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Comment j'ai fait ma généalogie

Mes premiers pas en généalogie, mes errements, mon modeste savoir faire.

Je retrace ici ce que je retire de mon expérience de généalogiste amateur, parti de zéro.
Ce que je ne savais pas, c’est que c’est une activité sans fin. Comme sur un bateau, tu n’atteins jamais l’horizon.

Pour commencer

Mais qu’est-ce qui m’a pris ?

J’avais une vilaine photocopie d’un arbre généalogique tracé avec une imprimante à aiguilles dans les années 80.

J’aurais pu aussi partir du livret de famille, ou à défaut de mon acte de naissance.

Cet arbre n’était pas à jour, la famille s’était modifiée entre temps. Il manquait aussi des dates, des prénoms. Surtout, tout en haut, il y avait marqué : "nos ancêtres".
Cet arbre est un ensemble de boîtes reliées par des traits pour matérialiser les relations de parenté. Dans chaque boîte, on trouve au mieux le nom de la personne, le lieu et la date de naissance, la date du décès éventuelle.
Je me suis dit que ce serait bien d’imprimer un arbre à jour et bien complété.

Je ne savais pas que j’allais me lancer dans une quête pleine de surprises.

Par où commencer ?

J’ai tout d’abord cherché comment tracer un arbre généalogique. Avec des outils bureautique classiques et un modèle "organigramme hiérarchique" ?
Mais je ne trouvais rien de satisfaisant. Au final, j’ai cherché un logiciel de généalogie gratuit qui tourne sur mon PC.
On trouve plusieurs logiciels payants, avec une évaluation gratuite, mais peu sont gratuits et fonctionnels.
J’ai finalement choisi Ancestris parce que c’est un logiciel réellement gratuit, éprouvé avec des fonctionnalités étendues. En particulier, il permet des représentations graphiques qui ont de l’allure. Une autre fonctionnalité importante d’Ancestris, c’est la compatibilité avec le format d’échange généalogique GEDCOM.
Ancestris est développé par des promoteurs de la Généalogie Libre, et il fonctionne sur MacOS, Windows et Linux.

Saisie en local

J’ai donc mis les informations existantes dans mon PC avec Ancestris.
D’emblée, il manquait des informations sur ma copie papier : ici une date précise, là un lieu, et cette case "Nos ancêtres" qui me narguait. Il n’y avait pas d’informations sur les mariages.

Les premiers compléments

Souvenirs de famille

J’ai alors contacté mes proches qui effectivement m’ont donné des informations complémentaires. Ils m’ont également transmis des documents de famille et des portraits photo anciens.

Copie des actes

Pour les actes récents, il faut les demander en ligne à la mairie concernée, en justifiant la qualité de descendant.
J’ai demandé à la mairie copie de l’acte de mariage de mes parents, avec les noms et prénoms exacts de mes grands parents. J’ai également demandé des actes de naissance.

C’est chronophage !

Rien que pour emplir ma propre fiche dans Ancestris, cela m’a pris bien du temps, car je pouvais renseigner mes domiciles successifs et mes emplois.
Pareil pour mes parents.
Ces activités m’ont détourné de mon objectif initial, qui était juste de pouvoir produire une impression à jour de l’arbre.
En plus, on peut attacher des médias, par exemple les portraits des personnes ou les actes d’état civil.
Puis j’ai fait mes premiers arbres en PDF, pour les soumettre aux membres de ma famille. J’avais en retour des corrections et des précisions complémentaires.
Je me suis vite rendu compte que ce n’était pas très convivial. J’ai alors cherché une solution web gratuite elle aussi.

Les archives

En France, les documents administratifs sont archivés et accessibles gratuitement. Avec la numérisation des archives, beaucoup sont accessibles en ligne. De ce point de vue, la France est un paradis pour les généalogistes :D .
Chaque département français a son site d’archives. Pour le trouver, rien de plus simple : chercher "archives départementales" avec le nom actuel du département (ou son numéro).
Par exemple, "archives départementales Creuse".

Déchiffrage

Archives du vingtième siècle

Les archives du siècle passé sont souvent dactylographiées. Le papier est récent, les images sont de bonne qualité. La lecture se fait sans problèmes.

Archives plus anciennes

Les archives plus anciennes sont manuscrites. Il faut un peu d’entrainement pour déchiffrer les écritures anciennes.

Au dix-neuvième siècle

Les officiers d’état civil écrivent souvent les noms et prénoms en marge de l’acte.
Certaines communes utilisent des registres pré-imprimés, ce qui uniformise les informations et facilite la lecture.

Au dix-huitième et avant

Plus c’est ancien, plus c’est difficile à lire, d’une part parce que la façon d’écrire n’est pas habituelle, d’autre part parce que le papier est altéré par le temps.
Il faut souvent chercher les noms et prénoms dans le corps du texte.
Avant l’instauration de l’état civil, les informations étaient consignées dans des registres paroissiaux (donc, ne concernaient que les catholiques). Certains curés rédigeaient en latin, avec la transcription latine des prénoms.

Particularités régionales

En Alsace, il y a des actes d’état civil en allemand (de 1870 à 1918). On trouve aussi de l’allemand dans des registres paroissiaux.
Cas de Paris : les archives étaient dans le palais de Tulleries qui a été incendié pendant la Commune de Paris. Les personnes pouvaient demander la reconstitution de leur état civil. Ces documents sont aussi accessibles en ligne pour les naissances et les mariages. On trouve aussi un "registre de catholicité" correctement indexé.

Les dates

Le mois de septembre s’écrivait jadis 7 bre, octobre 8 bre, novembre 9 bre, voire IX bre, et décembre s’écrivaient X bre.
C’est parce que les années commençaient au printemps, mars étant le premier mois, le septième mois était … septembre

Pendant la période révolutionnaire, l’utilisation du calendrier républicain brouille les repères.
De nombreux sites d’archives proposent une conversion vers le calendrier grégorien.

Les sources

Quand je trouve quelque chose, je prends une copie d’écran sur laquelle je note ma source. Cela permet de retrouver ultérieurement le document.

Un format pour les sources

Certaines archives proposent un "permalien".
Je ne les utilise plus car le côté premanent n’est pas garanti.
Je n’ai pas connaissance d’un format normalisé pour les sources généalogiques. Je pense qu’il faut y résumer une méthode d’accès.
Par exemple, dans le contexte d’un mariage :

AD Aisne EC BMS Baulne-en-Brie 5Mi1119 - 1763 1793 p. 136–138/314<br> https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta9ec2bb53a8ba582a/daogrp/0/137

signifie qu’il faut chercher dans les archives de l’Aisne, (EC pour l’état civil, et il s’agit d’un registre qui concerne les Bapteme / Sepulture / Deces / Mariage / Naissance), dans la commune de Baulne-en-Brie, pour les années de 1763 à 1793 , page 136 et 137 .
Je note aussi le nombre de pages contenues dans le référence, ici 314.
Pour éviter toute confusion, je donne le numéro de volume : 5Mi1119

L’état civil

Les documents d’état civil accessibles en ligne ont généralement plus d’un siècle. Pour les documents plus récents, il est possible d’en obtenir une copie en faisant une demande en ligne auprès de la mairie, à condition d’avoir un lien de parenté avec la personne concernée.

Historique

Sous l’ancien régime, les paroisses tenaient un registre des baptêmes, des mariages et des décès.
On trouve parfois des registres tenus par les pasteurs de l’église réformée. Je ne sais pas ce qui se passait pour les autres confessions.
La révolution a institué l’état civil laïc pour tous les citoyens français.

Les microfilms

Dans un premier temps, l’Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours, très motivée par la généalogie, a réalisé des microfilms des actes d’état civil, et a laissé des copies à disposition des archivistes. Ces microfilms ont ensuite été numérisés.

Contenus

On y trouve les actes de naissance, de mariage, de décès. Ceci permet de remonter aux parents.

  • Les actes de naissances ont parfois des annotations marginales sur le mariage et le décès.
  • Les actes de mariage sont souvent très intéressants, parce que les parents sont cités et (au 19ième) les grands parents. Quatre témoins sont cités, avec leur parenté éventuelle (par exemple, "frère du marié", "oncle de la mariée").
  • Les actes de décès mentionnent le lieu du décès, date et lieu de naissance, nom et prénom des parents.

Pour trouver un acte, il faut connaître le nom de la personne, la commune et la date. Grace aux tables décennales et annuelles, une date approximative suffit.

Pour ma généalogie

J’ai donc commencé par rechercher les actes de naissance de mes parents. Mais ces actes ne sont pas en ligne, il faut les demander à la mairie en tant que descendant. On y trouve des informations sur les grands parents.

C’est devenu vite compliqué, avec des personnes nées aux USA, d’autres en Alsace alors territoire allemand. Plus tard, j’ai eu à retrouver des personnes originaires de Belgique.
Une autre difficulté, c’est que l’accès aux archives numériques est différent d’un département à l’autre.

Les archives militaires

En France, les autorités militaires établissent une fiche individuelle de matricule depuis l’époque napoléonienne.
On y trouve des informations d’état civil et les adresses successives du soldat pendant une quarantaine d’années. Il y a bien sûr les états de service : affectations, grades, campagnes, blessures.
Le site Mémoire des Hommes regroupe des documents d’archives militaires relatifs à La Première Guerre mondile, en particulier les matricules des soldats "morts pour la France".
Il y a aussi des documents de l’époque napoléonienne.

matricule

La fiche de matricule était dressée lors du vingtième anniversaire de la personne. On la trouve dans les archives départementales du département où résidait la personne.

Tables alphabétiques

Ces tables permettent de trouver le numéro de matricule du soldat. Ce numéro est très utile pour trouver ensuite la fiche de matricule.

Registres de matricule du recrutement

C’est là que se trouvent les fiches de matricule.
Pour certains soldats, il n’étatit pas possible de tout écrire sur la fiche. On collait alors des petits volets en papier pour y consigner les informations. Dans ce cas, il y a plusieurs vues de la fiche numérisée. C’est ainsi que, pour la fiche de Cherles De Gaulle, il y a 6 vues.

Recensements

Les recensements nominatifs permettent de savoir quelles personnes habitaient au même foyer.
Tant que les recensements ne seront pas indexés, il sera difficile de les exploiter. En effet, les recensements sont réalisés maison par maison, en suivant les voies. Mais l’ordre des voies n’est pas explicite. Il faudrait au moins indexer les voies. Dans une ville comme Paris, qui compte près de 6.000 rues, les recensements nominatifs étaient réalisés par quartier, sans que le liste des rues d’un quartier soit publiée. De plus, le nom des voies peut changer !

Autres sources

Des actes notariés, des jugements, des registres de cimetières, des casiers d’hypothèques, des annuaires sont parfois disponibles.
Galica archive aussi des publications locales, par exemple des bulletins municipaux. Certaines congrégations religieuses ont également des archives nominatives.

Sur la toile

Portage sur Internet

Sur quel site ?

Une recherche rapide permet de se faire facilement une idée. Il y a les sites payants et les sites gratuits. Je préfère les sites gratuits.
Quand on met des informations sur l’Internet, la première question qui vient à l’esprit, c’est la propriété des données. Cet aspect m’a rapidement détourné des sites hébergés aux USA, parce qu’ils ne donnent pas des garanties satisfaisantes quant aux informations qu’on leur fourni.
Après avoir lu avec attention les GCU et les GCV, j’ai choisi GENEANET. Le site se rémunère en vendant des publications spécialisées dans la généalogie et aussi en offrant un abonnement "premium" qui procure des facilités de recherche étendues. Je n’ai pas choisi cette option.

La communauté GENEANET

Avec le recul, je pense que c’est le principal avantage du site, qui a été crée par des généalogistes désireux de mettre en commun leur recherches.
Je peux facilement rechercher si quelqu’un a déjà décrit une personne qui est dans mon arbre. C’est ainsi que j’ai découvert des parents dont j’ignorais l’existence. Mais surtout, en contactant d’autres amateurs, j’ai appris comment tirer parti des archives. Il faut dire que certains contributeurs comptent plus de mille individus dans leur arbre !
De plus, la communauté organise des sessions d’indexation collaborative. Ce travail collectif permet au site de donner accès à de nombreux documents archivés.

Portage sur GENEANET

Pas de problème, GENEANET permet d’importer et d’exporter des fichiers GEDCOM.
Il faut ensuite attacher manuellement les divers médias, puisque la norme GEDCOM ne gère pas les médias.

Hors de France

Aux USA

Pour mes recherches aux USA, j’utilise FAMILYSEARCH. Ce site est géré par L’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours.
Comme c’est aux USA, les informations ne sont pas traitées avec les standards européens. J’ai donné le minimum d’information pour m’inscrire. Je sais qu’ils gardent trace des recherches que j’ai pu faire.
C’est le prix à payer pour accéder à une vaste collection de documents tous indexés, par exemple les recensements, les mariages, les décès, les arrivées à Ellis Island.
Ils ont aussi des documents issus des arbres généalogiques qu’ils hébergent.
Cependant, il est difficile de remonter aux origines des immigrés. Ainsi un de mes ancêtres était signalé comme né en France avec une date de naissance approximative. Pour le retrouver, j’ai fait appel à un généalogiste.

En Belgique

La Belgique a un système d’archives comparable au système français.
J’ai pu remonter avant l’époque napoléonienne sans grosses difficultés. J’ai pu bénéficier de l’aide de Belges francophones qui utilisent GENEANET.


Bilan provisoire

De fil en aiguille, mon projet initial de mise à jour d’une feuille A4 s’est transformé en une quête passionnante de mes racines, j’ai retrouvé des cousins lointains, j’ai pu échanger avec eux. Cela a aussi contribué à resserrer les liens familiaux, chacun apportant sa pierre à l’édifice.

Si c’était à refaire …

Je commencerai directement à faire ma généalogie sur GENEANET. J’utiliserai ANCESTRIS pour faire de belles impressions d’arbres.

10 commentaires

Question bête : tu as pu remonter jusqu’a quand pour tes ancêtres ? Tu penses pouvoir remonter encore plus loin ?

+0 -0

Merci pour ce billet ! :)

Mon père aime beaucoup la généalogie, et il a pu faire remonter notre arbre jusqu’en 1500. Mais c’est un travail de patience qui lui a pris des années, et il a dû pas mal se déplacer pour retrouver de vieilles archives.

En plus on ne progresse que par petits bouts, et parfois on obtient des informations par chance ou de façon indirecte. Par exemple, une partie de ma famille vivait en Italie et il a réussi un jour à identifier l’emplacement du cimetière d’un petit village où quelques uns de nos ancêtres sont enterrés. Avec les inscriptions sur les tombes et même des photos pour les plus récents, il a ainsi complété un peu plus l’arbre alors qu’il ne trouvait pas ces informations dans les actes.

EDIT : Et pour l’anecdote, j’avais une voisine issue d’une famille noble dont la généalogie était précieusement conservée de génération en génération depuis Saint Louis. Sauf qu’à la Révolution une partie des documents de l’époque ont été détruits et donc aujourd’hui elle a un trou au milieu de son arbre. ^^

+2 -0

Question bête : tu as pu remonter jusqu’a quand pour tes ancêtres ? Tu penses pouvoir remonter encore plus loin ?

Demandred Vers !/§

Je ne sais pas au juste quelle est la date la plus reculée. Vers 1730 je pense.
A vrai dire, je ne cherche pas non plus a remonter. Ce qui me fais plaisir, c’est d’essayer de comprendre comment ces gens vivaient, quel métier il avaient.
Par exemple, il y a un soldat de l’Empire décédée dans un hôpital militaire en Belgique, ou un soldat de la première guerre qui a été mordu par un cheval, des sabotiers en Belgique qui sont allés travailler dans les verreries a Aniche …
J’en connait qui veulent accumuler le plus de personnes possible, ce n’est pas mon truc.

+3 -0

En soft pas sur internet moi j’ai utilisé Gramps.

Le plus loin où je suis remonté c’est 1730 (avec le nom des parents, eux même sans doute née vers 1700).

Si y a pas de mauvaise blague (enfants hors mariage, famille en Belgique/Allemagne ou à l’étranger de manière générale, des changement de villes intempestif faisant perdre la trace des actes, département qui n’ont pas leurs archive numérisé : Gard…) ça se remonte assez bien jusqu’à la revolution avec un peu de patience.

En pratique avec tous les problèmes (précédemment cité) je n’ai réussi qu’a remonté que quelque branche jusqu’à la revolution.

Avant la revolution c’est un plaie, c’est illisible et ça devient un vrai vrai vrai travail de fourmi…

Pour la Belgique quand les archives on été traité c’est (hyper) efficace mais comme il n’y a pas l’accès au micro film quand elles n’ont pas ét" traité c’est bloqué (sauf à se déplacer). Et surtout les orthographes des noms (personnes, villes etc.) qui ne sont pas les même cotés flamand et Wallon/France… rrrrrr)

J’avais un grand cousin éloigné qui avait généré un arbre généalogique sur 8–10 niveaux (jusqu’à 1500–1600) et très horizontal (avec la majorité des oncles/cousins) avec plus de ~300 noms, l’arbre était sous forme de rouleau, déroulé il doit faire 2 - 3 mètres (si ce n’est plus, une grande table ne suffit pas pour le dérouler). (Je l’ai revu l’année dernière je n’ai plus en tête les chiffres exactes).

Tout ça pour dire qu’on peut faire un travail énorme !

En soft pas sur internet moi j’ai utilisé Gramps.

Le plus loin où je suis remonté c’est 1730 (avec le nom des parents, eux même sans doute née vers 1700).

Si y a pas de mauvaise blague (enfants hors mariage, famille en Belgique/Allemagne ou à l’étranger de manière générale, des changement de villes intempestif faisant perdre la trace des actes, département qui n’ont pas leurs archive numérisé : Gard…) ça se remonte assez bien jusqu’à la revolution avec un peu de patience.

En pratique avec tous les problèmes (précédemment cité) je n’ai réussi qu’a remonté que quelque branche jusqu’à la revolution.

Avant la revolution c’est un plaie, c’est illisible et ça devient un vrai vrai vrai travail de fourmi…

Pour la Belgique quand les archives on été traité c’est (hyper) efficace mais comme il n’y a pas l’accès au micro film quand elles n’ont pas ét" traité c’est bloqué (sauf à se déplacer). Et surtout les orthographes des noms (personnes, villes etc.) qui ne sont pas les même cotés flamand et Wallon/France… rrrrrr)

Vael

Je ne connaissais pas CRAMPS. Les diagrammes en éventail sont sympa.

Pour la Belgique, j’ai des petits problèmes. J’ai consulte des registres paroissiaux. Une fois qu’on connait la paroisse, et sachant que les gens savaient dire leur nom, mais pas l’écrire, ni le lire. En plus, c’est difficile de repérer les noms de famille parfois écrits sans majuscules, avec une orthographe variable …

+0 -0

Autre site de généalogie, roglo.eu qui dispose d’une base impressionnante. Si tu es franco-français, il y a une probabilité non négligeable pour que tu sois présent dans la base de données ^^

melepe

Je n’ai rien trouvé me concernant dans cette base.
La base Geneanet me semble plus riche.

+0 -0

J’avais un grand cousin éloigné qui avait généré un arbre généalogique sur 8–10 niveaux (jusqu’à 1500–1600) et très horizontal (avec la majorité des oncles/cousins) avec plus de ~300 noms, l’arbre était sous forme de rouleau, déroulé il doit faire 2 - 3 mètres (si ce n’est plus, une grande table ne suffit pas pour le dérouler). (Je l’ai revu l’année dernière je n’ai plus en tête les chiffres exactes).

Tout ça pour dire qu’on peut faire un travail énorme !

A-312

Je pense qu’avec des dates aussi anciennes, une telle généalogie mérite d’être partagée.

+1 -0

Autre site de généalogie, roglo.eu qui dispose d’une base impressionnante. Si tu es franco-français, il y a une probabilité non négligeable pour que tu sois présent dans la base de données ^^

melepe

Je n’ai rien trouvé me concernant dans cette base.
La base Geneanet me semble plus riche.

etherpin

Ah, moi c’est l’inverse, j’ai une base assez récente sur généanet en ce qui me concerne (faite par un cousin éloigné), et beaucoup plus sur roglo : non seulement la même base que précédemment, mais aussi tout une généalogie qui remonte plus de mille an sur une branche.

Après roglo il me semble que si tu n’es pas inscrit tu ne vois rien de moins de 100–150 ans.

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