Après, il y a aussi des prépas qui sans y envoyer un bataillon tous les ans n'en sont pas non plus à une intégration tous les 5 ans. La mienne par exemple (Henri Wallon) sur les 10 dernières années a permis à 25 élèves de rejoindre les ENS (5 à Ulm), sans avoir ni la sélection à l'entrée, ni la pression (supposée, après tout je n'y ai jamais mis les pieds) des prépas les plus reconnues.
Je pense que plus que le niveau des élèves ou des profs, c'est la mentalité qui change. Après avoir entendu pendant 2 ans que les ENS sont presque impossibles à avoir sans venir d'une grosse prépa, c'est plus dur de se convaincre que c'est jouable.
+4
-0