La cérémonie des IgNobels 2015

a marqué ce sujet comme résolu.

Bonjour à tous,

J'ai commencé (il y a en gros une 2 semaines) la rédaction d'un article qui porte sur les IgNbels 2015.

J'aimerai obtenir un maximum de retour sur celui-ci, sur le fond ainsi que sur la forme, mais surtout sur le fond, afin de proposer en validation un texte de qualité. C'est mieux.

(J'aime bien le message auto)


Cette année encore, la cérémonie des IgNobel 2015 nous a régalé de science improbable. Joie ! Que cela soit un pretexte pour parler de colloïde et de phylogénie, re-joie !

L'article doit être lisibles par tous, avec des pré-requis minimaux.

Il n'est pas trop tard si vous voulez participer, il suffit de choisir un sujet non traité, et de me le dire, que je vous ajoute en auteur.

Il s'agit d'une première version publique. Donc les retours orthographique ne sont pas encore pertinent (j'ai fait le minimum : correcteur auto de grammaire et d'orthographe, pas encore de relecture manuelle). L'article n'est pas encore fini, comme en témoigne la liste de lien incomplète, ou le magnifique "<Description de l’article>" mis en plein milieu. C'est bon maintenant. Aussi bien la fin de l'article que les retours d'orthographe.

N'hésitez en aucun cas à donner votre avis, que ce soit sur des phrases un peu bizarre, sur des trucs pas clairs, voir faux ( o_O ), ou sur quoi que ce soit qui vous passe dans l'esprit.

Et maintenant, Messieurs-dames, devant vos yeux ébahit, l'article !

(niveau : débutant, longueur : environ 4 pages de texte)


Cérémonie de la science improbable : présentation des IgNobels 2015

Quand la recherche fait d'abord rire, puis penser.

Les prix IgNobels 2015 ont été remis le 17 septembre dernier lors d'une cérémonie à l'université de Harvard. Ces prix sont décernés chaque année, le plus souvent à des scientifiques aux travaux « improbables ». Si ces travaux sont présentés de manière détournée, ils restent des travaux sérieux. Par exemple, l'année dernière, un prix avait été remis pour avoir testé la réaction de rennes face à des humains déguisés en ours polaire. Le réel travail de l'étude était de vérifier les interactions entre ours polaire et renne en simulant la présence d'un ours. Parfois, les prix sont plus critiques, et servent à dénoncer, avec humour, comme en 1996, où le prix de la paix avait été décerné à Jacques Chirac pour la reprise des essais nucléaires.

La cérémonie

Comme chaque année, la cérémonie a débuté par le traditionnel lancé d'avion en papier sur cible humaine. A suivi la présentation du thème de la cérémonie, à savoir « life » (la vie). Ce thème concerne uniquement la cérémonie elle-même, c'est-à-dire les expériences et autres intermèdes, et non les prix décernés.

Les gagnants se voient remettre par un chercheur ayant reçu le prix Nobel, en plus d'un trophée des plus originaux, un billet de 10 billions de dollars, soit 10 000 milliards de dollars… zimbabwéen (qui ne valent aujourd'hui plus rien, suite à une hyperinflation).

La cérémonie en elle-même se déroule en alternant les remises de prix, les discours, de petites expériences scientifiques et la représentation, en direct, d'un mini-opéra en trois actes (quelques minutes au total seulement), créés pour l'occasion. Les prix Nobel présents doivent aussi présenter leur champ de recherche lors d'un 24/7 : une présentation complète et technique en 24 secondes, suivi d'une présentation simple et intelligible par tous en 7 mots (par exemple « la beauté : nous aimons quand nous regardons »). La cérémonie s'est conclue par la fin de l'opéra et divers remerciements.

La cérémonie, disponible sur internet, est donc fortement déjantée, presque absurde. À titre d'exemple, le présentateur a demandé à plusieurs biologistes d'expliquer pourquoi les virus n'étaient pas considérés comme vivant. Mais de l'expliquer en même temps. Forcement, on ne comprend plus rien…

Si les IgNobels sont clairement à visée humoristique, ils ne sont que rarement critiques envers les chercheurs auxquels ils sont décernés. D'ailleurs, comme chaque année, toutes les équipes de recherche ont été représentées et de nombreuses sont allées chercher leur prix (les autres ont envoyé une vidéo, diffusée durant la cérémonie). Notons d'ailleurs que les chercheurs sont prévenus à l'avance et qu'ils ont la possibilité de refuser le prix.

Le prix de chimie

Pour comprendre le prix de chimie, il faut d'abord passer par la coagulation. Vous avez très probablement entendu parlé de coagulation sanguine. Il est de base liquide, mais il peut devenir solide, par exemple en cas de brèche du vaisseau sanguin. Le mécanisme de coagulation qui nous intéresse ici est beaucoup plus simple que celui du sang, il s'agit de la coagulation du blanc d'œuf. La principale protéine de celui-ci, et celle qui nous intéresse, est l'ovalbumine.

L'ovalbumine est une longue protéine avec une forme en trois dimensions complexe.

Molécule d'ovalbumine

L'ovalbumine. Réalisé depuis le site libmol.

Lorsque l'on la chauffe, tout devient plus simple : la protéine s'étire. Les liaisons qui forcent le pliage de la molécule se brisent à haute température, à cause de l'action de l'agitation moléculaire. Finalement, la molécule prend la forme d'un long filament. On parle de dénaturation : en changeant de forme, la protéine perd ses propriétés habituelles, elle change de nature. Cette dénaturation est réversible, mais très lentement.

Dans le cas de l'ovalbumine, cela va plus loin. En effet, une fois dépliée, certaines parties de la molécule, auparavant à l'intérieur, vont devenir accessible. Or, ces parties réagissent facilement. Elles vont alors former de nouvelles liaisons, de manière assez anarchique. On se retrouve avec un gros paquet de molécule liées les unes aux autres. Notre blanc d'œuf a coagulé.

Coagulation de l'ovalbumine

Coagulation de l'ovalbumine, par Blackline.

Cette réaction est à sens unique. Si vous laissez votre blanc d'œuf cuit dans un coin, il va finir par moisir, mais jamais il ne redeviendra liquide. Et pourtant, c'est ce qu'a réalisé une équipe. Ils ont « décuit » des œufs.

Pour ce faire, ils ont combiné deux approches. D'abord, ils ont injecté dans l'œuf de l'urée. Cette petite molécule favorise la brisure des liaisons créés lors de la cuisson. Ce faisant, l'ovalbumine reprend la forme d'un filament libre. Cependant, ceux-ci restent emmêlés les uns aux autres, ce qui les empêche de reprendre leur forme initiale. La deuxième étape consiste à placer le tout dans une centrifugeuse. Les protéines vont se séparer les une des autres, et plus rien ne les empêche de reprendre leur forme originelle. Notre œuf est « débouilli ».

Le prix de chimie, en une image

Le prix de chimie, en une image. Source.

Vous vous en doutez, ce genre de phénomène n'arrive pas qu'à l'œuf. Ainsi, les travaux récompensés ici vont permettre de dé-coagulé des protéines. D'autres méthode existent à l'heure actuelle, mais elles sont conteuses et longues. Des usages industriels concrets devraient voir le jour.

Le prix de biologie

Avant toute chose, je vous propose une grosse digression sur la phylogénie (ou phylogenèse). Il s'agit d'une manière de classer les espèces. En phylogénie, deux espèces sont d'autant plus proches que leur ancêtre commun est récent. Le classement qui en résulte est assez différent du classement que l'on apprend quand on est petit. Pas de poisson, pas de lézard.

Classement phylogénique des grands groupe du vivant

Classement phylogénique des grands groupe du vivant. Les animaux sont tous dans la partie violette, en haut. Source, par Spiridon Ion Cepleanu, licence CC BY SA.

Pour tenter de classer les espèces ainsi, on cherche les caractères qu'elles ont en communs (pattes, ailes, mamelles…) et mets les espèces d'autant plus proches qu'elles ont de nombreux caractères en commun. Toutes les espèces, même disparues (fossile) sont mises au bout d'une branche. Une espèce n'est jamais l’ancêtre d'une autre. Pour finir, une catégorie (mammifère, dinosaure, vertébré…) regroupe toutes les espèces au-delà d'un nœud.

Intéressons-nous plus particulièrement aux vertébrés, et plus encore aux dinosaures :

Phylogénie des dinosaures. D'un côté, les dinosaures non-aviens, de l'autre les aviens. Au sein des aviens, il y a les oiseaux, qui inclut eux-mêmes les oiseaux modernes et les non-modernes (archéoptéryx).

Phylogénie des dinosaures. D'un côté, les dinosaures non-aviens, de l'autre les aviens. Au sein des aviens, il y a les oiseaux, qui inclut eux-mêmes les oiseaux modernes et les non-modernes (archéoptéryx).

D'après le dernier principe que énoncé, les oiseaux sont des dinosaures. ^^ Le contraire est faux : les dinosaures ne sont pas des oiseaux. Outre le côté potache, il y a une observation de taille à tirer de cet arbre : les oiseaux sont les plus proches parents des dinosaures fossilisés au sens de la phylogénie (ce sont eux qui partagent le plus de caractères en communs). Ainsi, si on souhaite tester comment se déplaçaient les dinosaures (on a déjà une idée avec les fossiles), le meilleur animal pour l’expérience est un oiseau qui marche. Les chercheurs ont choisi le poulet.

Ça donne ça :

La vidéo a été créée par les auteurs de l'article.

L'idée des auteurs est simple : les oiseaux et les dinosaures sont très proches d'un point de vue morphologique. La principale différence est la position du centre de masse. Ils ont donc attaché une fausse queue au poulet. Ainsi, le centre de masse du poulet est décalé.

Le poulet, avec ou sans fausse queue. Tiré de l'article.

Ils ont observé que la marche des poulets avec queue changeait, d'une manière compatible avec ce que l'on sait de la marche des dinosaures. De plus, ils se sont assuré que le changement de marche ne venait pas simplement d'une augmentation du poids en ajoutant un troisième groupe dont le poids a été augmenté, sans modification du centre de masse. Les changements de marche viendrait bien de la présence d'une queue. L'équipe s'est donc servi des poulets pour étudier la marche de dinosaures.

Les autres prix

Les 10 prix de cette année sont les suivants :

  • En physique, pour avoir montrer que les mammifères urinent en 21 secondes, quasiment quel que soit l'espèce, à plus ou moins 13 seconde près ;
  • En littérature, pour avoir découvert que le mot « hein » (en anglais « huh ») existe sous une forme proche dans toute les langues, sans que l'on sache pourquoi ;
  • En management, pour avoir découvert que de nombreux chefs d'entreprise ont développé dans leur enfance un goût marqué pour la prise de risques, après avoir vécu des catastrophes naturelles (telles que tremblements de terre, éruptions volcaniques, tsunamis et feux de forêt) n'ayant eu — pour eux — aucune conséquence personnelle grave ;
  • En économie, à la police de Bangkok, pour avoir verser une prime à des policiers car ceux-ci ont refusés… un pot-de-vin. Cette mesure a été très temporaire suite aux réactions qu'elle a engendrée. Il s'agit là d'un prix satirique, qui ne récompense pas un travail de recherche.
  • En médecine, pour l'étude des bénéfices et conséquences médicales des baisers et des autres relations intimes se faisant à plusieurs.
  • En mathématiques, pour avoir utiliser des techniques mathématiques pour déterminer si et comment Ismaïl ben Chérif, sultan du Maroc, a eu 888 enfant en 30 ans ;
  • En diagnostique en médecine, pour avoir montrer que les appendicites aiguë peuvent être diagnostiquée précisément par l'intense douleur ressentie par les patients lorsqu'ils franchissent des dos-d’âne.
  • En physiologie et entomologie, à deux équipe différente, pour la création du « Schmidt Sting Pain Index » (Catalogue de douleur des piqûres d'insectes de Schmidt), qui répertorie la douleur ressentis par les gens lorsqu'ils sont piqués selon l'insecte ET pour la recherche du point le plus et le moins douloureux lors d'une piqûre d'abeille.

Si ces travaux peuvent sembler à première vue drôlement absurdes, je vous invite à prendre le temps de réfléchir dessus. Car les IgNobels récompensent des travaux de recherches qui font rires, puis penser.

liens


Ancienne version :

Les prix IgNobels 2015 ont été remis le 17 septembre dernier lors d'une cérémonie à l'université de Harvard. Ces prix sont décernés chaque année, le plus souvent à des scientifiques aux travaux « improbables ». Si ces travaux sont présentés de manière détourner, ils restent des travaux sérieux. Par exemple, l'année dernière, un prix avait été remis pour avoir testé la réaction de rennes face à des humains déguisés en ours polaire. Le réel travail de l'étude était de vérifier les interactions entre ours polaire et renne en simulant la présence d'un ours. Parfois, les prix servent à dénoncer des situations de manière humoristique, comme en 1996, où le prix de la paix avait été décerné à Jacques Chirac pour la reprise des essais nucléaires.

La cérémonie

Comme chaque année, la cérémonie a débuté par le traditionnel tir d'avion en papier sur cible humaine. A suivi la présentation du thème de la cérémonie, à savoir « life » (la vie), de l'équipe, des prix… En plus d'un trophée des plus originaux, les gagnants se voient remettre par un chercheur ayant reçu le prix Nobel un billet de 10 billions de dollars, soit 10 000 milliards de dollars… zimbabwéen (qui ne valent aujourd'hui plus rien).

La cérémonie en elle-même se déroule en alternant les remises de prix, les discours, de petites expériences scientifiques et la représentation, en direct, d'un mini-opéra en trois actes (quelques minutes au total seulement), créés pour l'occasion. Les prix Nobel présents doivent aussi présenter leur champ de recherche lors d'un 24/7 : une présentation complète et technique en 24 secondes, suivi d'une présentation simple et intelligible par tous en 7 mots (par exemple « la beauté : nous aimons quand nous regardons »). La cérémonie s'est conclue par la fin de l'opéra et divers remerciements.

La cérémonie, disponible sur internet, est donc fortement déjantée, presque absurde. À titre d'exemple, on a demandé à plusieurs biologistes d'expliquer pourquoi les virus n'étaient pas considérés comme vivant. Mais de l'expliquer en même temps. Forcement, on ne comprend plus rien…

Si les IgNobels sont clairement à visée humoristique, ils ne sont que rarement critiques envers les chercheurs auxquels ils sont décernés. D'ailleurs, comme chaque année, toutes les équipes de recherche ont été représentées et sont allées chercher leur prix. Notons d'ailleurs que les chercheurs sont prévenus à l'avance et qu'ils ont la possibilité de refuser le prix.

Le prix de Chimie

Pour comprendre le prix de chimie, il va falloir expliquer ce qu'est la coagulation. Vous avez très probablement entendu parlé de coagulation dans le cas du sang. Il est de base liquide, mais en il peut devenir solide, par exemple en cas de brèche du vaisseau sanguin. Le mécanisme de coagulation qui nous intéresse ici est beaucoup plus simple, il s'agit de la coagulation du blanc d'œuf. La principale protéine de celui-ci, et celle qui nous intéresse, est l'ovalbumine.

L'ovalbumine est une longue protéine avec une forme en trois dimension complexe.

L'ovalbumine. Réalisé depuis le site libmol.

Lorsque l'on la chauffe, tout devient plus simple : la protéine s'étire. Les liaisons qui forcent le pliage de la molécule se brisent à haute température, à cause de l'action de l'agitation moléculaire. On parle de dénaturation : en changeant de forme, la protéine perd ses propriétés habituelles, elle change de nature. Cette dénaturation est réversible, mais très lentement. On obtient finalement une molécule sous forme de filament.

Dans le cas de l'ovalbumine, cela va plus loin. En effet, une fois déplié, certaines parties de la molécule, auparavant à l'intérieur, vont devenir accessible. Or, elles réagissent facilement. Elles vont alors former de nouvelles liaisons, de manière assez anarchique. Finalement, on se retrouve avec un gros paquet de molécule liées les unes aux autres. Notre blanc d'œuf a coagulé.

Coagulation de l'ovalbumine

Cette réaction est à sens unique. Si vous laissez votre blanc d'œuf cuit dans un coin, il va finir par moisir, mais jamais il ne redeviendra liquide. Et pourtant, c'est ce qu'a réalisé une équipe. Ils ont « décuit » des œufs.

Pour se faire, ils ont combinés deux approche. D'abord, ils ont injecté dans l'œuf de l'urée. Cette protéine favorise la brisure des liaisons créés lors de la cuisson. Ce faisant, ovalbumine reprend la forme de filament libre. Cependant, ceux-ci restent emmêlés les uns aux autres, ce qui les empêche de reprendre leur forme initiale. La deuxième étape consiste à placer le tout dans une centrifugeuse. Les protéines vont se séparer les une des autres, et plus rien ne les empêche de reprendre leur forme originelle. Notre œuf est « débouilli ».

Vous vous en doutez, ce genre de phénomène n'arrive pas qu'à l'œuf. Ainsi, les travaux récompensés ici vont permettre de dé-coagulé des protéines. D'autres méthode existent à l'heure actuelle, mais elles sont conteuses et longues. Des usages industriels concrets devraient voir le jour.

Le prix de biologie

Avant toute chose, je vous propose une grosse digression sur la phylogénie (ou phylogenèse). Il s'agit d'une manière de classer les espèces. En phylogénie, deux espèces sont d'autant plus proches que leur ancêtre commun est récent. Le classement qui en résulte est assez différent du classement que l'on apprend quand on est petit. Pas de poisson, pas de lézard.

Classement phylogénique des grands groupe du vivant. Les animaux sont tous dans la partie violette, en haut.

Pour tenter de classer les espèces, on cherche les caractères qu'elles ont en communs (pattes, ailes, mamelles…) et mets les espèces d'autant plus proche qu'elles ont de nombreux caractères en commun. Toute les espèces, même disparues (fossiles) sont mises au bout d'une branche. Une espèce n'est jamais l’ancêtre d'une autre. Pour finir, une classe regroupe toute les espèces au delà d'un nœud. Vous pouvez pouvez aller lire un bon site sur le sujet.

Intéressons-nous plus particulièrement aux vertébrés, et plus encore aux dinosaures :

Phylogénie des dinosaures. D'un côté, les dinosaures aviens, de l'autre les non-aviens. Au sein des aviens, il y a les oiseaux, qui inclut eux-même les oiseaux modernes et les non-modernes (archéoptéryx).

D'après le principe que je viens d'énoncer, les oiseaux sont des dinosaures. ^^ Le contraire est faux : les dinosaures ne sont pas des oiseaux. Outre le côté potache, il y a une observation de taille à tirer de cet arbre : les oiseaux sont les plus proches parents des dinosaures fossilisés au sens de la phylogénie (ce sont eux qui partagent le plus de caractères en communs). Ainsi, si on souhaite tester comment se déplaçaient les dinosaures (on a déjà une idée avec les fossiles), le meilleur animal pour l’expérience est un oiseau qui marche. Les chercheurs ont choisi le poulet.

<Description de l’article>

Les autres prix

Les 10 prix de cette année sont les suivants :

  • En physique, pour avoir montrer que les mammifères urinent en 21 secondes, quasiment quel que soit l'espèce, à plus ou moins 13 seconde près ;
  • En littérature, pour avoir découvert que le mot « hein » (en anglais « huh ») existe sous une forme proche dans toute les langues, sans que l'on sache pourquoi ;
  • En management, pour avoir découvert que de nombreux chefs d'entreprise ont développé dans leur enfance un goût marqué pour la prise de risques, après avoir vécu des catastrophes naturelles (telles que tremblements de terre, éruptions volcaniques, tsunamis et feux de forêt) n'ayant eu — pour eux — aucune conséquence personnelle grave ;
  • En économie, à la police de Bangkok, pour avoir verser une prime à des policiers car ceux-ci ont refusés… un pot-de-vin. Cette mesure a été très temporaire suite aux réactions qu'elle a engendrée. Il s'agit là d'un prix satirique, qui ne récompense pas un travail de recherche.
  • En médecine, pour l'étude des bénéfices et conséquences médicales des baisers et des autres relations intimes se faisant à plusieurs.
  • En mathématiques, pour avoir utiliser des techniques mathématiques pour déterminer si et comment Ismaïl ben Chérif, sultan du Maroc, a eu 888 enfant en 30 ans ;
  • En diagnostique en médecine, pour avoir montrer que les appendicites aiguë peuvent être diagnostiquée précisément par l'intense douleur ressentie par les patients lorsqu'ils franchissent des dos-d’âne.
  • En physiologie et entomologie, à deux équipe différente, pour la création du Schmidt Sting Pain Index (Catalogue de douleur des piqûres d'insectes de Schmidt), qui répertorie la douleur ressentis par les gens lorsqu'ils sont piqués selon l'insecte ET pour la recherche du point le plus et le moins douloureux lors d'une piqûre d'abeille.

liens

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C'est tip-top ça ! :) Merci beaucoup.

Je réalise en le voyant que c'est la même chose que dans ton TP.

J'ai juste besoin d'une licence (question légal). Je crédite Blackline, c'est bon ?

(D'ailleurs, j'ai oublié de créditer l'image que j'ai récupéré de Wikipedia.)

+1 -0

Gabbro : Wohw quelqu'un à lu mon TP ? dafuq. :p

Oui me créditer est amplement suffisant :)

Dans mon TP la création de liaison entre les protéines est du à des liaisons covalentes à cause d'un réactif. Ce n'est pas un équilibre ou la protéine qui réagit avec elle-même.

Je te conseille ce lien et cette image venant du même site. Le tout à ajouter aux sources/pour alimenter la profondeur de ton article :)

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Il manque peut être un lien vers la présentation qu'il y avait eu l'année dernière ici-même.

Exact. Il manque beaucoup de liens. :D

l'urée n'est pas une protéine.

Effectivement. ^^

Je corrige et complète tout ça assez vite. Merci à tous.

+1 -0

Bonjour. La béta a été mise à jour (voir 1er message). Entre autre :

  • corrections diverses liés aux commentaires ci dessus ; merci encore ^^ ;
  • ajout de la fin sur les poulets-dino ;
  • ajout de nombreux liens ;
  • correction orthographique (si si) ;
  • Reformulation de pas mal de phrase (y compris dans le 1er paragraphe) ;
  • Ajout d'une conclusion.

J'enverrai le tout assez vite en validation.

Édit : envoyé hier soir en validation.

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