D’autre remarque en Vrac :
Mais les particules élémentaire ont un trait particulier
C’est bizarre tu as déjà introduis la notion de physique quantique et tu arrive avec "mais blabla" comme si il y avait un problème dans ce que tu avait dit avant (alors que non). Les idées ne sont peut être pas dans le bon ordre.
Tu introduis dans ce sens :
- la notion de physique quantique
- la notion de chimie quantique
- rôles des électrons dans les molécules
- la notion dualité onde corpuscule (tien elle est pas unique au particule élémentaire mais a tous objet décrit par la mécanique quantique… on fait des interférence de molécules )
Du coup mois je ré-organiserais comme cela :
- Rôles des électrons dans les molécules
- (ajout) limitation de la physique classique
- onde-corpscule
- mécanique quantique
- chimie quantique
Et parler de la chimie quantique à la fin de ton intro c’est mieux que de l’introduire au milieu puis ne plus en parler il me semble.
Sur cette phrase :
Mais les particules élémentaire ont un trait particulier qui les mettent hors de notre portée. C’est la dualité onde-corpuscule qui va nous empêcher de vraiment saisir la nature de ces particules.
J’aime pas trop. Outre le flou autours de "natures" des particules dans ce contexte ( utilisé de cette manière sa relève plus de la philosophie) le comportement des particules est indépendant de la discussion sur leur nature nope ?
Pour moi il n’y a aucun doute que le comportement des électrons défis notre "sens commun" mais a aucun moment ceux si sont "hors de notre porté".
Et bien lorsque des photons d’énergie cosmique
OBJECTION !
Ce sont des particules chargées qui rentrent en collision avec l’atmosphère, si c’était des photons on en verrait partout sur la planète mais la non, ce sont des particules chargées guidées par le champ magnetique terrestre qui rentrent toutes au même endroit dans l’atmosphère => du coup beaucoup de fluorescence au même endroit => c’est beau.
L’important c’est de connaitre la quantité d’énergie à fournir pour arracher un électron. Et quand on parle de ionisation, l’électron en question est forcément un électron de valence. Nous en avions déjà parler lors des règles de Klechkowsky, il faut faire attention aux électrons de coeur, on ne peut pas les arracher n’importe comment ça demande beaucoup d’énergie, car ils sont stable.
Tu confirmes que normalement le lecteur sait ce que sont les électrons de valence (ça fait partie des prérequis ?).
"Stable" ne me semble pas adapté. Ici ce que tu veux dire est soit "état stable" soit "lié" (ou "état lié") mais "stable" tous seul sonne bizarre. Dans ton exemple tous les électrons sont liés à l’atome (le noyau ?) les électrons de cœur sont juste "plus lié" que les électrons de valences.
Dans la formulation actuel tu sous entends que les électrons de valence ne serait "pas dans un état stable" ce qui est faux.
Dû à l’imprécision flagrante
Ah bon ? le lecteur n’a aucun moyen de savoir l’imprécision de la formule, elle n’est donc pas si flagrante !
Vous avez pris connaissance de la première bidouille qui consiste à dire "ça interagit pas lol osef". Mais en faisant de tel approximation les erreurs sont vraiment grotesque et l’équation n’est même pas exploitable en l’état. Par contre de petites variations assez simples peuvent être appliqués à l’équation des électrons indépendants.
Il a fait beaucoup pour la chimie quantique cet homme2. Et nous allons étudier l’une des simplifications de la chimie quantique. Des constantes à appliquer sur le noyau atomique. Le tout est de procéder simplement, en imaginant le noyau comme étant un sphère chargé de plusieurs protons on va pouvoir simplement jouer sur la valeur de Z
Z pour la transformer un Zeff
Zeff moins surestimé, une charge "effective".
Nous allons diminuer algébriquement la charge de notre noyau, car en réalité si l’on étudie l’électron de valence pour l’ioniser cet atome (oui nous y arriverons bientôt ) il va falloir connaitre son énergie avec plus de précision.
Hugh…! Je pense que tu peux re-travailler cette partie en profondeur. Je sais pas trop ce que tu veux dire, sur quoi tu veux mettre l’accent et en l’état je suis pas sur que le lecteur néophyte comprenne quoi que ce soit (et les phrases ont des drôles de tournure !)
je trouve le "ça interagit pas lol osef" un peu "too much".
Les électrons ne servent pas qu’à être arraché.
Je sais pas ce que tu veux dire mais je pense que tu peux virer cette phrase.
Nous avons déjà constaté que la ionisation était très visuelle comme effet. Et bien les excitations électroniques elles aussi nous donne certaine couleur que nous pouvons carrément analyser
Alors je sais pas si tu as dit ça quelque par dans le tuto mais si tu l’as dit… c’est faux hein ce qui est visuel c’est la recombinaison ou la de-excitation. L’excitation ou l’ionisation ne produit absolument pas de lumière
les différentes séries de l’hydrogène
Le lecteur est sensé connaitre les séries de l’hydrogène ?
Si on notre les état dans lesquelles les électrons se retrouvent lorsqu’ils sont sur un atome, on peut se permettre de noter les états accessible haut en énergie comme ceci :
On constate que lors de l’excitation de l’électron il accède aux autres états d’énergie.
C’est flou
Bon sur le dessin1 les couches sont notés K,L,M mais je n’y peut rien
De ? le lecteur est sensé savoir que ce KLM se rapporte à autre chose nommé parfois d’une manière différente ? A bah oui visiblement depuis la sous section "Chapitre I atomistique 1.Electron - KLM" ou a part dans le titre et dans le dessin il n’est jamais mentionné KLM …
Quoique le plus intéressant est d’utiliser l’équation des électrons indépendants (e.i) :
hum… il serait pas plus utile de montrer formellement en quoi la formule de Rydberg est exactement la même chose que la formule de l’énergie des électrons dans l’atome d’hydrogène ? (Plutôt que des les "opposer" ?).
Impression générale : tu veux dire beaucoup de chose en allant vite, au final c’est assez flou et confus !
@pierre_24 :
OK, alors j’ai pas tous compris : je ne comprend tjrs pas comment une combinaison linéaire des fonction de s et p peuvent donner la forme des fonctions sp (en les déphasant ? Mais même je ne voie pas comme ça pourrait marcher).
Par contre je comprend très bien l’argument empirique de créer des fonctions orthogonals qui répondent aux propriété de ce qu’on observe.
A propos du "ta gueule c’est magique" : Aaaah nous y voila niark niark. Plus sérieusement je suis totalement pour utiliser le ta gueule c’est magique. par contre je trouve important de le souligner quand c’est usé et de préciser egalement si c’est :
un postulat
une hypothèse empirique sans signification physique particulière
un truc démontrable (qui sera démontré plus loin ou pas si ça dépasse le cadre du cours)
Et dans le troisième cas de préciser si utile, si ça fait appelle à des postulats.
Pour moi c’est ce qu’il manque le plus dans les cours. Quand les "ta guele c’est magique" sont précisés sa permet au lecteur de comprendre plus en profondeur. Également ça lui permet de savoir si il a tous bien compris ou non : si il ne comprend pas d’où vient un truc qui n’est pas "tagueule c’est magique" alors il il ya un truc qu’il n’a pas saisie. dans le cas contraire ils a tous bien compris, pas la peine de s’attarder sur "tel formule" puisqu’il n’y a "rien à comprendre".