Je souhaite aujourd'hui vous présenter mon projet de bibliothèque de partition en ligne et d'éditeur lylipond.
Le site est basé sur le logiciel git pour permettre d'améliorer les partitions de façon incrémentale et sur le logiciel lylipond pour créer des partitions de qualités. Ils ont été choisis car ce sont des standards et lylipond est un format texte facilement parsable par un ordinateur.
En savoir plus sur le projet
L’idée à germer lorsque je cherchais une partition et que je me suis rendu compte qu'ils existait peu de site et souvent de qualité moyenne (freescore, mutopia, breizhpartition).
Le prototype contient l'ensemble des fonctionnalités que je souhaiterais implémenté.
Mon souhait à long terme serais de créer une association et embaucher un développeur à plein temps (rêve).
Ma demande
Je souhaiterais des retours sur le site et plus particulièrement sur les questions suivantes :
Trouvez vous l'idée intéressante ?
Seriez vous prêt à payer pour ce service ? Si oui, combien ?
La vente d'un abonnement vous semble t'il être acceptable ? Si non, indiquer un autre business model
Avez vous eu des difficultés pour comprendre la navigation sur le site ?
Salut, tu t'es renseigné au niveau des droits d'auteurs etc pour les partochs ? De nombreux sites sont régulièrement embêtes et doivent amputer une partie de leur tablatures etc suite à des réclamations des ayants droits, maisons de disques etc …
Vu la quantité de données que l'on peut trouver gratuitement sur le net, tu as intérêt à avoir des partitions aux petits oignons si tu veux pouvoir faire payer un abonnement. Sinon il faut proposer d'autres services.
Je vais me cacher derrière la loi sur la copie privé (faut que je me renseigne encore). En gros, ne télécharger la partition que si vous l'avez déjà acheté légalement
Il me semble qu'il y a une deuxième option qui consiste à dire que la partition "ressemble à".
Pour les partitions, je vise la qualité avec lylipond pour pouvoir faire payer un abonnement.
Pour les autres services, je ne vois pas ce que tu veux dire pourrais tu développer STP.
Imslp ce sont essentiellement/que du classique. Je veux pouvoir l'étendre à tout type de musique.
De plus, il vont avoir des problèmes de gestion des partitions quand le site va "grossir" (maintient). Il font aussi du scan ce qui n'est pas m'on but. Enfin, il se limite à lylipond mais il y a d'autres éditeurs wyswing qui ont les faveurs des non informaticiens (nwc, encore, sybellus etc.); il faut permettre des passerelles.
L'idée en elle même me parait intéressante, après c'est le business model qui me titille un peu. En dehors du fait qu'éthiquement ça me dérange qu'on doivent s'abonner pour recevoir des partitions et un logiciel libres, je ne suis pas sur que beaucoup de gens soient près à payer pour ça.
Tu dis que ton souhait à long terme serait de monter une association pour ça. Et à court terme, qu'est ce qui te permet de garantir que nos abonnement ne seront pas dilapidés comme par magie ? En gros tu souhaite monter une structure en court terme ? ça pourrait te permettre de développer un meilleur business model.
Seriez vous prêt à payer pour ce service ? Si oui, combien ?
Moi non, mais je ne suis pas dans la cible directe. D'ailleurs tu devrais préciser ta cible (amateur ? pro ?)
La vente d'un abonnement vous semble t'il être acceptable ? Si non, indiquer un autre business model
L'abonnement en lui-même est acceptable, c'est un business model qui a l'avantage d'être efficace. Par contre le contenu actuel que tu propose dans l'abonnement n'est pas envisageable. Une idée qui me vient à l'esprit serait de s'abonner pour avoir droit à des fonctionnalités avancées sur le site. Dans les fonctionnalités avancées je vois par exemple :
Pouvoir télécharger des versions transposées des partitions
Écouter la partition en ligne
Il y en a peut-être d'autres, mais voilà ce qui me vient à l'esprit.
Avez vous eu des difficultés pour comprendre la navigation sur le site ?
Oui, le site n'est pas très ergonomique pour l'instant je trouve.
Quelle fonctionnalité manquerais t'il ?
Voir mes propositions ci-dessus et aussi un meilleur outil de recherche que celui proposé.
Sinon, un petit détail technique vu en parcourant rapidement le site : pourquoi générer la partition à chaque fois qu'on demande à la télécharger ? Tu ferais mieux de la stocker directement sur le serveur et qu'on ait plus qu'à la télécharger.
Comme ça je pensais juste (comme dit par firm1) à la lecture en ligne. Pour pouvoir vendre des abonnements, il faut qu'il y ait un service un minimum intéressant. Pour le moment si tu ne te démarques pas un peu, pas sûr que beaucoup de personnes s’abonnent.
Un outil qui transforme les partochs en tabs, un autre qui propose une transposition (comme firm1 évoquait) est pas mal.
Exemple : j'aimerais jouer tel morceau et chanter dessus mais ma voix nécessite de transposer. Soit je me tape tout à la main, soit tu proposes cette option.
Ce sont des options de ce type qui feront que tu pourras te démarquer et éventuellement vendre des abonnements.
Avant de vendre un abonnement, il faudrait avoir une vraie bibliothèque.
A ta place j'essaierais d'avoir un site qui attire du monde en gratuit (poster, télécharger des partitions). Si tu veux avoir du contenu (sans avoir à être le seul créateur de contenu) tu devras passer par là. Ça me semble la meilleure solution.
Une fois que tu as du contenu, tu essaies de vendre tes options payantes avec ton abonnement. Je ne m'abonnerais pas à un site qui me propose juste quelques partochs, et je ne produirais pas de contenu pour ce site qui me fait payer pour lui donner mon travail sans avoir grand chose en retour.
L'idée est sympa par contre, mais ne cherche pas à monétiser ton site pour le monétiser. C'est le meilleur moyen de le plomber. Dans un premier temps, tu auras un abonnement pas trop cher avec ton hébergeur je suppose. Fais ça par passion puis vois où ça te mène
Pour la transposition, elle est géré par lylipond de façon automatique. Les partitions en tab : bonne idée.
Je suis d'accord pour la monétisation (on en est aux stades du prototype) néanmoins, lorsque je me renseigne pour créer une association, on me répond qu'il me faut gagner de l'argent sans quoi pas de subventions.
Le site est plutôt complexe au niveau des technos et si je veux pouvoir investir le plus dans le développement et les partitions, je suis obligé de payer pour les services : cloud convert et cloud ampq
firm1 :
L'abonnement est la pour payer l’hébergement (et le développement si possible). L'association doit être détaché de mon financement personnel.
Ma cible idéal sont les profs de musique, puis les amateurs éclairés (orchestre, chorales) et enfin les élèves.
L’abonnement n'est pas prévu avant longtemps, il est la pour permettre l'hébergement et les subventions.
Il est possible d'écouter la partition en ligne dans le logiciel lylipond et sur la page avec les versions des fichiers.
Dis m'en plus sur l'ergonomie
Ok pour la recherche; elle est pour l'instant limité.
Je ne peux pas la stocker car j'utilise git et github pour les stocker. Lorsqu'on me demande un fichier, je télécharge le dépot -> version -> fichier.
lorsque je me renseigne pour créer une association, on me répond qu'il me faut gagner de l'argent sans quoi pas de subventions.
Ah bon ? Il y'a plusieurs type de subventions et tu n'es pas obligé de gagner de l'argent pour les obtenir. Tout dépend de ce que tu souhaite faire. En général si tu monte une association et que tu propose dans ta ville (ça dépend des villes ceci dit) ton outil gratuitement et que tu l'oriente dans le sens du développement culturel, tu as des chances d'être éligible comme toute association aux subventions de la Mairie. Bref, tout dépend de comment tu monte la chose.
Pour la transposition, elle est géré par lylipond de façon automatique.
[…]
Il est possible d'écouter la partition en ligne dans le logiciel lylipond et sur la page avec les versions des fichiers.
En effet, et c'est ce genre de fonctionnalité qu'il faudrait mette en avant, et mieux intégrer sur le site. On ne le ressent pas trop sur la page d'accueil.
Le site est plutôt complexe au niveau des technos et si je veux pouvoir investir le plus dans le développement et les partitions, je suis obligé de payer pour les services : cloud convert et cloud ampq
J'ai l'impression que tu pourrais éviter tout de même certains couts dans un premier temps. Les services payant que tu cites, ne pourrait tu pas les monter toi même ou encore monter une première version sans ?
L'abonnement est la pour payer l’hébergement (et le développement si possible). L'association doit être détaché de mon financement personnel.
Je n'ai pas bien compris ta deuxième phrase, mais pour la première, tu estime à combien par mois l'hébergement de ton site ? Si je compte à la louche les trucs essentiels (serveur + nom de domaine) on peut arriver (certes se ne sera pas la lamborgini mais ça fera le jobs) à 15€/mois.
Après pour recruter un développeur, en tant qu'association, tu as énormément de facilité (en France) pour recruter. ça revient largement moins chère de recruter en tant qu'association qu'en tant qu'entreprise (après c'est clair que c'est pas les même types de profils)
Dis m'en plus sur l'ergonomie
Il y'a beaucoup à dire (normal c'est une alpha), j'aurai aimé te faire un MP pour ça, mais au moins ça évitera les répétitions :
La page d'accueil ne dit pas en un (ni deux, ni trois) coup d’œil l’intérêt de ce site et pourquoi il est super.
La nagitation n'est pas optimale (en cliquant sur une partition, la page de description de la partition devrait me proposer toutes les fonctionnalité autour de celle-ci comme la lecture, la transposition, etc.)
Le design global fait très "regroupement de morceaux" et pas assez intégré.
Je ne peux pas la stocker car j'utilise git et github pour les stocker. Lorsqu'on me demande un fichier, je télécharge le dépot -> version -> fichier.
ça ne t’empêche pas d'avoir un cache (au moins pour la dernière version de la partition) sur ton serveur pour éviter de surcharger ton serveur à chaque fois.
Pour l'association, on m'a dit que je ne pouvais pas me faire subventionner à 100%. Mais comme on l'a dit plus haut vendre des partitions libres de droit est compliqués; Le problème est que l'hébergement lui est payant et le dev surtout.
Pour les couts, il y a cloud convert qu'il est difficile de changer car géré les conversions est fastidieux et pas forcement efficace. Pour cloudAmpq c'est pour éviter du sys admin à l'image de héroku.
"Dans mon plan" un développeur serait nécessaire pour mettre en place et géré l'ensemble. L'association est plus la pour la mise en place des partitions.
Pour les prix de l’hébergement, je ne connais pas trop. J'aurais souhaité quelque chose de "facile" type héroku mais lors d'un précédent post on m'a conseillé ansible.
Pour les dons, je suis assez réticent; il n'y a pas de sureté. Éventuellement en plus.
Pas plus de sureté qu'avec des abonnements, si tu paies ton dev, le site est terminé, ça t'as couté de l'argent et il se peut que personne ne s'abonne. Si tu attends d'avoir assez d'abo pour commencer à payer le dev (donc qu'il commence son taf) bah t'auras aucun abonné. A moins de trouver un dev "bénévole" à qui tu promets un pourcentage sur les recettes : il prend donc le risque de rien recevoir pour son travail. Tu peux aussi lui proposer un paiement différé mais si les abonnements ne suivent pas, que fais-tu ? Je pense que tu auras forcément de l'argent à mettre de ta poche.
Pour monétiser son site, il faut proposer quelque chose, tu peux te passer de dev ? ou tu est complètement dépendant d'un dev ? Si tu est indépendant, dans un premier temps, tu peux faire un site correct et envisager de recruter.
Autre solution trouver un mec passionné par la même chose que toi et qui développe. Vous tenter l'expérience si ça rapporte rien, ça à le mérite de vous faire de l'expérience, d'avoir un projet sympa. Si ça fonctionne, bah c'est du bonus
Je pense que tu auras forcément de l'argent à mettre de ta poche.
Chose que je ne ferais pas, le projet est trop incertain. Une association me paraissait être la structure idéale pour tenter cela (subvention, pas argent perso, limite de responsabilité).
si tu paies ton dev, le site est terminé, ça t'as couté de l'argent et il se peut que personne ne s'abonne.
Je me suis basé sur un site comme OC; Le site est terminé et il continu de développer pour l'améliorer constamment.
Pour monétiser son site, il faut proposer quelque chose, tu peux te passer de dev ? ou tu est complètement dépendant d'un dev ? Si tu est indépendant, dans un premier temps, tu peux faire un site correct et envisager de recruter.
Je pense que sans dev salarié le projet est condamné et je ne suis pas du métier.
Je me permets de faire remonter le sujet, en me demandant s’il est toujours d’actualité ou non. Au vu du site qui mouline dans le vide, je dirais que non, mais je me trompe peut-être.
Aspect pratique et technique
Si je déterre un peu, c’est parce que je ne suis pas certaine d’avoir saisi le but du projet. IMSLP est certes plus orienté classique, mais ne tient finalement qu’aux contributeurs d’ajouter du contenu jazz, variété ou peu importe. Le jazz est d’ailleurs présent sur le site du projet. Le principal problème du jazz et des musiques actuelles, c’est que ce sont souvent des grilles (+ ligne mélodique) ; des musiques orientées vers une démarche d’apprentissage et d’exécution différente de la musique dite classique ou encore savante, puisqu’elles sont surtout « orales ». Bien que les vannes jouent souvent sur des clichés, ces derniers ont toujours une part de vérité, et la blague suivante résume assez bien le pourquoi du comment on trouve plus facilement des partitions classiques :
Comment faire pour qu’un musicien classique cesse de jouer ? On lui enlève la partition.
Comment faire pour qu’un musicien jazz/variété cesse de jouer ? On lui met une partition.
Ensuite, qui ajouterait du contenu ? Serais-tu en charge de taper les partitions… tout seul ? Le cas échéant, je ne sais pas si tu te figures le temps nécessaire à l’élaboration d’une bibliothèque suffisamment riche pour pouvoir concurrencer IMSLP et compagnie… Le travail est colossal. D’autre part, prévois-tu de retoucher les partitions ? LilyPond a l’avantage de produire un matériel dont l’apparence est plus professionnelle que le rendu procuré par Finale ou Sibelius, mais il n’empêche que le logiciel n’est pas parfait pour autant ; les initiateurs du projet sont d’ailleurs les premiers à le dire. Il y a un véritable travail éditorial à produire, ce qui allonge le temps de travail. Je pense notamment à la gestion potentielle des tournes pour les productions classiques : selon l’instrument pratiqué, telle ou telle tourne sera plus ou moins naturelle ou évidente. Un trompettiste pourra plus facilement tenir sa trompette (et sa note) à une main pendant quelques fractions de seconde là où un flûtiste ou bassoniste aura déjà plus de mal.
L’an passé j’ai tapé une partition d’ensemble, donc avec conducteur et parties. J’ai eu beau faire attention aux tournes et savoir les gérer (ensemble à vents et j’en joue), une hautboïste m’a demandé s’il n’était pas possible de décaler une tourne parce que pour un cor anglais, ce n’était pas pratique (malgré l’écriture qui le laissait penser).
Aspect légal
Se posent également les questions relatives à la légalité de tout cela. En tant que musicienne, comme tout le monde, il m’est arrivé de faire des photocopies. On pourrait débattre de la légitimité des prix de certains éditeurs, mais toujours est-il que cela reste illégal. Bien que libriste, je comprends que des personnes puissent vouloir vivre de l’édition, ou plus exactement du travail qu’elles produisent. Par conséquent, et bien que je pense que le monde de l’édition musicale mériterait d’être un peu rafraîchi, je tique un peu quand je lis que tu penses d’entrée de jeu à contourner l’aspect illégal d’une partie de ton projet (car oui, une partie l’est) en te reposant sur des pirouettes plus ou moins valables. Je ne suis pas calée en droit, c’est pourquoi je ne m’avancerai pas trop, mais de ce que je sais et ai compris, le droit à la copie privée ne s’appliquerait pas dans ton cas. Il serait valable si tu te fondais sur une œuvre, que tu la couchais sur partition pour une raison x ou y, voire que tu la modifiais pour ton usage personnel. Proposer des partitions dérivées d’œuvres qui ne sont pas dans le domaine public dépasserait donc d’entrée de jeu cet aspect de copie privée ; en tirer profit, je n’en parle même pas.
Le coup de la partition qui « ressemble à », même topo. Si quelqu’un avec de solides connaissances juridiques en la matière passe par ici, les précisions seraient bienvenues, je pense.
Bref, mettons que tu souhaites proposer une partition avec un relevé de Like A Virgin de Madonna (premier exemple qui me vient, car dernier relevé en date sur lequel je bosse), eh bien… concrètement et sauf erreur de ma part, c’est illégal. L’œuvre est toujours protégée, et pour en faire un dérivé, tu as normalement besoin de l’accord des ayants droit. En fait la plupart des trucs qui circulent le sont soit de façon totalement illégale et assumée, soit de façon illégale, mais à but de simple partage. On voit souvent des mentions du genre « repose sur l’accord tacite des ayants droit… bla-bla, sera retiré sur simple demande ».
Enfin bref, voilà aussi pourquoi on trouve plus de classique qu’autre chose sur IMSLP. D’une part, le classique est de tradition écrite, et d’autre part, beaucoup d’œuvres sont désormais dans le domaine public (et encore, entre l’œuvre et son édition papier, c’est différent, vu que l’éditeur a des droits aussi… gros bazar). Rien qu’à voir comment certains se disputent des prolongations de droit (affaire du Boléro de Ravel, il y a quelques mois).
Aspect public visé
Tu dis ceci :
Ma cible idéal sont les profs de musique, puis les amateurs éclairés (orchestre, chorales) et enfin les élèves.
En tant que prof et élève à la fois, dans les deux cas je me pose une question : qu’apporterais-tu de plus, en l’état, que ce que l’on nous propose déjà (que ce soit de façon payante ou gratuite) ?
En tant que prof par exemple, il est évident que pour bosser le Prélude I de Bach (Clavier Bien tempéré, vol. 1), je n’irais pas faire acheter le recueil à un élève de bas niveau. Ce serait bien trop coûteux pour ses besoins. En revanche, pour un élève de cycle II avancé ou supérieur, je demanderais d’investir dans l’intégrale, parce que ça fait partie des bibles pianistiques.
En tant qu’élève… Eh bien même topo, en fait. Je ne connais pas trop l’univers des cordes, mais pour beaucoup d’autres disciplines et notamment les vents (exception faite de la flûte, peut-être… et encore), soit les élèves sont jeunes et les recueils d’exercices comportent des sortes de petites pièces qui font office de morceaux lors des auditions, ce qui implique un investissement peu élevé à l’année (moins de 50 €, en moyenne), soit ils sont dans des niveaux plus avancés et là, l’investissement concerne souvent des œuvres de musique d’ensemble… quoique les orchestres fournissent souvent les parties, donc même là, l’investissement est quasi nul. Je ne parle même pas des classes où le prof est également compositeur, donc pour les petits, le coup est encore moindre, vu que les pièces sont directement adaptées aux besoins pédagogiques du professeur.
J’ai partiellement évoqué les orchestres. En général, ils achètent le matériel, et de préférence dans une version non volatile, surtout pour le chef, dirais-je (le coût à l’impression/reliure peut vite grimper). Il y aura toujours des exceptions pour confirmer la règle, c’est certain, m’enfin. Beaucoup d’œuvres orchestrales sont dans le domaine public, donc les orchestres amateurs n’hésitent pas à aller taper du côté d’IMSLP.
La fin du bla-bla
Le projet en lui-même n’est pas inintéressant, mais je le pense mal travaillé (ou orienté, si tu préfères). Même pour toi, je ne pense pas que ce soit fondamentalement viable en l’état. Mutopia est un joli projet, mais il est à mon sens surpassé par IMSLP. Ce sont certes des scans, mais les vieilles éditions sont souvent assez bonnes niveau typo musicale, et c’est un site qui commence à s’imposer comme la référence… Donc bon. Si toutefois le projet n’est pas mort, je te souhaite bon courage malgré tout.
Je te remercie pour tes questions qui me permettent d'avancer sur le projet.
Pour le projet actuellement:
Il est mort-vivant. J'avais résolu les problèmes techniques principaux (du prototype) mais je me suis retrouvé bloqué sur de l'administration système (pile logiciel bâtardes) qui me permettrait d'avancer vers un PMV (produit minimum viable).
En l'état, un autre problème préoccupant est la monétisation qui à ce jour n'est pas vraiment résolu. Renseignement pris, les subventions sont quasi impossible à obtenir. Pas vraiment de produit à vendre. Peut être en créant une maison d'édition mais c'est plutôt improbable.
Pour tes questions (je vais essayer de ne rien oublier ) :
Comme tu l'indique le travail d'édition est trop important. L'idée est de mettre à profit des contributeurs (comme mutopia/imslp) mais en leurs apportant des outils automatiques et pas désigné pour les geeks. En gros,
éditeur lylipond (édition, compilation)
et génération musique (mid, mp3, ogg …)
et génération documentation standard
conversion des documents
dépot public (type git) avec les avantages du travail collaboratif (comme le logiciel)
dépot privés (type git)
Pour l'aspect légal, tu as raison peut être qu'un transfert de dépôts privés pourrait permettre de contourner le problème ou de dire que je ne peut pas tout vérifier en temps réel (comme les sites actuels). Sans est trop, tant pis, j'irai sur tor
Plus sérieusement, le site sera au canada pour profiter au maximum de la loi (80 ans) et se contentera de la musique open source (y a suffisamment de travail).
Le public :
Ma cible idéal sont les profs de musique, puis les amateurs éclairés (orchestre, chorales) et enfin les élèves.
Je fait souvent avec mon prof des morceaux qui ne sont pas dans la méthode et très souvent, il sont juste écrit sur une feuille.
Nous pouvons aussi penser à casser le monopole des éditeurs en proposant les partitions gratuitement les obligeant à apporter de la valeurs ajoutés. Concrètement, sans doute réduire les prix ou imprimer nous mêmes.
Pour résumer :
Je souhaite réaliser un mutopia/imslp design mais automatisé avec lilypond et git.
J’espère avoir correctement répondu. Si tu veux plus de renseignements, n'hésite pas.
Hm… soit je n’ai pas tout compris, soit quelque chose me semble toujours bancal, surtout au niveau de ton plan monétaire (oui, c’est pour éviter business plan ). Je vais évoquer ces points en fonction de ce que j’ai cru comprendre.
Donc si j’ai bien compris… En l’état, tu voudrais proposer aux utilisateurs de s’abonner à un site pour que les contributeurs aient accès à des logiciels qui sont déjà disponibles librement (et gratuitement), tout en réinventant la roue (l’histoire de la documentation, tu parles bien de celle de LilyPond ? Si oui, quel intérêt, puisqu’elle est déjà disponible dans au moins deux formats sur le site officiel, sans parler du LSR ?) ?
LiLyPond est par défaut un outil un peu geek. La seule façon de lui retirer un peu cette image est selon moi de lui proposer une interface WYSIWYG, ce que fait déjà Denemo. M’enfin là, on tombe alors dans l’éternel débat, avec les Michu, du « Mais oui mais c’est mieux de voir le rendu tout de suite ».
Bref, toujours en tant que prof/élève/utilisatrice de LilyPond, je ne vois toujours pas quels seraient les avantages pour moi. Pourquoi lâcher ma station de travail (LilyPond + Frescobaldi) pour un outil en ligne qui me proposera la même chose, mais dans un lieu fermé ?
Je ne dis pas cela méchamment, bien sûr. Je tâche juste de jouer le jeu en me plaçant comme utilisatrice potentielle, et en l’état, je ne vois pas ce que ton projet peut m’apporter de plus que les outils natifs. Quant à démocratiser LilyPond… des actions sont menées de façon sporadique : j’ai moi-même un projet de cours sur ZdS mais que j’avais arrêté, plus d’autres projets à côté, toujours en lien avec le logiciel. M’enfin… soyons honnêtes, bien que cela change un peu (et c’est tant mieux !), l’idée de liberté (free speech) et de maîtrise pointue d’un outil (comme gérer exactement l’espacement d’un paragraphe en LaTeX ou de deux systèmes dans LilyPond), la plupart des gens s’en fichent. La seule chose, pour l’instant, qui peut leur donner envie de jeter un œil à LilyPond (et juste jeter un œil), c’est l’aspect gratuit. Dès qu’ils voient une ligne de texte, quand bien même c’est plus logique que Finale ou Sibelius, on les perd… et puis Finale et Sibelius coûtent un rein et font presque le café, alors c’est forcément mieux.
Donc ça, c’était pour les collaborateurs. Pour les simples utilisateurs, il faudrait donc qu’ils paient un abonnement pour accéder à un catalogue moins étoffé qu’IMSLP, pas forcément meilleur (toujours cette histoire de mise en page des partitions) et de surcroît en grande partie illégal (j’y reviens plus bas) ? Tu auras créé l’outil et le maintiendras, ce qui ne sera pas une mince affaire, mais tu comptes donc faire en sorte que des gens paient pour accéder à du contenu que des contributeurs bénévoles auront fourni… Ça me rappelle la fin de vie d’un vieux site, personnellement, et je te concède que c’est le genre de modèle auquel je n’adhère pas (toujours en me plaçant comme utilisatrice potentielle).
Je n’ai pas compris ton histoire de dépôts privés. Je veux dire, si un dépôt est privé… c’est que par défaut son accès est limité. Bref, je n’ai pas compris ton idée.
Euh… attends, tu me perds, là. Déjà, pour ta structure, tu te renseignes où ? Je ne suis pas calée en droit, mais quand bien même le site serait hébergé au Canada, ça ne t’exempterait pas des lois françaises (à supposer que tu dépendes bien de celles-là), si ? Si ta structure est déclarée en France, avoir un site au Canada ne te fait pas tout sauter ici, du moins ça me semble un peu trop simple et capilotracté à la fois…
De plus, as-tu bien vu comment fonctionne IMSLP ? Le problème serait le même. Ce n’est pas parce qu’un Canadien pourra télécharger légalement une copie d’une œuvre parce que cette dernière serait tombée dans le domaine public dans son pays qu’il en sera de même pour un Français. Tu vois donc où est le problème ?
Ah, et un point que je n’ai pas évoqué, aussi, ou du moins que partiellement. Comment tu t’assures que les contributeurs ne copient pas des éditions dont les droits courent toujours ? Par exemple si demain je veux sortir l’intégrale les sonates de Mozart, j’en ai légalement le droit… à une condition (au moins une, en tout cas) : je ne peux en aucun cas recopier une partition achetée et la reproduire, quand bien même je ne photocopie pas. En gros, pour être dans l’aspect légal, soit je repique à l’oreille (avec les bourdes que cela peut impliquer en termes de typo), soit je me fonde sur les manuscrits d’époque… ou sur des éditions tombées dans le domaine public, et là on retombe sur la même problématique qu’IMSLP, à savoir que certaines éditions sont désormais dans le domaine public dans certains pays, mais pas forcément dans d’autres.
D’accord et c’est très bien, un peu comme ça se fait notamment dans les classes de jazz, mais… ce sont des morceaux de musique quoi ? Traditionnelle ? Jazz ? Variété ? Classique ?
Tu retomberas quand même sur les mêmes problématiques que j’ai citées plus haut. Repiquer un morceau sur une feuille pour son usage personnel (ou en cours à la va-vite), c’est une chose. Envisager de les proposer à la vente, là, c’est différent.
C’est une activité pro complémentaire que j’ai un temps envisagée à terme (avant de lâcher l’affaire), et voici la question principale (que je me suis moi-même posée) : t’entends quoi par « valeur ajoutée » ?
D’autre part, je suis favorable à un assouplissement de la circulation des biens culturels, mais il y a un mais, que voici : selon moi, combattre le monopole par la gratuité à tout prix n’est pas la solution. Je pense que nous sommes proportionnellement une minorité à comprendre que la gratuité a un coût (paradoxalement), qui est celui de l’investissement en temps, travail et argent pour produire un bien (de l’esprit le plus souvent, en l’occurrence ici) et que pour payer ses factures, il faut bien gagner des sous. Or, si quelqu’un souhaite par exemple vivre d’une passion, mais qu’on lui fait comprendre que sa passion doit forcément être gratuite… il y a un problème. Que les éditions musicales profitent du travail des compositeurs présents ou passés, ce n’est pas une nouveauté1, mais vouloir absolument les casser en proposant du contenu souvent illégal et gratuit, non. La plupart des gens veulent du gratuit non pas parce qu’ils n’ont pas les moyens, ni même pour des raisons idéologiques, mais bien parce que « bah pourquoi j’irais l’acheter alors que je peux le télécharger gratuitement, même si j’ai les sous et que ce que je fais n’est pas légal ? » (et ce sont les mêmes personnes qui cherchent à tout prix à protéger leurs créations à la moindre occasion… c’est toujours drôle). Tu en auras toujours pour trouver qu’acheter un film ou un album à même 1 €, c’est trop cher. Ce qu’ils veulent, c’est du gratuit, et non soutenir un modèle quelconque ou encourager la création. Alors vouloir encourager ce modèle avec un site payant flirtant avec l’illégalité, je te concède que soit j’ai mal compris et c’est tant mieux, soit il va falloir m’expliquer en quoi c’est une bonne chose.
Pour réduire les prix, la seule solution que je vois c’est la dématérialisation. Sur ce coup-là, c’est ce que tu prévois, mais après on retombe sur des problèmes légaux et éthiques que je viens d’évoquer. Imprimer soi-même n’est pas moins cher. Ça l’est sur quelques pièces, mais va t’imprimer plusieurs conducteurs d’orchestre dans un format normal et tes partitions vont vite te coûter bien cher… faudra le papier, l’encre, l’usure de l’imprimante (faut calculer comme ça). C’est moins coûteux sur le combo temps/argent d’acheter une version physique.
En parlant de version papier… il ne faut pas oublier que les partitions ont un format qui leur est propre. Non pas que l’on ne puisse pas suivre sur du A4, hein, c’est possible, mais ce n’est pas génial. Manque de pot, y a pas vraiment de ramettes au bon format. La plupart des bonnes partitions sont également imprimées sur un fond légèrement jauni, ce qui permet un meilleur confort de lecture. Ça aussi, une version dématérialisée ne peut pas le proposer. Enfin… si, on peut toujours colorer la page, c’est pas un problème, mais alors bonjour le coût d’impression chez soi, hein.
Donc pour être franche, le modèle du projet, en l’état, s’apparente pour moi à de la bidouille. Attention, ce n’est pas dit de façon dégradante, hein. IMSLP c’est de la « bidouille » aussi, en termes de travail éditorial. Ça ne veut pas dire que ce n’est pas utile, loin de là. Tout ça pour dire que si Mutopia n’a pas décollé et qu’IMSLP a désormais pris le dessus, je ne vois toujours pas en quoi ton plan est viable, surtout si en plus ton objectif premier est de le monétiser…
Sur un recueil de ses partitions vendu environ 25,00 €, mon prof touche, de mémoire… même pas 1,00 € par exemplaire… Je veux bien que l’éditeur ait du travail, mais certains ne s’embêtent même plus et impriment presque en l’état des fichiers Final. ↩
Il y a des points ou nous nous embrouillons mutuellement
En l’état, tu voudrais proposer aux utilisateurs de s’abonner à un site pour que les contributeurs aient accès à des logiciels qui sont déjà disponibles librement (et gratuitement), tout en réinventant la roue (l’histoire de la documentation, tu parles bien de celle de LilyPond ? Si oui, quel intérêt, puisqu’elle est déjà disponible dans au moins deux formats sur le site officiel, sans parler du LSR ?) ?
Je me suis mal exprimé sur la documentation. Ce sont les documents accompagnant la partition sur le dépôt git (readme.md, explication de jeux, etc). Quesque le LSR ?
Les logiciels que j'utilise sont gratuits (mais payant d'un point de vue développement). Je souhaite les faire travailler ensemble pour augmenter la productivité. Le logiciel est bien ouvert à tout point de vue, les dépôt privées sont la pour permettre le développement avant publication comme sur zds avec les tuto mais comme ce sont des dépôts git, il est possible de travailler à plusieurs avant publication. Les partitions protégé pourrait passer comme ça.
Pour les utilisateur qui ne jouerait pas le jeux du libre de droit, il faudrait se lancer dans une vérification manuel.
Dans une association, l'aspect monétaire est aussi important que dans une entreprise. Si je n'arrive pas à payer les charges, l'association s’arrête. Comme tu le dis, les logiciels sont gratuits mais ont une valeur et surtout des charges.
Que puis-je vendre pour payer les charges ?
Avec ta réflexion, l'idée de l'édition n'est pas réaliste. Néanmoins, la conservation électronique des partitions est nécessaire si on veut éviter que sa deviennent fermé avec les maison d'éditions.
Je ne fait pas de la musique à un haut niveau, c'est plus un hobby. Les partitions que je fait sont variées quoique plus orienté breton.
Pour le droit, la plupart des infos sont le fruits de différentes lectures (il me semble, qu'une lecture intéressante se trouve sur mutopia, je vais chercher).
L'association est française et le site est au canada. La loi qui s'applique est l'endroit ou le serveur est physiquement installé. Nous ferons les partitions libre de droit. Pour les téléchargement, il faudra géré la provenance de l'utilisateur ou laisser. Je me lance dans le droit : l'endroit du délit est l'endroit ou il est puni. En conséquence, c'est l'ordinateur français qui est en tort donc sanctionable par la France.
Je pense avoir répondu à toute tes questions, si j'en est oublié n'hésite pas.
Pour le reste…
Donc tu veux monter une association française, avec des subventions françaises, mais héberger le site au Canada pour tenter de contourner des problèmes de droit français relatifs aux partitions, et tu voudrais utiliser des dépôts privés entre autres pour les œuvres qui ne sont pas libres, histoire que « ça passe »… Très franchement, je ne comprends pas. Et quand je dis « je ne comprends pas », j’entends par là « par rapport à ce qui découle de tes explications, je ne conçois pas que l’on puisse vouloir fonder une association (ou une entreprise) sur du travail soumis au droit d’auteur qui serait détourné, le tout sciemment ».
Tu parles d’augmenter la productivité… mais celle de qui ? LilyPond est dispo et fonctionnel en l’état, et couplé à Frescobaldi, ça permet de tout gérer. L’export midi est présent d’office dans le logiciel, il suffit d’ajouter quelques lignes dans le fichier source. Pour du Midi plus poussé, il faut passer par un logiciel de MAO et là, ça dépasse le cadre des partitions. Donc qu’est-ce que ton outil apportera concrètement, en fait (et qui justifie que l’on paie pour des choses qui existent déjà et tournent très bien) ?
Qui vérifiera que les partitions diffusées sont bien dans le domaine public (ou respecte les droits des ayants droit), qu’elles ne sont pas des copies d’éditions dont les droits courent toujours ?
Avec ta réflexion, l'idée de l'édition n'est pas réaliste. Néanmoins, la conservation électronique des partitions est nécessaire si on veut éviter que sa deviennent fermé avec les maison d'éditions
Euh… tu confonds beaucoup de choses, à mon sens. Fermé ne veut pas dire hors de prix et libre ne veut pas dire gratuit. Je peux très bien décider d’ouvrir une maison d’édition musicale demain, traditionnelle, et de distribuer gratuitement les recueils (ou pour un euro symbolique). Bon, je risquerais fort de vite fermer boutique, mais je pourrais le faire. Ce que je veux dire par là c’est que l’univers de la partition ne peut pas devenir fermé. En tout cas pas plus que ce qu’il a pu être jusqu’à présent et avant qu’Internet n’arrive dans les maisons. En bref, prétexte un peu bancal, à mon sens.
Enfin bref. Je m’arrête là sur ce coup, car j’ai dit à peu près tout ce que j’avais à soulever quant au projet. Je te souhaite malgré tout bon courage.
L'association se fera sans l'appui de subventions (française) car il y en a pas. Je n'ai donc aucun devoir envers la France. De plus, rien d'illégal. Cela amène le problème de l'argent qui lui est en ce moment pas résolu.
« par rapport à ce qui découle de tes explications, je ne conçois pas que l’on puisse vouloir fonder une association (ou une entreprise) sur du travail soumis au droit d’auteur qui serait détourné, le tout sciemment ».
Je comprend. Selon certaines sources sérieuses, rien d'immoral ni d'illégal (pour l'association)
Tu parles d’augmenter la productivité… mais celle de qui ? … export midi est présent d’office dans le logiciel, il suffit d’ajouter quelques lignes dans le fichier source.
Le fichier midi serai généré avec en plus le mp3 et l'ogg. De même que le pdf, doc, final, nwc, openxml etc.
La gestion de la monté en version sera plus simple puisque l'ordinateur vérifiera automatiquement les partitions (version) comme pour l'intégration continue.
Les dépôts git permettent de transférer plus facilement le travail à un autre contributeur + sécurité des modifications. Tout les avantages de git en gros.
Le design améliore la recherche et l'exploitation (point faible des concurrents).
Le site est prévu pour (pas de CMS); Possibilité d'améliorer la recherche par exemple.
Sans oublier la standardisation des fichiers commencer par mutopia avec les commentaires + contrôle de la qualité des partitions.
Qui vérifiera que les partitions diffusées sont bien dans le domaine public (ou respecte les droits des ayants droit), qu’elles ne sont pas des copies d’éditions dont les droits courent toujours ?
Se sera fait manuellement, je n'ai pas trouvé de solution automatique.
Euh… tu confonds beaucoup de choses, à mon sens. Fermé ne veut pas dire hors de prix et libre ne veut pas dire gratuit.
Je suis d'accord avec toi.
Ce que je veux dire par là c’est que l’univers de la partition ne peut pas devenir fermé.
D'accord aussi; même si il faut faire attention aux partitions qui ont des droits d'auteurs sur l'édition pour éviter de ne plus pouvoir recopier une partitions lorsque l'original disparaitra. Cela reste néanmoins peu probable.
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