Je n’en ai pas entendu que du bien. Le reproche le plus violent que j’ai lu contre, et à plusieurs reprises (sans avoir lu le livre moi-même) est un sourçage à dimension variable : certains passages, consensuels, seraient bien sourcés, mais ceux qui ne feraient pas l’unanimité ne seraient, eux, pas sourcés. Ainsi, l’auteur présenterait ses opinions personnelles comme vrai et faisant consensus, alors que la réalité est très différente.
Ce genre d’approche, que j’assimile à une profonde malhonnêteté intellectuelle, et un moyen de faire passer ses idées en contournant la revue par les pairs. Ce genre de chose, même si elles doivent être confirmées, sont pour moi un casus belli.
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