Bonjour,
J’essaye de comprendre les inquiétudes sur les évolutions des cookies. Je suis loin de comprendre ses inquiétudes en adoptant un point de vue juriste1.
En 2013, la CNIL écrit des recommandations pour les cookies : https://www.cnil.fr/fr/cookies-traceurs-que-dit-la-loi
En 2018, la CNIL déclare ses recommandations obsolètes. Suite au RGPD.
En 2019, la loi « Informatique et Libertés » arrive.
Je ne comprends pas l’impacte de la RGPD sur mon cookie de mesure d’audience.
Si je prend l’article premier et l’article 2 sur le champ d’application matériel :
Article 2 - Champ d’application matériel
Le présent règlement s’applique au traitement de données à caractère personnel, automatisé en tout ou en partie, ainsi qu’au traitement non automatisé de données à caractère personnel contenues ou appelées à figurer dans un fichier.
Ma mesure d’audience fonctionne grâce à un cookie anonymisé (complément aléatoire et relié à aucun autre service) et ma requête HTTP (qui contacte le back pour effectuer la mesure d’audience) va me permettre de connaitre la ville de façon anonyme (tout ceci sans aucun stockage de l’ip).
Mon dernier paragraphe donne-t-il lieu à qualifier les données de personnelle ?
-
Un juriste est une personne qui étudie, développe, pratique ou applique le droit. On emploie indistinctement le terme de juriste pour un étudiant en droit, un professeur de droit, un jurisconsulte, un avocat ou encore un juriste d’entreprise.
↩