C’est quoi $n$ et $k$ ? Tu les introduis comment ici ?
A ce stade de la preuve, on est en train de montrer que f est surjective.
Donc je suppose $y = f(n, k) = \tau(n + k) + k$ et je cherche à exhiber une expression de n et de k en fonction de y (on veux montrer que chaque naturel y a deux antécédents par f).
Or, f(n, k) est compris entre $\tau(p)$ et $\tau(p + 1)$.
J’ai démontré l’existence de p plus loin, donc $n + k = p$.
Quant à l’unicité, procédons par l’absurde :
Pour $y \in \mathbf N$, supposons qu’il existe $(p, p') \in \mathbf N^2$ tel que $y \in [[ \tau(p), \tau(p + 1)[[$ et $y \in [[ \tau(p'), \tau(p' + 1)[[$.
- Si p’ > p alors $p' \geq p + 1$ d’où $y < p'$ : contradiction.
- Si p’ < p alors $p' + 1 \leq p$ d’où $y \geq p' + 1$ : contradiction.
Donc $p = p'$.
Sinon, pour s’affranchir de tout plein de calculs et simplement montrer que $\mathbf N^2$ et $\mathbf N$ sont en bijection, le mieux c’est de montrer que n + k = p comme au-dessus (sans parler de y) et de dire que l’ensemble des n + k = p a des éléments de la forme (p - a, a) où a est compris entre 0 et p.
Bref, rebondir sur la preuve de @Universite.