Satellites nucléarisés dans l' espace

Bonjour, pour mon livre de SF , je recherche des informations au sujet du plutonium 238 dans les satellites envoyés par la Russie et les USA

Le problème exposé dans ce sujet a été résolu.

Bon merci à Tous , de vos messages je retiens donc

-que l 'envoi de "robonautes "serait possibles pour récupérer les charges , cela éviterait bien des pages pour tenter de faire passer l 'envoi improbables de spationautes faire ce travail....et un incertain catapultage via une météorite,....

  • Donc les robonautes dernière génération en l' an 2030 pourraient passer dans le récit avec une certaine crédibilité comme convoyeur de ces charges

  • Au fait à quoi ressemble ces charges d' uranium ? grand petit , poids ? radioactives ?

Il m'est impossible de faire se dérouler mon histoire en 2080.....cela compliquerait tout....la science avançant tellement vite , toute comme la surveillance de l' espace par les bases terriennes que ce serait encore plus improbable qu 'un équipage puissent se rebeller, d'autant plus qu'ils seraient certainement porteur de puces intégrées et d'autres systèmes de contrôle… sans compter qu' on risque peut être de ne plus envoyer d' humain dans l' espace, trop coûteux et fragile , les robonautes prendront le relais.

Merci pour cette remarque Arius "Pour que ça marche, il faudrait soumettre les astronautes à un plus grand isolement, les soumettre à des facteurs stress plus importants, leur donner un pouvoir décisionnel plus important pour la mission en raison des délais entre l'envoi et la réception des ordres. En fait, faudrait que tu éloignes l'équipage de la Terre."

oui en effet le facteur psychologique est dominant, et le stress avec....je ne désire pas parler de ce qui les pousse à faire cela , mais la logique reste bien présente dans mon récit.

Pour la destruction du satellite de surveillance , j' ai la solution( crédible) :) mais là aussi je préfère la garder pour l' instant .

  • Est ce que en commande manuelle à l' atterrissage, l' équipage pourrait faire redémarrer les moteurs? et quelle vitesse maximum pourrait ils atteindre ?

-Je suppose que la destruction de la navette que pourrait décider la base au sol est envoyé via un message radio ? dès lors si destruction des antennes de réception de la navette , elle pourrait être évitée ?

-oui tout est contrôlé depuis la terre, les communications , les ordres, les horaires.... ceci dit que le système pourrait être hacqué de l' intérieur par un spationaute doué , qu 'en pensez vous ? des informations bidons pourraient être envoyées sur terre ou les systèmes de communications pourraient soi disant détruits par une vague destructrices de micro météorites indétectables au sol puisque de taille inférieure à 10 cm ,réduisant les communications à O ; le système de communications laser pourrait il être aussi détruit par des micrométéorites ?

Enfin dernière question et puis je vous laisserai en paix , j' aurai assez d'info pour mon roman

afin d' ajouter une scène de sexe…dans l' espace :)

il paraît qu'une astronaute Américaine lors d'une mission Challenger est tombée enceinte pendant celle -ci , créant de fait le premier bébé extra-terrestre ,

la nasa n' a jamais voulu en parler mais ne dénierait pas l' info non plus ,

êtes vous au courant ?

Merci à Vous

Faire le voyage entre l'ISS qui est à 400 km d'altitude et un satellite qui est à 800 km d'altitude ça ne se fait pas comme ça.

Déjà, on peut se douter que les plans des orbites de l'ISS et de ton satellite russe ne sont pas les mêmes. Changer de plan d'orbite est très coûteux en énergie. Une fois que tu es sur le bon plan, il te faut accélérer pour passer sur une orbite elliptique de transfert pour ensuite freiner quand tu es sur la bonne orbite.

Pour pouvoir faire un rendez vous avec le satellite et donc le rattraper sur l'orbite, il suffit de déclancher l'orbite de transfert au bon moment.

En résumé, ce genre de manoeuvre est coûteux et demande beaucoup de préparation et de calculs. C'est pas avec les petits "jetpacks" de l'ISS que les astronautes pourront faire ce genre de voyage !

Après, la plupart des films de SF négligent cet aspect donc bon à toi de voir ^^

oui en effet le facteur psychologique est dominant, et le stress avec....je ne désire pas parler de ce qui les pousse à faire cela , mais la logique reste bien présente dans mon récit.

Bah, honnêtement, ça en a pas l'air.

oui tout est contrôlé depuis la terre, les communications , les ordres, les horaires.... ceci dit que le système pourrait être hacqué de l' intérieur par un spationaute doué , qu 'en pensez vous ?

Non. Ça ne marche pas comme cela. A un moment donné, faut arrêter un peu et se renseigner un minimum.

pourraient soi disant détruits par une vague destructrices de micro météorites indétectables au sol puisque de taille inférieure à 10 cm ,réduisant les communications à O ; le système de communications laser pourrait il être aussi détruit par des micrométéorites ?

Lesdits systèmes sont bien protégés. A ce niveau, ça dépend de la vitesse de ces micrométéorites et de la faute à pas de chance pour qu'ils touchent "comme par hasard" les systèmes de com'. Mais comme je me suis tué à le dire, ça ne changerait rien : sans la station au sol, les astronautes sont foutus. Ils ne pourront rien faire sans les calculs des mecs en bas, aussi ingénieux qu'ils soient. Et encore une fois, tu négliges les liens psychologiques : ces mecs sont les meilleurs amis des astronautes pendant tout le temps où ils sont dans l'espace, ce sont leurs "anges au sol" comme ils aiment à le rappeler. Ils ont une confiance absolue en leur contrôleurs. Ils savent pertinemment qu'ils ne survivraient pas sans eux dans l'état actuel et futur proche de nos connaissances et technologies. Donc pour quelles raisons iraient-ils à l'encontre de l'avis ou des ordres des contrôleurs au sol ?

il paraît qu'une astronaute Américaine lors d'une mission Challenger est tombée enceinte pendant celle -ci , créant de fait le premier bébé extra-terrestre ,

Non. Ils savent pertinemment qu'il faut éviter tout rapport d'ordre sexuel quand on est dans un espace confiné, isolé de la civilisation et d'autant plus dans l'espace où l'apesanteur pourrait avoir des effets néfastes sur le développement de l'embryon et aurait des effets néfastes pour celui du foetus. La sélection implique aussi de choisir des personnes capables de maintenir une distance professionnelle et ils sont très surveillés sur ce point, bref pas possible.

Pour en savoir plus sur les contraintes physiologiques, psychologiques, etc. tu peux également fouiller les articles de la mission Concordia en Antarctique et la ravissante Beth Healey (médecin) doit notamment encore publier les résultats de ses recherches sur les effets sur le corps humain (dérèglement du cycle circadien, effets inhérent à l'isolement, etc.).

+2 -0

Pour les questions sur le combustible, voici quelques informations :

  • Le combustible était un alliage d'uranium enrichi à 90% et de molybdenium.
  • Il y avait une trentaine de kg d'uranium par coeur.
  • La dimension du coeur était d'environ 20x20x60 cm.
  • Des demi-cylindre en beryllium étaient utilisés pour le contrôle (ils absorbent les neutrons). Ils pourraient être utilisés pour protéger les astronautes, mais assez mal vu que pas faits pour ca. Ce serait mieux que rien j'imagine.
  • Il y avait bien entendu un bouclier pour protéger de la radiation, mais celui-ci n'a pas été ejecté et n'est donc pas récupérable pour les satellite RORSAT. Il pourrait l'être pour les satellites TOPAZE, mais il n'y en a que deux (et les infos d'au dessus sont pour les RORSAT)
  • En ejectant le coeur, le caloporteur a aussi été éjecté.
  • Ce qui donne, en orbite, en additionnant tout, environ 940 kg d'uranium enrichi, 15 tonnes de matériel radioactif, plusieurs dizaines de milliers de goutes de caloporteur, de 0.6 à 2 cm de diamètre
  • Tout ce matériel est sur une orbite inclinée à 65 degrés. Celle de l'ISS est d'un peu moins de 52 degrés.

Les réacteurs des satellites TOPAZ étaient assez différents. Plus gros, un combustible d'oxyde d'uranium enrichi. Forcément un modérateur, pour ralentir les neutrons (en ZrH). Un réflecteur en Be pour minimiser les fuites. Un caloporteur consistant de NaK. Le problème, c'est que le premier de ces deux réacteur a été détruit par un débris en 2008, et qu'il y a maintenant de nombreuses parts orbitant à vitesse élevées. Le deuxième devrait toujours être là.

Merci Rockaround ,

bon pour le sexe dans l' espace, suis pas du tout d'accord ....

Entre rumeurs et allusions suite à la parution en 2000 du livre "La dernière mission : Mir, l'aventure humaine" de Pierre Kohler, l'astrophysicien français rapporta alors que la NASA avait étudié la faisabilité de 10 positions sexuelles durant une mission à bord de la station Mir en 1996. La NASA nia fortement toute tentative en ce sens. Le Dr Valery Bogomolov, directeur de l'Institut russe des sciences médicales spatiales dit : "Je n'ai jamais entendu parler de relations sexuelles en orbite. Aucune expérimentation à cette fin n'a été menée dans nos vaisseaux et rien ne relate qu'il y ait eu des rapports sexuels au sein de nos équipages. Les cosmonautes sont certes des êtres humains comme les autres, mais la question sexuelle ne constitue pas enjeu pour la médecine spatiale russe".

À la question de savoir si l'acte d'amour a déjà été produit dans l'espace, la réponse est oui. Et même oui officiellement, puisqu'en 1982, les responsables de l'agence spatiale d'URSS ont reconnu qu'une tentative d'accouplement humain avait eu lieu à bord de Saliout 7, entre la cosmonaute Svetlana Yevgenyevna Savitskaya et un des deux autres occupants de la station, Leonid Popov ou Alexander Serebrov. Laconiques, leurs patrons se sont contentés de déclarer que l'« expérience » n'avait eu lieu que dans la perspective de concevoir le premier enfant de l'espace…

Svetlana Savitskaya, qui se met de fort mauvaise humeur lorsqu'on évoque le sujet comme si cet acte lui avait été imposé (elle était déjà mariée à l'époque avec un pilote d'essai non astronaute), est aujourd'hui mère de deux filles, nées bien après son vol.

On pourrait également citer l'exemple de Mark Lee et Jan Davis, un couple d'astronautes passagers de la mission STS-47 en septembre 1992, mariés seulement depuis un an et demi. Est-il raisonnable de penser qu'ils n'aient pas été tentés par l'expérience dans des circonstances aussi exceptionnelles ? Là aussi, la Nasa fait la sourde oreille. Quant aux intéressés, ils affirment que leurs horaires de travail ne leur permettaient pas de se rencontrer, l'un travaillant tandis que l'autre dormait.

La physiologie, un obstacle ?

Sur un plan strictement physiologique, rien n'empêche un couple de se livrer à des ébats amoureux dans l'espace.

Ensuite, comme nous le mentionnons plus haut, l'effet des radiations reste inconnu. Plusieurs astronautes ont procréé après une mission et leurs enfants sont bien en vie. La doyenne de ces enfants est Elena Nicolaïev, fille de Valentina Terechkova, la première femme cosmonaute, et Adrian Nicolaïev, qu'elle a épousé peu après son unique vol de juin 1963 à l'occasion d'un mariage arrangé par le parti (ils ont divorcé peu de temps après). Conçue un mois après le retour sur Terre de la maman, Elena était une prématurée de 7 mois mais en parfaite santé. Elle exerce aujourd'hui la profession de médecin à Moscou.

Chose curieuse, il semble que les enfants d'astronautes soient plus souvent des filles. Une situation similaire semble exister chez les pilotes de chasse, sans que l'effet ait été clairement établi, et encore moins expliqué.

Si aucun problème sérieux n'a été détecté jusqu'à présent sur les enfants d'astronautes, il reste néanmoins intéressant de suivre les effets des rayonnements cosmiques sur le long terme. En attendant, la contraception est obligatoire pour les femmes avant et pendant les vols…

Quant à l'aspect purement sentimental, quelle sera l'influence d'une mixité dans les missions longues ? Un chercheur californien, Joseph Rhawn, s'est penché sur la question et a analysé froidement un certain nombre de comportements chez les astronautes, les exilés de stations antarctiques… et les chimpanzés, y découvrant des similitudes troublantes. Son mémoire (Sex On Mars: Pregnancy, Fetal Development, and Sex In Outer Space) milite pour une anticipation de ce versant obscur d'une mission de très longue durée. Les équipes isolées sur le continent Antarctique, confinées au sein d'un milieu hostile, établissent à l'évidence des relations charnelles. En témoignent par exemple les sept grossesses qui ont suivi les missions dans la station australienne entre 1989 et 2006. La mixité peut avoir un effet positif sur le moral des troupes, mais peut aussi générer de graves conflits. L'auteur note que les relations sexuelles concernent le plus souvent les hommes haut placés dans la hiérarchie, comme chez les chimpanzés, souligne-t-il.

Joseph Rhawn se penche également sur les études portant sur les effets des menstruations mais aussi sur la gestation dans l'espace et l'éventualité d'une grossesse surprise au milieu d'une mission martienne. Conclusion : si la sexualité n'est pas prise en compte dans de futurs voyages au long cours, l'auteur prédit des violences et des catastrophes. En revanche, il préfère terminer sur l'image du premier bébé né sur Mars, qui ferait d'Homo sapiens une espèce à deux planètes…

«Je fus réveillé au son d'une musique rock. […] J'avais une érection si intense qu'elle en était douloureuse. J'aurais pu percer du béton. Au final, sur quinze réveils dans l'espace lors de mes trois missions spatiales, mon pantin de bois était là presque à chaque fois pour m'accueillir.» - (Mike Mullane, astronaute de la NASA. Extrait de son livre intitulé Riding Rockets: The Outrageous Tales of a Space Shuttle Astronaut)

Dans l'espace, pas de problème de poids

Sur Terre, tous les animaux sont soumis à la pesanteur. C'est ce qui leur donne un poids. Ce poids conditionne ensuite toute leur vie physique: aussi bien la circulation et la pression sanguine que la structure du squelette, la nature des articulations ou la stabilité musculaire. Sur Terre, la gravité maintient davantage de sang dans nos jambes. En orbite, le sang est également distribué dans nos corps. Pour les hommes, le résultat est un effet Viagra. Mais il y a aussi des effets bénéfiques pour l'anatomie féminine: cela produit des mollets et des cuisses plus fines, et des seins plus gros et non tombants.....

Le rapport sexuel en lui-même n'est pas le problème en soi et ce n'est pas ce dont je parle dans mon post, c'est la procréation qui poserait pépin.

Là où le rapport pose souci, c'est dans l'aspect relationnel. Le confinement implique pas mal de facteurs psychologiques dont on a une meilleure compréhension depuis le début de (notamment, mais pas que) la mission Concordia. C'est pour cela qu'il est plus que recommandé d'éviter ce genre de situations qui pourraient se révélées être très problématiques et que les personnes choisies le sont aussi en connaissance de cause.

Quant aux effets de l'exposition aux rayonnements, ils sont au contraire de mieux en mieux connus et cernés.

Dans les deux points, je pourrais te trouver aisément de la documentation énonçant pourquoi ce n'est ni souhaité, ni souhaitable.

Par contre, c'est pas bien de faire un C/C d'un article de Futura-Science : http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/univers-faire-amour-il-possible-espace-10370/ en enlevant les passages qui mettent tout au conditionnel… Pas une pratique très honnête. ^^

Je rappelle au passage que cet article date de 2011 et que la production scientifique a évoluée depuis. Comme je l'ai dit, je pourrais aisément te trouver de la documentation (récente, j'entends) qui énoncent pourquoi ce n'est pas souhaitable physiologiquement (pour la procréation), socialement (dans les rapports avec les autres membres de l'équipe) et relationnellement entre les deux personnes concernées.

+3 -0

Et je me permet un double poste pour répondre aussi brievement sur la question de faire l'amour dans l'espace. Je ne vais pas parler de procréation, ni d'effet psychologiques. Juste de la faisabilité.

La NASA a envoyé un couple marié une fois, et l'URSS a aussi eu deux cosmonautes qui flirtaient de manière évidente, mais rien n'a jamais été confirmé ou infirmé.

Par contre, en apesanteur, c'est une histoire différente. 20 secondes du film "The Uranus Experiment: Part 2" ont été filmées comme ca. Tu pourrais le regarder, pour la science bien entendu.

Il y a aussi un épisode de la série The Universe dédié à ce sujet. Tu peux le regarder ici. Dedans, ils parlent de Vanna Bonta, qui a créé une combinaison pour faciliter l'acte, en essayant d'empêcher le problème de la 3ème loi de Newton d'être un problème.

Oui Guigz , le sais déjà

moi je parlais de "robanautes "sortant de l' iss pour chercher ces satellites

https://fr.wikipedia.org/wiki/Robonaut_2

en imaginant les robonautes de 2030 .

fredwillem

C'est pas la question de qui y va mais du moyen de propulsion. Pour te faire une idée, regarde des photos de Service Modules de satellites de télécom et tu verras que c'est gros comme bouzin et que les astronautes n'auront pas ça sous la main.

(Certes les Service Modules permettent de se rendre en orbite GEO mais vu les manoeuvres à faire on doit quand même pas être loin niveau quantité de carburant)

Etant un grand fan de science fiction et surtout de romans d'anticipation je peux te dire que c'est très appréciable quand le réalisme est au rendez-vous. D'ailleurs beaucoup d'auteurs SF ont un bon bagage scientifique. Si tu n'as pas ce bagage, je te conseille de te documenter lourdement sur le sujet si tu veux que ton roman tienne la route.

Oui en effet la sf/anticipation réaliste est agréable....ceci dit la plupart des auteurs se sont trompés dans leur projection sur le futur, leurs écrits sont périmés…dommage

la science a rattrapé l'imagination humaine, elle est devant désormais, et on peine à suivre pour pouvoir décrire le futur même proche, c'est pourquoi situer mon récit en 2080 est bien trop complexe et oui demanderait trop de recherches pour un lectorat très limité , sans je crois pouvoir être édité .

dans le cas contraire quels auteurs actuels pourriez vous me conseiller ?

quel livre pourrait rester intemporel ?

personnellement je n' en lis plus car c'est fort ennuyant et si cela est trop technique aussi cela peut devenir vite lassant , l' émotion que procure la lecture me semble primordiale et les interrogations que se poseraient le lecteur après avoir refermé le livre .

Oui reste ce problème de propulsion, je vais me renseigner sur le sujet

mais dans 14 ans, bien des avancées technologique seront présente dans l 'espace d' autant plus que vu la croissance des capitaux pour l' exploitation minière des astéroïdes à venir , les "robonautes "risquent de nous surprendre.

pour la reproduction ok il est vrai que c'est difficile , m' enfin pour les tétards cela s'est bien passé . Désolé pour le copié collé , mais je crois toujours que le tabou empêche bien des infos sur le sujet.

Bon je pense en savoir assez pour l' instant....en fait l' aventure de l' iss

n'est que deux ou trois chapitres dans mon livre , je crois pouvoir m' en sortir , en évitant de rentrer trop dans les détails techniques....bien-sûr il me faut quelques astronautes assez géniaux à l' intérieur de l' iss et certains complices dans la station de contrôle au sol pour que cela passe en gros :)

cela ne sera pas pire que gravity de toute façon .... Merci pour vos critiques négatives et informations très utiles, j' aime la critique négative car quand elle est juste , cela fait avancer :)

si je suis édité l' année prochaine , je vous garde un exemplaire sinon tant pis pour moi et vous réunis…warf warf

Au revoir

Fred

Oui en effet la sf/anticipation réaliste est agréable....ceci dit la plupart des auteurs se sont trompés dans leur projection sur le futur, leurs écrits sont périmés…dommage

La science fiction, c'est se projeter dans un futur pour mieux parler du présent. Quand Philip K. Dick écrit Rapport minoritaire, c'est le présent qu'il critique. Les robots d'Asimov pousse à penser la robotique, mais aussi ce qu'est un humain, la conscience. Je pourrai multiplier les exemples. Mais la science fiction n'a pas pour but d'être prédictive.

+6 -1

Histoire d'enfoncer le clou, les boucliers antimissiles protègent déjà les installations stratégiques de nombreux pays (voire des pays tout entier). Et s'ils sont capables d'intercepter un missile balistique conçu pour ne pas l'être, il ne faut pas avoir d'espoir pour une navette spatiale qui ne répond pas et dont la trajectoire est prévisible.

oui si vous le dites.....je crois que l' erreur est humaine et que tout est possible dans la vie.....quand certains pilotes non expérimentés s' écrasent sur des tours déjouant toutes les scénarios et défenses envisagées sans compter la nsa et tout le reste…tout me semble possible perso.

Une navette, c'est pas un avion bis. T'as largement le temps de la descendre, c'est impossible de passer à coté car y a peu de trafic spatial, et elles n'ont pas de CME.

Un avion civil, t'en as plusieurs centaines dans l'espace aérien au-dessus d'un pays grand comme les USA et si tu zappes l'appareil qui a dévié sa course (parce que l'erreur est humaine, etc.), tu n'as que peu de temps pour lancer un ordre scramble à l'escadrille de service.

Mais depuis le 11 septembre, ça a bien changé. C'était une forme de menace qui était encore peu connue à l'époque, peu envisagée. Il y a bien eu des pirates de l'air dans les années 80-90 mais rien de comparable.

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