- Explorons le code source du vaccin BioNTech / Pfizer contre le SARS-CoV-2
- Compte rendu de lecture : L'enfer de la flibuste
Il y a un mois environ, la chaîne ARTE a diffusé un reportage sur les énergies vertes. Ces énergies semblent prometteuses pour l’avenir : moins de rejets polluants dans l’air, peu de risque de pénurie sur les ressources (vent, soleil…), utilisation des installations moins risquée en pratique… les arguments en faveur de ces énergies sont nombreux, le vert est à la mode !
Pourtant, la mise en place de ces solutions renouvelables a un coût : les métaux rares. Ce sont des métaux indispensables lorsqu’on veut fabriquer des éoliennes, des cellules photovoltaïques pour les panneaux solaires ou encore des batteries de voitures électriques. Notre société va-t-elle remplacer la dépendance actuelle au pétrole et au nucléaire par celle aux métaux rares ?
Le point faible des métaux rares : il faut les extraire, dans de bonnes conditions. Or, actuellement, ceux-ci sont extraits dans des conditions épouvantables, à la fois pour l’environnement que pour la santé des travailleurs. Le reportage s’intéresse en particulier au cas de la mine Chuquicamata, au Chili, décrite comme la plus grande mine de cuivre à ciel ouvert au monde.
Ce reportage est disponible jusqu’au 22 janvier 2021 sur le site arte.tv :
Le reportage dure environ 1h30.
J’ai beaucoup aimé ce reportage un tantinet alarmant. Il fait réfléchir sur la force de persuasion du marketing à nous vendre des produits verts, comme les voitures électriques. Du vert, oui, mais à quel prix ? N’oublions pas que l’avenir de la planète et celle des générations futures est entre nos mains.
Je vous remercie d’avoir lu mon premier billet signet1, je reste ouvert à toute suggestion constructive dans les commentaires. L’illustration de ce billet est sous la licence CC BY-SA 4.0 et peut être retrouvée en version originale sur cette page.
- Peut-être un peu trop long pour ce format ? ↩