Inktober 2021 - Un zeste de créativité

Partageons nos arts sur un thème chaque jour en Octobre

a marqué ce sujet comme résolu.

Bonjour à tous,

à partir d’aujourd’hui commence la session 2021 de l’Inktober. L’Inktober est un défi lancé aux créateurs artistiques (de base les dessinateurs mais on a déjà eu ici des écrivains) dont l’objectif est de créé une œuvre par jour autour d’un thème.

Je vous propose de partager ici vos œuvres, afin de se motiver les uns les autres. Peut importe l’art que vous décidiez de travailler vous pouvez le partager ici.

Bien, ceci étant dis, passons au thème de cette année :

Que je Google traduirait par :

  1. cristal
  2. combinaison
  3. navire
  4. nouer
  5. corbeau
  6. esprit
  7. ventilateur
  8. Regardez
  9. pression
  10. prendre
  11. aigre
  12. bloqué
  13. toit
  14. cocher
  15. casque
  16. boussole
  17. entrer en collision
  18. lune
  19. boucle
  20. germer
  21. flou
  22. ouvert
  23. fuir
  24. disparu
  25. éclabousser
  26. relier
  27. étincelle
  28. croustillant
  29. pièce
  30. glisser
  31. risque

N’hésitez par à prendre une autre traduction que celle que je Google propose.

Si vous postez une œuvre, rappeler juste le thème en message, qu’on puisse poster en retard.

+6 -0

Je dessine très mal, et ça fait une éternité que je n’ai pas écrit. Mais j’ai envie de m’amuser, donc allons-y.

Je ne garantie pas la qualité, d’autant plus que comme je ne veux pas y passer trop de temps, je me limite à 15 à 30 minutes, donc c’est fourni en l’état. ^^


Cristal

Sourire.
— Bonjour Messieurs-dames, puis-je faire quelque chose pour vous ?
— Ah ça ! Je vais vous le dire comme je le pense : vous êtes notre dernier espoir !
Un bonjour, ça t’écorcherait la gueule, peut-être ?
— Bien. Quel est le problème ?
— Mais les Laubert, bien sûr ! Il me faut quelque chose pour les Laubert.
— Cœur, je ne crois pas que Madame connaisse les Laubert.
— Mais suis-je bête, bien sûr.
Nonnnnnnn.
— Vous ne connaissez pas votre chance. Les Laubert, comment vous dire… Ils sont d’un ennui ! Ils n’ont ni conversation, ni aucun intérêt.
Rester professionnelle.
— Si seulement nous n’avions pas à les recevoir.
— Cœur, tu sais bien que
— Oui, je sais ; mais si seulement ! Un ennui ! Et ils se plaignent tout le temps, vous n’avez pas idée.
Alors que vous…
— Nous n’avons pas de pierre contre les ennuyeux, Madame. Nous ferions fortune, sinon, vous pensez bien.
Et vous n’auriez pas pu franchir le seuil du magasin.
— Contre l’ennui, non, mais ils émettent un tel… champs de négativité. Ça me met dans tous mes états.
— Oh, cœur…
— Je vois. Contre ça, nous pourrions partir sur…
Un parpaing ?
— De la tourmaline.
— Impossible, regardez mon collier. C’est trop faible face aux Laubert.
— Vous diriez que l’effet est faible, ou simplement inexistant ?
Bien habillés, probablement friqués. Bon, le coup du murmure et de l’arrière-boutique.
— In-e-xi-stant.
— Nous avons des cristaux, Madame. Plus fort. Mais à ne pas mettre entre toutes les mains. Je vous invite à me suivre, dans l’arrière-boutique.

— Avec ça posé sur la table pendant tout le repas, aucune mauvaise onde n’arrivera jusqu’à vous Madame. Les Laubert ne se rendront compte de rien, mais vous, vous sentirez la différence.
— Vous me sauvez la vie.
— Pour le paiement, par carte ?

Une de plus. Enfin, deux, avec le mari. Respirer, sourire.
— Bonjour Messieurs-dames, puis-je faire quelque chose pour vous ?

+2 -0

Hooooo c’est génial ce sujet ! J’ai tellement hâte de découvrir toutes vos merveilles !

Cette année je me relance dans l’aventure, dans une variante un peu tordue que je me suis permise de détailler dans son propre sujet, parce que plein de raisons mais la première est que je ne veux pas pourrir ce sujet, et la seconde que je n’utilise pas la liste officielle de thèmes. Et puis un peu d’ego, aussi.

+0 -0

J’ai l’impression que la plupart de ces mots sont choisis parce qu’ils ont plusieurs significations qui laissent place à l’interprétation (sans oublier qu’en anglais, pas mal de mots sont utilisables comme des noms et des verbes!). C’est déjà le cas de certaines des traductions choisis en français parce que les deux langues sont relativement proches, mais voici quelques additions qui me sont venues à l’esprit en lisant le premier commentaire :

Quelques traductions alternatives :

    1. costume (habit formel), plainte, ou plus intéressant, une personne portant un costume dans le cadre de son activité
    1. vaisseau au sens très large, ou bien un réceptacle (comme un bête bol)
    1. nœud, ainsi que la vitesse marine
    1. liqueur
    1. fanatique
    1. montre (pour lire l’heure)
    1. choisir
    1. un type de bière acide
    1. tique
    1. échiquier politique
    1. entrer en conflit
    1. vague, confus
    1. fuite
    1. éteint
    1. se glisser, onduler, à la manière d’un serpent

Et il y a sûrement des sens un peu plus variés pour chacun de ses termes qui ne me viennent pas à l’esprit en tant que non-natif. Ça peut valoir le coup de chercher par vous mêmes les sens possibles avant de tenter quelque chose…

+3 -0

@denissalem J’adore ton dessin.

Et je me suis inspiré de ton monochrome pour Suit :

Je ne sais pas si je tiendrais jusqu’au bout du défi, mais je suis hyper content du progrès que j’ai fait par rapport à l’an dernier (passage au dessin numérique).

+2 -0

J’aime bien ton costume, @Melcore, tout en suggestion.

Ton dessin est très bien maitrisé @denissalem. Il te faut combien de temps pour faire ça, par curiosité ?

Le sujet du jour m’attire moins, mais je m’y astreins. Je bascule de l’autre côté pour le style, pas de dialogue.

Le costard

Il entre, et un instant durant, tous les regards se tournent vers lui. Mais personne ne semble le remarquer vraiment, et les regards se détournent. Il s’avance vers une table de roulette, et mise. La roue tourne, la boule aussi, et… échec. Ce n’est pas grave, perdre fait partie du jeu, il recommence. Des gains, des pertes. Beaucoup plus du premier que du second. Le croupier, enfin, semble l’avoir remarqué. Il salue ses compagnons de jeu, et se détourne. L’ombre lui convient mieux la lumière. Alors quoi, maintenant ? Black-jack, poker ? Non, l’homme fatigue déjà. Il aurait dû commencer par ces activités, qui nécessite plus de concentration. Bon, une bonne vieille machine à sous, alors.

Perdre, une ou deux fois pour faire figure, et gagner, tellement plus. Encore, et encore, le frisson du jeu, qui reste imprévisible même si la chance a choisi son héraut. Les dorures du casino tournent, la tête de l’homme aussi. Les frissons du jeu remontent dans le ventre, jusqu’à en donner la nausée. Il veut jouer, encore, mais l’homme n’en peut plus, et finit, malgré ses récriminations, par aller aux toilettes.

Dans la glace se reflète le visage de l’incapable. Il est temps de s’en débarrasser. Sans chercher à comprendre, l’homme hôte le costard, et s’effondre, tellement las, frissonnant encore.

Quelqu’un rentre, voit le costard à terre, mais s’en détourne aussi vite. Il n’en veut pas. Un second, puis un troisième, pareil. Le suivant est plus tentant. Loin d’être parfait, mais il est l’esclave du jeu autant que son maître, alors l’homme prend le costard, avec un regard concupiscent. Il est encore tôt, et quand il rentre dans la salle, un instant durant, tous les regards se tournent vers lui.

+3 -0

Jusqu’ici, j’ai fait très peu de description. Je me rattrape aujourd’hui (avec le sujet d’hier). Au fait, vous aimez Lovecraft ?

Vaisseau

Lentement, ils se relevèrent. Leurs mouvements semblaient désordonnés, d’abord, et les membres manquant déstabilisaient ces corps qui semblaient reprendre vie. Illusion, cette vie, car du charnier n’émergeaient que des poupées, dévouées à leur maitre ; ni âme, ni volonté derrière ce qui avait été autrefois des humains, mais qui aujourd’hui ne gardaient que l’apparence, et encore, des années ayant fait leurs œuvres.

Comment décrire l’effroi qui nous saisi lorsque cette armée vint sur nous ? Comment décrire la puanteur, que nous sentîmes bien avant de voir ces horreurs mouvantes ? Comment exprimer ces sentiments hallucinés que nous ressentions devant l’indicible ?

Je me dois de m’y essayer, pour vous prévenir, en espérant que vous n’aurez jamais à vivre ce que j’ai vécu, et priant, une fois l’horreur passée, que cet écrit soit scellé, s’il reste des âmes en vies, ou oublié, ce qui ne manquera pas d’advenir si ces hordes infâmes écrasent l’humanité.

L’odeur, donc. Un mélange de viande pourri, de marais, de vase retournée, et de soufre. Si vous pouvez imaginer une cantatrice qui hurlerait torturée, imaginée la douce odeur des sous-bois qui subirait le même sort, et vous serez proche de l’immonde odeur qui nous saisit. Hélas, au lieu de fuir comme n’ont pas manqué de le faire les bêtes, poussées pas un instinct que l’Homme a depuis longtemps perdu, nous nous sommes dirigé vers l’odeur nauséabonde, et nous les avons vus.

Sans tendon ou articulation, dénué de ce qui fait se mouvoir un corps naturellement, les mouvements de ces créatures étaient désordonnés et saccadés. Leur déplacement grotesque et leur face décharné ne faisaient que plus de contraste avec leur apparence d’humanité. Mais ne vous laissez pas trompés par cette apparente nonchalance, car un esprit malveillant veille, et derrière chaque orbite vide, un regard de haine pure n’attend que de croiser vos yeux pour vous éviscérer vif, faisant de vous un pantin supplémentaire dans l’abominable procession.

Ceux qui purent se ressaisir fuir, tandis que les autres hurlèrent devant l’absolu horreur de cette troupe, puis de la douleur qui scellait leur destin en les forçant à la rejoindre. Je n’ai pas de honte à dire que j’ai fuis sans me retourner, en ignorant pleurs et cris, car il ne peut être reproché à nul être humain de devenir un bloc pur de terreur devant ce qui dépasse en abjection tout ce qu’un Homme sain d’esprit peut concevoir.

Ils ne ressentent ni fatigue, ni soif ; ils n’ont pas désir de vous tuer ou faim de votre âme, mais ils vous déchireront sans hésiter. Vous ne serez à l’abri nulle part tant qu’ils existeront. Je ne dors plus en sachant que chaque seconde qui passe, ils approchent.

+2 -0

J’étais parti sur « se faire des nœuds au cerveau » + thématique marine. Et… Bon, ça a un peu dérivé… Tout les personnages de ce récit sont © à qui de droit.

Nœud

La nuit semblait calme. Était-ce une illusion pour mieux dissimuler le crime ? Le chevalier noir en eu la confirmation lorsqu’il entendit les radios de police s’activer à tout rompre : le commissaire Gordon avait disparu. Sans attendre, le Batman se rendit dans le bureau du commissaire, et y trouva un papier. Au recto, un gros point d’interrogation vert.

« Le sphinx, murmura le Batman »

Au verso, le poème suivant :
Si tu veux voir le commissaire,
Commence par aller voir la mer,
Elle est depuis longtemps vidée,
Mais tu pourras l’y retrouver.

Il ne fallut qu’un instant au Batman pour comprendre : le commissaire avait été amené à l’ancien delphinarium de Gotham !

Fonçant au volant de sa Batmobile, le Batman circulait dans les rues de Gotham comme si la vie de Gordon en dépendant, ce qui était sûrement le cas. Il s’attendait à recevoir sous peu deux appels, sans savoir lequel il redoutait le plus. Le premier fut du Sphinx.
— Alors ma petite chauve souris, je te vois déjà venir vers moi, mon énigme était-elle trop simple.
— Ceci n’est pas un jeu, grogna le Batman, libère le commissaire.
— Mais il y a tout de même une récompense, et c’est pour ça que tu joueras, même si tu comprends le à quoi. Mais comment pourrais-tu comprendre un esprit aussi affûté que le mien ? Car le tour de chauffe est terminé, alors écoute-moi bien. Pour me retrouver, tu devras viser en plein centre de la cible, alors seulement tu arriveras à bon port.

Il raccrocha sans laisser le Batman répondre. Encore une satanée énigme. Mais le téléphone sonnait à nouveau, et cette fois-ci, c’était l’Oracle, l’acolyte du Batman, mais aussi la fille de Gordon, qui appelait.
— Tu n’essayes quand même pas de me cacher que le Sphinx a enlevé mon père, le Batman ?
— Je vais le retrouver. Je ne veux pas que tu t’impliques. Avec le Sphinx, tout est possible, il cache ses intentions derrière des énigmes, mais il aurait très bien pu…
— S’il m’en voulait à moi, il m’aurait attaqué directement. Il se fiche de Gordon, il veut simplement se mesurer à toi, comme la moitié des dégénérés de cette ville. Mais cette fois-ci, il va avoir affaire à moi. C’est quoi, son énigme stupide ?
— Pour me retrouver, tu devras viser en plein centre de la cible, alors seulement tu arriveras à bon port.
— Étant donné le bonhomme, son énigme n’est sûrement rien d’autre qu’un jeu de mot foireux.
— J’arrive au delphinarium. Je vais voir s’il a laissé un indice.

Sortant de sa voiture, le Batman inspecta les environs. Vides. Inoccupés depuis des années. Ça l’arrangeait, toute trace de mouvement signifiait alors la présence du Sphinx. Ou son passage. Il commença par le bâtiment ayant abrité les dauphins. Le Sphinx aimant les symboles, il aurait sûrement choisi un bâtiment ayant contenu des animaux intelligents.

Un grand hangar, désaffecté. À l’intérieur, sur le tour, des gradins en métal, abimés par le sel et les ans. Au milieu, un bassin, bien trop petit, avec un fond d’eau croupi. Çà et là, par terre, des traces de boues, récentes. Facile. Trop facile, trop évident. En suivant les traces, le Batman finit derrière un gradin, et y trouva… une bombe, prête à exploser. Il n’eut que le temps de sauter. L’Oracle le contacta alors.
— Bruce, ça va ? Réponds !
— Je vais bien, mais il s’en ai fallu de peu.
— Je crois que j’ai la solution. Il y a un bateau, à un mile du port, qui stationne sans raison depuis quelques heures. On a aussi détecté du mouvement autour, mais je n’ai pas les images.
— Qu’est-ce qui te fait dire qu’il est là, demanda le Batman ?
— En plein centre de la cible, c’est dans le mile. Le bateau est à exactement un mile du port. Immobile.

Ni une ni deux, le Batman rejoignit le Bat-eau et s’approcha furtivement du bateau localisé par l’Oracle. Dedans, le Sphinx exultait.
— Le Batman a explosé ! Foudroyé par mon esprit supérieur ! Qui, maintenant pourra se mesurer au Sphinx ? Qui ?
— Moi, fit le Batman.

Le Sphinx n’eut pas le temps de comprendre ou d’inventer une nouvelle énigme que le Batman l’avait mis au sol. Dans la cale du bateau, Gordon. Meilleur en arrestation de criminel qu’en jeu de mot, il avait passé une épouvantable soirée. Mais libéré, il remercia chaleureusement le Batman.

Le mal, une fois encore, avait été repoussé. Mais le Sphinx ignorait jusqu’à l’existence même de celle qui avec qui il avait réellement joué ce soir.


Bon, et les autres ? :P

+4 -0

Je suis sous la vague. Je publierai autre chose jeudi au mieux.

Le prochain dans la liste, c’est « corbeau », je ne peux pas louper ça, quand même !

+4 -0

5. Corbeau

Les corbeaux sont des animaux très intelligents, le saviez-vous ? Bon, pour des piafs. Ils vivent en groupe, socialisent, et certains sont mêmes capable d’utiliser des outils. Alors, oui, un peu charognards, mais bon, c’est la solution de facilité, un peu de flemme, ce n’est pas des humains qui vont s’en moquer ? Et puis bon, les corbeaux sont omnivores, ils mangent de tout. Ce ne sont pas des vautours (qui sont aussi des animaux trop mal traités par la culture populaire).

Dans l’imaginaire collectif, les corbeaux (que ce soit les corvus ou les corneilles) sont des animaux de malheur. Leur croassement n’est pas apprécié, sans raison valable, si vous voulez mon avis. Pire, ils étaient abattus dans les campagnes barbares et leurs cadavres clouées aux portes, soi-disant pour éviter le mauvais sort. Mais qui s’est dit « tiens, si clouait un cadavre sur ma porte, ce serait sûrement très sain et ça m’évitera le mauvais œil » ? Bon, si le mauvais œil, c’est les voisins, effectivement, ils vont cesser de venir. Ils devraient même appeler la police.

Mais je m’égare. J’ai déjà dit à quel point ils étaient beaux, intelligents, malins, et pas considérés à leur juste valeur. Que rajouter ?

Bref, soyez gentils avec les corbeaux, dites-leur bonjour quand vous les croisez, et qui sait ?, peut-être vous répondront-ils ?

6. Esprit

Germaine, es-tu là ? Je ne t’entends pas, je ne te vois pas. Attends, là, ça a fait « schricht ». C’était pas clair, mais au moins, il y a du son. Réessayer, pour voir. Non, désolé, ça ne passe pas. Bon sang, ça marchait, la dernière fois.

Qu’est-ce que tu dis mon chéri ? Non, mais laisse-moi, ce n’est pas la première fois que je contacte maman, c’est juste les ondes qui passent mal. D’abord, tu ne fais pas ça mieux que moi, et puis c’est nouveau que tu veuilles voir maman… C’est ça, va voir ailleurs.

Ah, j’ai entendu distinctement quelque chose ! Oui maman, je t’entends, là. Tu es toute floue, mais je t’entends presque correctement. Comme ça va là où tu es ? La maladie, c’est fini ? Tant mieux. Les enfants ? Tu devrais les voir, à courir partout… J’ai toujours peur qu’ils se blessent. Je peux les appeler, si tu veux. Tu es sure ? Évidemment, si tout est flou. Attends, mon chéri m’appelle…

Je suis désolé maman, j’avais complètement oublié que j’avais un rendez-vous. Je te recontacte très bientôt, ne t’en fais pas. Et avec peu de chance, ils auront installé la fibre d’ici là, et on pourra se faire une visio qui marche. Gros bisous !


Pour corbeau, je voulais faire une espèce de documentaire complètement orienté. Sauf que les sites sur lesquels je suis allé étaient tellement moins objectifs que moi. 9 choses fascinantes et méconnues que vous ne savez pas sur les corbeaux, et autres titres aguicheurs pour du contenus tellement douteux… Je ne suis pas assez vendeur, même quand j’essaie. >_<

Pour le second, j’ai juste étalé sur 1000 caractères une blague qui faisait un parallèle entre les séances de spiritisme (esprit, es-tu là ; nous entends-tu ?) et les visioconférences.

Au fait, en terme de lecture de ce qu’ont fait les autres, ce n’est plus du retard, c’est un moratoire sur l’ajournement distancié.

+3 -0
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