J’utilisais Mendeley pour sa capacité a rechercher et compléter des références (et après pour la recherche d’emploi) mais ce sont clairement des connards en terme de comportement sur le soft. Zotero revenait régulièrement sinon
En libre, Jabref est pas mal aussi. Moins complet que Zotero, mais il utilise nativement du bibtex, donc c’est très facile à versionner.
Après, en science dur, de bonnes bases de Latex. Pas besoin d’être un cador mais faut un minimum comprendre (j’ai vu une thèse de chimie sous word et mes yeux saignent encore).
Et Git. C’est bête à dire, mais un simple dépôt Git (sur gitlab par exemple) te permet d’avoir un gestionnaire de version, une sauvegarde en ligne et ta thèse sur tout support si tu veux bosser chez toi. Ça permet de créer des branches « en relecture par Machin » super facilement. L’investissement est assez lourd, j’en suis conscient, mais je pense que ça vaut le coup.
Soutenir dans les 3 ans est quasiment impossible. En général, ça va être dans 3 ans et 2/3 mois et ça se passe assez bien.
Bien sûr, on est pas à 2 mois près, mais ça devient de moins en moins admissible. À une époque pas si lointaine, vouloir finir dans les temps était considéré anormal. J’ai rendu avant la fin de mon contrat (mais soutenu après), et personne n’y a trouvé à redire.
Pour les instances intermédiaires, ça va dépendre des lieux… J’ai vu bcp trop de complaisance et laisser aller pour y croire.
Je suis malheureusement d’accord sur la première partie. Pour la deuxième partie, je peux attester personnellement que ça peut faire bouger les choses dans certains cas.
Je suis super bien accompagné. a priori (ce qui est prévu), un RDV tout les mois avec mon directeur de thèse.
Yep, mais chercher des retours à l’extérieur aide aussi. Normalement, tu vas facilement avoir des opportunités (équipe sur un domaine proche, autres doctorants, conférences…), saisis-les.
Pour les syndicats, il y a quoi dans le supérieur ?
Des biens ? Aucune idée. J’étais dans un labo où syndicaliste était considéré comme une insulte. J’en parlais pour être complet en termes de référent en cas de problème.