Le sujet est hyper intéressant, mais le fond comme la forme n’est pas assez travaillé.
J’attends avec impatience les prochaines versions.
EDIT - relecture :
Cet article a été rédigé à l’occasion du le congrès de mathématique Math En Jean de l’année 2017, ce travail de recherche a été mené durant neuf mois, où l’on s’est regroupé 1 heures toutes les deux semaines pour venir à bout de ce travail, parmi le groupe d’élèves qui ont (qui est-ce qui –> le groupe) participé à l’élaboration de cet article, nous avions à nos côtés une professeur de mathématique et un enseignant chercheur en mathématique appliquée. Sur ce bonne lecture.
Du ou le, pas les deux,
où si il y a pas deux possibilités
s’est pour soi
1 heure = 1 seule heure
le groupe d’élèves a participé …
nos côtés car nos = pluriel
chercheur faute de frappe.
Je savais pas comment rendre la correction claire donc je poste ça
La nature fonctionne sur un principe bien connu : la sélection naturelle, c’est à dire qu’une espèce adoptera la méthode qui s’adapte le mieux au milieu ou à sa survie
–> une espèce adoptera la méthode qui s’adapte le mieux […] à sa survie
Mauvaise formulation
De plus, c’est pas vraiment ça la sélection naturelle. Des mutations créent une certaine diversité au seins de l’espèce : chaque individu de l’espèce est unique avec des spécificités (de plus grandes ailles, des plus petites ailles, une couleurs plus foncée, plus clair etc). Par exemple les insectes aux grandes ailles peuvent être favorisés, ou pas, par la milieu naturel face aux insectes à petites ailles. Après quelques générations où les petites ailles ont été défavorisé on observera une majorité d’insectes à grandes ailles. Il y a eu une sélection naturelle.
Mais les insectes ne font pas le choix d’avoir des grandes ailles pour survivre, il faut bien nuancer !