Création de contenus : « partie » vs « section »

Bonjour les agrumes,

Est-ce qu’on pourrait parler un peu de vocabulaire quant à l’interface de rédaction des contenus ?

Je viens de commencer un moyen-tuto qui s’articule en deux grandes parties. Et bien que j’ai à mon actif 15 article et 5 tutos publiés et ai assuré la direction techique de ce site pendant près de deux ans, je suis incapable de faire la différence entre une « section » et une « partie ». Au point que j’ai commencé à créer des sections à la place de parties pour les découpages de premier niveau de mon tuto.

C’est triste.

Je note qu’en plus, en cas de doute, on a rien pour aider le rédacteur (tooltip ou autre).

J’approuve fortement.

J’ai peut-être une idée pour améliorer cela. Quand un nouveau tuto est créé, on a simplement une balise [[attention]] indiquant « Ce contenu est actuellement vide. ». Peut-être qu’on pourrait la remplacer par un encart qui expliciterai le jargon de ZdS, et pourquoi pas quelques bases sur l’écriture de contenus (surtout utile pour les nouveaux).

Je vais essayer de faire un schéma.

On peut essayer ça. Le problème, c’est que les concepts qu’on demande au rédacteur ne sont pas spécialement simples eux-mêmes (notamment les 3 types de tutos qui se différencient par leur structure) ; et j’ai pas d’idée miracle là sous la main pour rendre ça clair et ergonomique.

Voilà le premier jet. C’est de mauvaise qualité¹ et il manque en effet une note sur [petit/moyen/big]-tuto / article mais ça donne l’idée du truc.

Je ne suis pas d’accord avec toi, rezemika : une partie contient des chapitres, et non des sections.

Ça fait :

• mini-tuto : tutos -> sections
• moyen-tuto : tutos -> parti -> section
• gros tuto : tuto -> parti -> chapitre -> section
• tuto libre : tuto -> parti -> {chapitre -> section OU section}

le OU signifiant que chaque parti fait ce qu’elle veut.

J’ai les mêmes difficultés que SpaceFox, et trouve ça très complexe pour pas grand chose. Je m’en sors parce que lorsque l’on a le choix entre deux éléments (section ou parti, par exemple), alors celle située sur l’autre est celle qui conduit au contenu le plus gros, et que « section » est toujours l’élément dans lequel on écrit (le plus fin).

Par contre, pour le nouveau, ce doit être illisible¹ (cf les nombreux tutos qui débarque en validation entièrement écrits dans l’intro).

Le guide n’aide pas à clarifier pour les nouveaux sur ce point ?

Par contre, oui, faudrait simplifier la création de contenu, c’est certain. Comment est la question.

Pourquoi pas, en attendant, créer des modèles ? Sur lequel on clique et cela genère automatiquement différentes parties/sections numérotés, laissant à la personne le temps de voir si c’est ce qui est adapté pour son plan de rédaction.

Les modèles sont souvent utilisé pour éviter aux néophytes de devoir trop plonger la tête dans la gestion trop complexe/abstraire de certain logiciel généralement. ça pourrait répondre, temporairement, au problème ?

J’aime bien l’idée.

À mon avis il y a deux problèmes qui entrent en jeu :

• le premier est au niveau du vocabulaire : il est difficile de comprendre le sens du mot « section » là où « chapitre » est par exemple beaucoup plus compréhensible ;
• le second est dans le fait que la rédaction est non linéaire : on doit jouer avec des extraits répartis un peu partout, sans avoir la possibilité de voir globalement l’ensemble de la rédaction.

le premier est au niveau du vocabulaire : il est difficile de comprendre le sens du mot « section » là où « chapitre » est par exemple beaucoup plus compréhensible ;

Dans mes bouquins, la section est bien une structure inférieure aux chapitres. Soit, des éléments de ces derniers. L’usage qui en est fait est le même qu’ici : on a une partie (ex : le contrôle de l’administration), des chapitres (contrôle de tutelle, juridictionnel, etc.) et chacun est bien subdivisé en sections. Dans le guide, cette distinction est reprise et est - normalement - claire pour les nouveaux arrivants.

Oui je suis bien d’accord, mais quand on est pas expérimenté dans la rédaction, ça tombe pas sous le sens.