(d'avance desole si ce post est bizarre, je fais ca sur un nav' textuel uniquement pour tester)
C'est pas un drame. Tu n'as pas peur de de la ligne de commande ? Bon alors ca ira .
Plus serieusement il faut que je me redocumente un peu sur un bootloader sympas que j'avais vu pour l'UEFI (qui est dans la suite syslinux), et apres on devrait pouvoir rouler.
Bonne journee
(EDIT : et bah j'arrive a poster sur un nav' qui fait uniquement de l'html - meme pas de css - . Chapeau ZDS !)
EDIT 2 : Ca y est je crois que je tiens un truc. Il faut que tu ais les partitions types UEFI sur ton DDE (la fat32 flag boot, la 2e en ext4 …),
et que tu installes ubuntu sur la partoche en ext4 sans installer de bootloader . Ensuite il te faut un LiveCD d'archlinux (ça peut être gentoo ou autre, mais archlinux je connais)
Avant toute chose, on passe le clavier en azerty. Une fois booté sur le LiveCD, tu tapes:
Après ça, il faut que tu montes la partition fat32 de ton DDE dans un dossier, par exemple /mnt, via la commande:
| mount /dev/partition /mnt
|
Avec partition qui correspond à un truc du genre sdb1, sdc2, …
Pour repèrer la partition en question,
fait un ls /dev | grep sd
, avant et après avoir branché le DDE.
Tu devrais avoir un changement qui porte sur 3 fichiers :
- /dev/sd[une lettre] : le DDE entier
- /dev/sd[même lettre]1 : la première partition, normalement celle en FAT32
- /dev/sd[même lettre]2 : la 2nde, normalement celle en ext4
La partition
dans la commande mount sera donc sd[même lettre]1
. Si c'est bien le cas, après la commande mount, si tu fais:
Tu ne devrais rien avoir. C'est normal, elle a été formatée et rien n'a été fait dessus …
Ensuite, on va recréer une arborescence de type UEFI sur cette partition:
| mkdir /mnt/EFI; mkdir /mnt/EFI/Boot
|
Et enfin on installe gummiboot:
| gummiboot --path=/mnt install
|
Ensuite, on va créer les fichiers de conf de gummiboot, et avant ça son arborescence:
| mkdir /mnt/loader; mkdir /mnt/loader/entries
|
Puis la conf :
on va utiliser un bête editeur de texte: nano. Au cas où tu stresserais, rappel est fait que c'est Ctrl-X pour quitter et Ctrl-O pour enregister (c'est marqué en bas de toute façon).
1er fichier : la conf du menu:
| nano /mnt/loader/loader.conf
|
Dedans, tu tapes:
2e fichier : charger ubuntu.
| nano /mnt/loader/entries/ubuntu.conf
|
Dedans, tu tapes:
| title Ubuntu
linux [noyau]
initrd [initrd]
options root=PARTUUID=[root] rw
|
Pour l'instant, [noyau], [initrd] et [root] sont à laisser vide, je rééditerais mon post (s'il est toujours dernier) pour complèter la configuration, il faut que je revois rapidement le schéma d'organisation d'ubuntu sur son noyau.
EDIT 3 : Reprenons.
Pour faire une architecture portable, comme tu le souhaite, on va utiliser l'identifiant unique de la partition système d'ubuntu. Avec une table GPT, c'est le partuuid. Pour l'avoir:
| blkid -s PARTUUID -o value /dev/partition
|
Fort logiquement, la partition ici est sd[même lettre]2 . Ca va rendre une suite improbable de caractères. Tu remplaces [root] par ça.
Ensuite, il faut mettre le noyau ubuntu dans la 1ere partition, où se trouve gummiboot.
Je signale que j'ai ici un ancien ubuntu (10.04), et que les choses ont peut-être changées, mais ça m'étonnerait.
Première étape : monter la partition système. On va lui créer un dossier rien que pour elle (parce qu'elle le vaut bien ).
| mkdir /ubuntu
mount /dev/partition /ubuntu
|
partition
étant la même que celle juste au dessus.
Maintenant, en faisant:
Tu as un système UNIX complet, avec boot, dev, home, bin, usr, etc …
Maintenant, on va repèrer les fichiers qu'il nous faut:
Là, sur mon vieil ubuntu, j'ai:
- abi-NOYAU-generic
- config-NOYAU-generic
- initrd.img-NOYAU-generic
- System.map-NOYAU-generic
- vmcoreinfo-NOYAU-generic
- vmlinuz-NOYAU-generic
Où NOYAU se compose de 4 nombres :
Majeure.mineure.publication-modification
.
En fait, tu adaptes à ce que tu as, tu n'as peut-être pas les mêmes fichiers, mais tu as au moins l'initrd et le vmlinuz, sinon c'est que tu as un problème.
De toute façon après, on va copier tout les fichiers qui contiennent NOYAU.
Comme ça fait déjà pas mal de fichier,
on va se créer un petit dossier dans la fat32, pour éviter de mettre le boxon partout:
Ensuite, on copie:
| cp /ubuntu/boot/*NOYAU* /mnt/ubuntu
|
Bien entendu, il faut remplacer NOYAU par sa valeur, pas taper textuellement NOYAU
et se demander pourquoi ça ne fait rien … (on ne sait jamais)
2e remarque débile : il faut absolument recopier les *
autour de NOYAU. Sinon même résultat.
Si tout s'est bien déroulé, en faisant
Tu retrouve tes petits fichiers du noyau.
Maintenant, étape finale, on va enfin finir notre configuration:
tu remplaces [initrd] par /ubuntu/initrd.img-NOYAU-generic (en fait le fichier dont le nom commence par initrd), et [noyau] par /ubuntu/vmlinuz-NOYAU-generic (en fait le fichier qui commence par vmlinuz).
Et là normalement on y est !
Ce qui va se faire:
Si tout se passe bien, ton UEFI va démarrer, regarder ton DDE, et lancer gummiboot. Celui-ci va créer un menu selon ce qu'il a dans loader.conf et dans les fichiers .conf du dossier entries.
Il va faire une ligne de menu par fichier dans entries. Tu auras donc (normalement) seulement ubuntu, plus éventuellement les trucs du genre efishell etc …
Quand tu vas séléctionner Ubuntu, il ne va pas charger le noyau, l'initrd et passer les options comme ça. Gummiboot n'est pas un bootloader, c'est un bootmanager : son unique fonction est de permettre de choisir un bootloader, qui va ensuite faire le travail.
Le bootloader ici, c'est le noyau. En effet, depuis la 12.10 (si mes infos sont exactes), tout les noyaux ubuntu intègrent le petit bootloader UEFI du noyau linux. C'est donc lui qui va charger l'initrd, et passer les options au noyau, en l'occurence lui-même.
Tout ça, déjà pour ta culture, mais aussi pour te dire que si ça ne marche pas, il y a un plan B, en utilisant un "vrai" bootloader entre gummiboot et le noyau.