en rassemblant les deux au même endroit (typiquement, la bouche). C’est donc tout bêtement un mécanisme de défense (source). Et en tout les cas, je remonterais ça dans la section "origine des molécules actives" ;)

J’ai du mal à comprendre ce que tu voudrais déplacer exactement et où. Tu pourrais détailler plus ?

  • Les acides aminés (c’est quoi et à quoi ça sert), vu que ta molécule est dérivée d’un acide aminé (je pense que tu peux simplifier l’explication de la synthèse du glucosinolate en "on part d’un acide aminée, on lui colle un sucre et on modifie la partie que tu as appelé génine") ;

J’ai changé un peu, dis-moi ce que t’en penses.

  • La différence avec les dérivés de type pipéridine (poivre) ou capsaïcine (piment). Si je suis bien (mais ça fait loin), elles aussi induisent le mécanisme de pseudo-chaleur.
  • Éventuellement, détailler que ce mécanisme de pseudo-chaleur n’est que l’activation des récepteurs de température de nos papilles gustatives.

J’ai réorganisé un peu et j’ai un paragraphe qui parle brièvement de ça.

  • J’ai l’impression que tu mets plus de source que nécessaire. Typiquement, pour la synthèse du glucosinolate, j’ai trouvé que celle la dernière source (celle-là) suffisait, surtout que certaines de tes sources ne sont pas accessibles pour le commun des mortels. Et quitte à ne mettre que le titre, fait le partout :) (c’est pas un article scientifique, après tout).

Je laisse mon excès de source, parce que j’ai pioché dans mal de truc et que je suis un peu mauvais en recherche bibliographique. Par contre j’ai harmonisé en ne laissant que les titres.

Je t’ai mis les images (et la source, pour moi les modifier si jamais tu as des demandes)

pierre_24

Alors, le rendu est un peu étrange, on dirait qu’il est passé par du JPG (flagrant autour du texte). Tu sais ce qui cause ça et si c’est possible d’avoir mieux facilement ? Ce que j’avais récupéré de Wikipédia était en svg, et c’est vraiment l’idéal. Je voudrais pas abuser de ton aide, mais là j’ai mal aux yeux. ^^

Artefacts JPG
Artefacts JPG
+0 -0

Pour les images … C’est ChemDraw qui fait des bétises (en fait, moi, je travaille en PDF pour les molécules, comme ça j’ai facile à les inclure en LaTeX). J’ai mis à jour les documents dans le lien, tu as le SVG (qui, pour une raison qui m’est inconnue, n’a le rendu correct que dans Inkscape) et le PNG sans artefact :)


Bon, j’ai eu le temps de m’y coller.

Cool <3

J’ai du mal à comprendre ce que tu voudrais déplacer exactement et où. Tu pourrais détailler plus ?

Eh bien l’explication concernant l’existence des molécules en question comme mécanisme de défense contre mammifères et insectes devrait pour moi être déplacée de la conclusion à la section "origine de ces molécules".

  • Les acides aminés (c’est quoi et à quoi ça sert), vu que ta molécule est dérivée d’un acide aminé (je pense que tu peux simplifier l’explication de la synthèse du glucosinolate en "on part d’un acide aminée, on lui colle un sucre et on modifie la partie que tu as appelé génine") ;

J’ai changé un peu, dis-moi ce que t’en penses.

Ok ;)

  • La différence avec les dérivés de type pipéridine (poivre) ou capsaïcine (piment). Si je suis bien (mais ça fait loin), elles aussi induisent le mécanisme de pseudo-chaleur.
  • Éventuellement, détailler que ce mécanisme de pseudo-chaleur n’est que l’activation des récepteurs de température de nos papilles gustatives.

J’ai réorganisé un peu et j’ai un paragraphe qui parle brièvement de ça.

ça me semble bien :)

  • J’ai l’impression que tu mets plus de source que nécessaire. Typiquement, pour la synthèse du glucosinolate, j’ai trouvé que celle la dernière source (celle-là) suffisait, surtout que certaines de tes sources ne sont pas accessibles pour le commun des mortels. Et quitte à ne mettre que le titre, fait le partout :) (c’est pas un article scientifique, après tout).

Je laisse mon excès de source, parce que j’ai pioché dans mal de truc et que je suis un peu mauvais en recherche bibliographique. Par contre j’ai harmonisé en ne laissant que les titres.

Aabu

Ok :)


Bref, pour moi c’est bon, une fois les nouvelles images incluses. Je laisse à la validation le soin de régler les derniers détails qui m’auraient échappés.

Bonjour les agrumes !

La bêta a été mise à jour et décante sa pulpe à l’adresse suivante :

Merci d’avance pour vos commentaires.


Pour les images … C’est ChemDraw qui fait des bétises (en fait, moi, je travaille en PDF pour les molécules, comme ça j’ai facile à les inclure en LaTeX). J’ai mis à jour les documents dans le lien, tu as le SVG (qui, pour une raison qui m’est inconnue, n’a le rendu correct que dans Inkscape) et le PNG sans artefact :)

Aucun soucis si le rendu n’est bon qu’avec Inkscape ; c’est mon outil de prédilection pour les SVG.

J’ai pu mettre jour les images. Merciiiiiiii. <3

Eh bien l’explication concernant l’existence des molécules en question comme mécanisme de défense contre mammifères et insectes devrait pour moi être déplacée de la conclusion à la section "origine de ces molécules".

pierre_24

OK, j’ai fait ça aussi, en créant un nouveau titre dans la section.

J’en ai profité pour répondre pour de vrai à la question posée en introduction à propos du raifort et du wasabi, ce que j’avais oublié. :D

+0 -0
Ce sujet est verrouillé.