J'ai corrigé les fautes (celles que j'ai vues) jusqu'à la section "Contrôle et estimation stochastiques des arrondis de calculs ". Mes remarques sur le contenu :
Introduction
mais l'on pourrait penser que le réduire autant que notre temps ou puissance de calcul le permet
ent ?
Que nenni !
Italique ?
Rappels d'arithmétique flottante
Par définition, un nombre normal
Pourquoi ne pas avoir simplement donner un lien vers Wikipédia ?
Il est normal en toute base si quelle que soit la base il est normal.
C'est juste pour introduire l'expression "normal en toute base" ? Le cas échéant, il ne me semble pas déconnant de formuler de la sorte : "Il est dit normal en".
C'est ainsi qu'en machine, un nombre flottant
Certes, ce sont des rappels, mais tu n'as pas introduit à la notion de nombre flottant. Tu pourrais le faire rapidement au niveau de "Autrement dit, il est impossible de représenter parfaitement l'ensemble des réels avec un ordinateur." : "Autrement dit, il est impossible de représenter parfaitement l'ensemble des réels avec un ordinateur. On approxime ces derniers par des nombres appelés flottants".
la norme nous garantit que a⊕b=Arr(a+b)a⊕b=Arr(a+b).
On comprend assez facilement, mais le $a$ de gauche n'est (en général) pas le même que celui de droite. Comme plus haut tu as parlé de $x$ et $X$, tu pourrais mettre ici les flottants en majuscules.
Contrôle et estimation stochastiques des arrondis de calculs
Si l'on effectue le calcul (x+y)+z(x+y)+z, on trouve 1.23000×10−31.23000×10−3, cependant, le calcul x+(y+z)x+(y+z) donnera 1.23456×10−31.23456×10−3. On voit donc que l'ordre des opérations importe.
Tu pourrais expliciter ce que tu entends pas "le calcul". Si je prends une feuille et un crayon, j'obtiens le même résultat. Par exemple, tu pourrais donner une implémentation en C, ou du Python en console :
| >>> x = 0.00123456
>>> y = 1.000000
>>> z = -y
>>> (x+y)+z
0.0012345600000001067
>>> x + (y+z)
0.00123456
|
Le coeur de CESTAC est de tirer partie de la grande variabilité des résultats obtenus par perturbations et permutations
Il me semble intéressant d'indiquer entre parenthèses ce que tu entends pas perturbations et permutations (je n'aurais pas su pour le premier si tu ne me l'avais pas expliqué dans le sujet de bêta).
La version synchrone consiste cette fois à faire évoluer l'échantillon à chaque opération d'affectation et utiliser la moyenne empirique de celui-ci pour les tests conditionnels.
J'ai eu du mal à comprendre cette phrase sans le schéma du dessous. Notamment, je ne comprends pas ce que tu entends par "tests conditionnels".
Illustration de la méthode synchrone sur le même exemple que précédemment :
Je n'ai peut-être pas compris le principe de cette méthode, mais pourquoi $\bar{X}_1$ n'est pas réutilisé dans la suite du calcul ?
Merci.