D'un point de vue du droit, on indique aussi l'année
Pour le contenu, sur la forme, il faudrait aérer le texte de la première section et trouver quelques illustrations (IMSI-catcher, logo de la DGSI, etc. par exemple).
Première section
il consiste à capter des informations dans certains flux de données publics ou non, par exemple, sur des câbles Internet, entre des antennes de téléphonie mobile, etc
etc.
Enfin, existent les renseignement de sources ouvertes ; contrairement à la croyance populaire, il s’agit des renseignements les plus communément utilisés, notamment depuis l’avènement d’Internet, qui mets à la disposition de tous de très nombreuses informations privées. Il est à noter qu’aucune source n’est utilisée seule, un recoupage des informations est très fréquent afin d’affiner les renseignements obtenus.
renseignements ; met
d’autres types de renseignement existent, tels que les renseignements militaires, de contre-espionnage ou financier, mais nous n’en traiterons pas ici puisqu’ils ne sont pas du ressort premier de notre loi.
renseignements
Afin de pouvoir commencer à collecter des renseignements, la DGSI doit préalablement demander une autorisation, celle-ci est donnée par le Premier Ministre après avis de la CNCTR – la commission nationale de contrôle des techniques de renseignement – qui n’a qu’un avis consultatif et ne peut en aucun cas contraindre le Gouvernement à faire quoi que ce soit.
ministre
Tout citoyen qui se pense surveillé peut donc adresser recours à cette même CNCTR, qui doit, dans un délai de 72 heures, se prononcer sur la légalité des mesures prises à l’encontre du requérant ;
un recours
De nombreux services de renseignements avouent alors devoir recourir à des mesures non-prévues par la li et donc a priori illégales, la loi du 24 juillet 2015 vise alors à légaliser ces pratiques afin d’assurer la conformité des services de renseignement avec la loi.
non prévues, par la loi