Reconversion dans l'informatique ?

Étant chimiste avec quelques connaissances en programmation

Le problème exposé dans ce sujet a été résolu.

Bonjour tout le monde,

Je suis à la recherche de témoignages sur les possibilités d’intégrer le marché de l’emploi dans l’informatique. Comme je suis Zeste de Savoir depuis ses débuts et apprécie beaucoup sa communauté, je tente ma chance ici avec ma question.

Je suis officiellement chimiste de synthèse et ai récemment fini un doctorat. Je n’ai eu que très peu de contacts avec la programmation durant mon parcours, mais depuis mes 17–18 ans, j’ai fait plusieurs petits projets plus ou moins sérieux avec différents langages (tout a commencé avec le Site du Zéro de l’époque).

J’ai entendu autour de moi, mais de façon vague, qu’on peut se faire embaucher dans l’informatique avec un parcours similaire au mien ("si tu as quelques trucs en programmation à faire valoir, c’est faisable").

Je suis en train de me constituer un "portfolio" avec mes modestes réalisations sur Github. Si une tentative de reconversion semble viable, j’envisage de suivre des cours certifiants par correspondance avec l’EPFL.

Point important… je suis en Suisse. Y a-t-il ici des gens sur le marché suisse qui pourraient clarifier ces infos ? Avez-vous vu des cas similaires autour de vous ? Toute info venant de France est également bienvenue ! ;-) À ce stade tout est ouvert.

Merci beaucoup de m’avoir lu !

Mathias

+1 -0

Salut !

Oui c’est possible, j’ai recruté dans mon ancienne boîte plusieurs profils avec des parcours similaires au tien. C’est a dire doctorat dans un domaine scientifique avec une reconversion dans informatique. En France la société agility factory propose ce genre de reconversion (je n’ai aucun lien avec eux). De ce que j’ai vu si tu as des choses a montrer en informatique en lien avec ta formation (MATLAB, opencv, petits scripts, etc.) c’est un petit bonus. Après le recrutement se fait aussi sur ton attitude et ta capacité à te former.

De ce que j’ai vu ce son généralement des formations assez rapides (quelques mois) donc il faut bien savoir ce qu’on veut faire en sortant pour ne pas être déçu. (Dans notre cas c’était une reconversion développement web: HTML, js, Django, python, etc.).

J’ai aussi un ami qui a fait une reconversion après un master mais cette fois ci directement avec la SS2I (Sopra) qui allait l’embaucher à la sortie (et en partenariat avec pôle emploi). A nouveau la formation est assez courte et j’ai l’impression qu’il a été vite lâché dans la nature.

Ce que tu veux faire est bien faisable, comme partout il y a des abandons et des gens qui ne sont "pas fait pour ça", mais si tu es motivé tu peux y arriver sans problème.

As tu une idée plus précise de quel métier tu souhaites faire demain ?

L’école dans laquelle je suis allé propose des formations "dédiées" au profil comme le tiens (même si il accepte également des gens qui n’ont fait que de l’informatique) : il s’agissait d’une formation de 2 ans qui délivre un diplôme d’ingénieur à la fin

Je te donne pas le lien car c’est en France mais j’imagine que tu peux trouver des équivalents en Suisse

+1 -0

Merci beaucoup pour vos réponses !

Oui @Angelo il y a des possibilités d’études en Suisse, mais je préférerais m’en passer… Ou alors quelque chose de combiné formation/emploi.

Ce serait parfait de réussir comme l’ami d' @Anto59290 chez Sopra… je cherche actuellement un plan de ce genre, mais je ne connais absolument personne dans le milieu qui puisse me donner de bons tuyaux. Je vais me renseigner sur Agility Factory côté France.

As tu une idée plus précise de quel métier tu souhaites faire demain ?

Anto59290

Actuellement il y a beaucoup d’offres d’emploi pour du frontend qui ne demandent pas de gros diplômes, donc je me dis pourquoi pas et ce serait peut-être le point d’entrée le plus accessible.

Mais à priori je rêve plus de ce qu’il y a en backend (logiciel, web, apps, etc.). Là je suis en train de finaliser un jeu vidéo mobile de chimie avec Unity en C# et j’adore me prendre la tête pour faire tourner du "gros code".

Je vais commencer à envoyer des candidatures spontaneés et je verrai si le taux de retour est de 0%…

Aussi, comment est l’état d’esprit dans la branche en interne ? Les gens se comparent les doctorats* et je serais toujours l’amateur du coin, ou vous pensez qu’on peut progresser dans une certaine mesure en fonction de ce qu’on fait ?

Merci encore :-)

* en chimie c’est terrible, mais peut-être surtout parce que l’essentiel du business se fait dans des multinationales élitistes

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Salut,

Là je suis en train de finaliser un jeu vidéo mobile de chimie avec Unity en C# et j’adore me prendre la tête pour faire tourner du "gros code".

Ça serait intéressant de voir ce que tu as fait de ce côté-là et même d’explorer cette idée plus en profondeur peut-être. Je ne connais malheureusement pas beaucoup d’entreprises en France qui regardent le travail accompli avant de regarder le diplôme, mais un portfolio c’est mieux que rien du tout.

Ensuite, une question qu’on ne t’a peut-être jamais posée : pourquoi ne pas essayer de faire une activité lucrative à partir de ton jeu de chimie ? Peut-être que tu tiens quelque chose ?

Enfin, pour ne pas trop digresser, je reçois souvent des emails de Pole Emploi qui propose des formations en vue de reconversions pour travailler dans des ESN, donc en ce sens ça abonde totalement dans le sens d’ @Anto59290 et je pense que c’est une chance pour les profils comme le tien ! ;)

Merci Ge0 !

Au début ce projet d’application ludique/éducative en chimie, je le faisais surtout pour assouvir mon envie de programmer comme hobbyiste. Mais ensuite je me suis effectivement posé la question de son potentiel… Mais lucratif, je n’y crois pas. J’ai étudié un peu le marché, et malheureusement j’ai l’impression que la concurrence peine à faire du profit. Par contre je pense que j’ai un bon réseau dans l’académique pour en faire la promotion à l’international. Avoir des téléchargements, ce serait déjà super. Mais c’est vraiment un marché de niche donc il est difficile de trouver des points de comparaison.

Par contre, je compte bien orienter le projet pour m’aider à percer dans l’informatique, j’y réfléchis.

Enfin, pour ne pas trop digresser, je reçois souvent des emails de Pole Emploi qui propose des formations en vue de reconversions pour travailler dans des ESN, donc en ce sens ça abonde totalement dans le sens d’ @Anto59290 et je pense que c’est une chance pour les profils comme le tien ! ;)

Ge0

Il faut vraiment que je contacte des boîtes de placement dans ma région pour tâter le terrain.

Merci beaucoup pour vos réponses !

Oui @Angelo il y a des possibilités d’études en Suisse, mais je préférerais m’en passer… Ou alors quelque chose de combiné formation/emploi.

Source:mathiasm

J’ai oublié de préciser que cette formation était en alternance :)

Il y a aussi le cned qui est assez connu pour ses formations mais je ne connais pas suffisamment bien pour te conseiller cela

Salut,

Déjà il y a quelques années, j’entendais des gens blaguer en disant « de tout façon ceux qui font chimie vont finir dans l’informatique ». Dans les années 80, on disait ça des ingénieurs agro. :D

J’ai une connaissance qui s’est fait embauché et formé par Sopra après une formation en génie atomique (le secteur recrutait très peu quand il est sorti d’école…). Il est fait maintenant de l’informatique bancaire (Java et Cobol notamment). La formation dure en effet quelques mois et ensuite les nouvelles recrues sont intégrées sur les projets, parfois un peu brutalement. C’est pas pour tout le monde, c’est sûr.

Déjà il y a quelques années, j’entendais des gens blaguer en disant « de tout façon ceux qui font chimie vont finir dans l’informatique ».

Aabu

Espérons !

Voici mes projets hébergés à la va-vite sur Github, si quelqu’un est intéressé par la chimie computationnelle. ;)

github.com/mathiasmch

Krypton est opérationnel, Neon peu utile dans son état et ChemistryApp ne contient pour l’instant que les scripts C# de Unity et aucune présentation. Mais je lui réserverai un site web ou qqchose avant publication sur Google Play et Cie.

Mais à priori je rêve plus de ce qu’il y a en backend (logiciel, web, apps, etc.). Là je suis en train de finaliser un jeu vidéo mobile de chimie avec Unity en C# et j’adore me prendre la tête pour faire tourner du "gros code".

Côté back tu as, vu ton profil deux parcours possible :

  • Les grosses société style Sopra, dans lequels tu va probablement finir par faire quelque chose comme du Java, du Cobol ou du .NET. Les clients type sont les banques, les assurances, les gros acteurs français (décathlon, sncf, etc.à les services francais type Sécurité sociale, etc. Donc générallement des grosses codebase avec pas mal d’historique (voir énormément pour les plus vieux trucs en cobol par exemple). Clairement si tu fait le tour de Sopra et cie j’ai pas trop de doute sur le fait que tu trouve une place
  • Les boites de reconversion (type agility factory, le wagon et autres) qui seront sur des technos différentes (Python, Ruby, Java je pense, PHP) et pour lesquels le client final sera probablement un acteur plus petit et plus jeune comme des start-ups de quelques années.

Aussi, comment est l’état d’esprit dans la branche en interne ? Les gens se comparent les doctorats* et je serais toujours l’amateur du coin, ou vous pensez qu’on peut progresser dans une certaine mesure en fonction de ce qu’on fait ?

[Basé sur uniquement 4 retours de personnes qui sont passées via Agility Factory]

Au sein de la formation les gens sont tous doctorants / niveau master, en général tous des scientifique (chimie, physique des matériaux, etc) donc ça se passe plutôt bien de ce côté. Une fois arrivé en entreprise on avait pris soin de ne pas placer les nouveaux arrivants ensemble, ça avait même fait partie des demandes de certains. Le but est d’éviter que les nouveaux arrivants restent entre-eux. Une fois dans la boite tu sera jugé sur:

  • Ce que tu produit comme travail, sachant qu’on te considère comme ultra junior donc la barre n’est pas très haute au début en termes de résultat attendu (sinon c’est que la boite qui te recrute n’ont pas tout compris).
  • Ta capacité d’apprendre: ok tu as pas fait des études en informatique, mais il est attendu que tu bûche pour progresser la première année.

Pour toi comme pour l’employeur il y a une période d’essai qui est un outil pour rectifier les éventuels problèmes.

[Basé sur mon ami en SS2I]

Le début a été un peu dur, on l’a placé a côté d’un gars qui partait du projet dans 2 mois et il a du apprendre à la dure. La formation avait couvert beaucoup de langages, etc. une fois en entreprise tu te retrouve à utiliser 1 ou 2 langages, mais à les utiliser à fond, il y a donc une courbe d’apprentissage. Une fois les premiers mois passés, il avait sa place et ça se passait bien mieux. Tout dépend de la boite / du client final j’imagine.

Merci beaucoup pour ton post très contextualisé ! Je trouve plutôt bon signe qu’on "jette des gens à l’eau", ça veut dire que les entreprises sont demandeuses en personnel. Et au moins on peut se faire une idée du job. Et montrer ce qu’on vaut, en tous cas en capacité d’apprentissage. Mais j’imagine bien qu’au début ça doit être éprouvant…

Côté back tu as, vu ton profil deux parcours possible :

Anto59290

Je vais garder tout ça en tête, merci !

Bonjour,

Je vais parler de mon expérience, en France. Je ne peux pas garantir que c’est la même chose en Suisse (je ne peux déjà pas garantir que mon expérience soit vraie partout en France, alors dans un autre pays)…

Comme toi, j’ai voulu me réorienter dans l’informatique. Avant, j’avais principalement travaillé dans le monde du cinéma (j’étais intermittent du spectacle) puis de l’édition. Comme toi, j’ai commencé sur le Site du Zéro (avant d’y travailler, dans l’édition, du coup). Passionné d’informatique depuis petit, aimant développer en PHP, je me suis réorienté. Je ne le regrette pas une seule seconde, pour plusieurs raisons.

La première raison, c’est que je fais un travail qui me plaît. La seconde raison, c’est que je fais un travail qui me plaît là où je veux. Devenir développeur m’a permis de quitter Paris; maintenant, tous les matins, en ouvrant mes volets, je vois les Pyrénées. Et ça…

Avant de trouver le poste que j’occupe actuellement (cela fait 4 ans maintenant), j’ai fait plusieurs boîtes, sans y rester très longtemps car elles ne me convenaient pas. Parce que oui, on aura beau dire, les développeurs ont le choix. Personnellement, j’ai toujours refusé de travailler pour une SS2I. Pourtant cela n’a pas été facile : j’étais junior, sur Paris, je venais d’avoir mon premier enfant… La tentation fut parfois là, d’accepter une SS2I pour avoir le salaire qui tombe à la fin du mois.

Pour chaque boîte que j’ai faite, le diplôme n’a jamais importé; j’ai fait une formation expresse (dont je tairais le nom, elle ne vaut pas le coup). Ce que les recruteurs ont regardé, c’est mon niveau (via des tests techniques), mon relationnel, et le projet personnel sur lequel je travaillais à l’époque (et ce dernier point a été vraiment important). Au final la formation que j’ai suivie m’a surtout permis de faire un stage dans une boîte, qui a été un petit tremplin (j’ai bossé sur des techno un peu nouvelles à l’époque). Mais le diplôme, pour ma part, jamais.

Actuellement, je suis dans un boîte qui embauche sans regarder les diplômes (la plupart des dev, back comme front, sont dans le même cas que moi, ont suivi une reconversion). Le salaire n’est pas indexé sur le diplôme mais sur l’expérience; puis sur les compétences au bout de quelques mois.

À mon avis, aujourd’hui, quelqu’un de motivé, avec au moins un gros projet à montrer, peut se faire embaucher sans soucis (au moins dans une grosse boîte dans un premier temps, avant de cherche du plus qualitatif). Il faut montrer qu’on en veut et qu’on sait ce qu’on fait. :)

+3 -0

Merci John. Maintenant je prie pour que tout ceci soit transposable dans ma région ! Clairement l’une des choses qui me motive si je réussis cette reconversion, c’est la possibilité d’avoir plus de choix géographiquement que dans la chimie.

Wow. Ça fait pas peur du tout1 :p

Maintenant, je te comprend. Même avec un doctorat dans un secteur porteur,2 les carrières sont difficiles: entre la "voie académique" et ces enchaînements de post-docs sans fin, la "voie industrielle" ou le métier est parfois moins de la chimie que du management et la "voie de l’enseignement" où il faut vraiment qu’il s’agisse d’une vocation (les conditions ne sont clairement pas idéales pour le moment, tout du moins en France et en Belgique), on peut choisir la "voie des lamas".

En fait, j’ai carrément préparé le terrain si je devais faire pareil: j’ai fini par suivre un bac en cours du soir en informatique, au départ principalement "pour le papier", et au final je me suis pris au jeu et j’ai appris plein de trucs (maintenant, je sais par exemple prouver un programme, ça ne sert quasi jamais en entreprise, mais "c’est drôle").

Là ou je veux en venir, c’est que la troisième année de ce progamme est en commun avec la passerelle permetant à ceux qui ont déjà un diplôme de bac en haute école3, donc des gens qui ont déjà travaillés en entreprise, pour le coup (et qui, puisqu’il s’agit de cours du soir, y travaillent toujours). Je te passe les traditionnels "je suis là pour le bout de papier (et le salaire qui va avec)"4 Bref, l’idée, c’est que, selon eux, l’informatique est un (des rares?5) métier(s) ou on valorise l’expérience, la connaissance personnelle et la motivation plus que les diplômes (qui t’apportent plus des montées en grade, et in fine la gestion d’une équipe). La logique étant qu’à part les grands principes, tu ne peux de toute façon pas apprendre toutes les technos, et qu’à moins qu’une entreprise recherche un profil très spécifique, ils vont devoir te former (évidement, ça les arrange si c’est déjà en partie fait). Et de toute façon, ils vont devoir te former (à leurs pratiques, à leur framework, à leur worflow, que sais-je), donc bon.

Bref, lance toi. Et surtout n’hésite pas à te vendre sur les compétences (du coup transversales) que tu as accumulés au cours de tes études (esprit analytique [au sens large du terme, hein, pas en chimie], gestion d’un projet [ta thèse] sur du long terme, éventuelles charges d’enseignement [tu sais transmettre du savoir, donc], … Réfléchi et tu verra, tu va en trouver plein). Et si t’es super chaud et pas trop dégoutté des maths et des stats, il y a aussi de la place en big data/machine learning.


  1. Pour ceux qui le sauraient pas, je fais un doctorat en chimie, donc.
  2. Oui la chimie c’est porteur, c’est toujours dans les "top 20 des métiers en pénurie", tout ça.
  3. spécificité belge, pensez "DUT" ou un truc du genre
  4. Voire pire "de toute façon, ce qu’on fait là ne sert à rien", mais je ne leur prédit pas un grand avenir dans le master s’ils partent comme ça. Je te passe aussi le "de toute façon, en entreprise, on commence par te désapprendre ce que t’a appris, parce que c’est de la m * * * "
  5. Faux, c’est aussi le cas dans les métiers "manuels".
+1 -0

Salut Pierre !

Je te raconterai mes déboires dans la chimie par MP ;-) Mais effectivement grâce à ce parcours dans la recherche, j’ai des compétences transversales à mettre en avant, au moins ça.

Quand je vois qu’une étude prédit qu’en Suisse en 2026 il manquera 40’000 informaticiens dont 38% en développement de logiciels,1 et que les salaires sont bons,2 il faut que je tente ma chance. C’est sûr que big data/machine learning ça fait envie, mais sans diplôme c’est peut-être pas le plus accessible… bref, j’étudie toutes ces possibilités.

Par contre il nous manque quelque que chose comme Agility Factory, j’ai regardé tout ça hier et ça à l’air parfait pour une reconversion, surtout avec les témoignages d’Anto59290.

1) Que-faut-il-pour-faire-carriere-dans-linformatique

2) Ce-que-gagnent-les-professionnels-it-en-suisse

Salut :)

Dans mon ancienne boîte on avait plusieurs personnes qui avait fait le wagon, mais aucun dans le but de devenir développeur. On avait quelques Product Owners qui avaient fait le wagon durant l’été pendant leur études. Ils avaient fait ça a titre de complément car leur formation ne couvrait pas la couche technique, mais uniquement l’aspect produit/gestion de projet. Un des PO avait suivi la formation dev web au wagon Bordeaux et ça couvrait la réalisation d’un site web de A à Z (avec Ruby on rails en back si je me souviens bien).

Attention je ne sais pas si tu as regardé le prix (et je ne connais pas les possibilité de financement, surtout en Suisse), mais c’est assez cher.

Fun fact : dans les gens de chez agility factory qu’on avait recruté il y avait une personne qui avait fait le wagon, puis ensuite agility factory.

Merci pour ta réponse ^^

Oui j’ai vu que les prix sont élevés ! (7000 - 8000 euros pour les cours de 2 mois) Je suis en train de regarder sur LinkedIn les parcours des gens qui en sortent, désormais pour ce qui est de devenir développeur web, je n’ai plus aucun doute sur mes chances de succès. Mais je vais continuer à prospecter pour voir ce que je peux faire d’autre (back, data?, …)

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