Inktober 2020 en micronouvelles

Je reprends l’idée d’un certain renard et je n’ai pas honte

a marqué ce sujet comme résolu.

Aujourd’hui dans l’Inktober on répond à une question existentielle : Les vampires craignent-ils les lasers ?

Je ne suis pas satisfaite de ce que j’ai fait de mon texte du jour, mais impossible d’en tirer mieux que ça… donc il restera en l’état pour l’instant, et basta.

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Tes textes sont très agréables à lire ! J’ai énormément aimé le refuge des mots perdus, il est très imagé et assez mélancolique.

Le dernier est assez amusant et tout les autres valent le coup !

J’ai hâte de lire la suite :)

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Merci pour ces petites nouvelles agréables a lire.

Une allitération humoristique avec les Aliens aliénés pour le jour 9.

Lisa Refur

Je suis tombé sur une phrase à la fois un peu longue et dont un mot doit probablement manquer (la graisse est de moi).

Après un moment de flottement, un conseiller décidé que respecter les volontés des premiers extraterrestres à poser le pied sur le sol terrestre primait sur les considérations de prudence, que les militaires auraient le temps de réagir si quelque chose se passait mal, et fit quérir le président.

Aliens aliénés

J’arrive au premier tiers de l’#inktober2020 en textes ! Réellement ? La facture de réalité

Merci firm1 pour ton petit commentaire, ça fait du bien à ma motivation ! Et j’en ai très besoin, il y a des jours comme aujourd’hui où l’inspiration fuit…

L’erreur est corrigée. Je sais qu’il en reste plein d’autres, je n’ai pas le temps de faire de relecture correcte, il y a une nouvelle où il manque même une scène complète (qui n’est pas indispensable à l’histoire, mais que je voulais mettre).

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Un peu de poésie ce soir pour le douzième jour de l’Inktober, avec L’accordeur d’étoiles.

C’est mon troisième titre de suite qui fait 21 SEC. Dois-je y voir une prophétie ? Ça ferait presque un thème pour demain…

Je viens de lire Poules de Feu à haute voix. Dans l’ensemble, ça passe bien, quoi que madame Mazherbes m’aurait probablement repris sur la vitesse d’exécution, par contre, l’amibe c’est un défi.

Jacen

Félicitations ! Tu fais du théâtre ? Le texte de Bobby Lapointe est une horreur à prononcer, lui-même ne s’y risquait que lentement. Celui-ci en particulier est peut-être plus facile à prononcer en étant enrhumée !

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En fait, non, pas du tout, simplement, je parle toujours assez lentement, donc même sur un texte raisonnablement complexe, le rythme reste régulier. Incidemment, je suis disqualifié pour toute carrière de rappeur: j’ai pas de "flow".

Et puisque tu cherches des idées de thèmes, je te propose "le sous-marin rouge".

On sent que le texte est moins poussé que les précédents, mais l’humour est bien présent du coup ça fait plaisir ! 😀

En tout cas grâce à toi j’ai une lecture chaque jour et c’est plutôt bienvenue. Merci pour tes nouvelles et ta motivation, en espérant que tu continues 😁

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C’est la moitié du voyage, et pour fêter ça, on parle de divinité et de jeux avec Les Dieux ne jouent pas aux dés, un texte qui aurait mérité plus d’enrobage et de travail, mais il est déjà beaucoup trop tard, et j’ai un employeur qui a l’idée bizarre d’exiger que je sois raisonnablement fraiche et disponible à une heure précise et beaucoup trop matinale demain dans ses locaux. Un vendredi en plus. A-t-on idée ? Alors, tant pis, vous aurez le texte en l’état.

Marius, Jacen, merci pour vos encouragement, c’est une super motivation ! Je note aussi qu’en cas de trou, il me suffit de délayer une blague, apparemment ça passe…

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Je reviens donc ici, en retard, prête à affronter la foule en furie qui hurle sa déception de ne pas avoir eu le texte du 16 et…

Mais…

Mais où est la foule ? Où sont les furies ? En réalité personne ne se plaint de mon retard ?

Ça n’est pas grave, vous aurez quand même les explications.

Hier, j’ai eu une idée que je pensais être courte – le mot-clé est pensais. Sauf que, après avoir écrit 4000 SEC, j’avais à peine fini l’introduction. Il devenait assez évident que mon texte m’échappait de manière encore plus sale que celui du premier jour.

Vers très tard le soir, j’ai donc pris une décision qui me déchira le cœur : au lieu de vous sortir un texte bâclé, je ferais exceptionnellement un seul texte pour deux jours. Vous êtes gagnants au change : le résultat fait 20 000 SEC, alors qu’un jour moyen tourne autour de 8 000 SEC.

C’est ainsi que naquit Avant que ne soient la veuve et l’orphelin, le texte des 16 et 17 octobre.

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Et bien cela valait le coup d’attendre ! Cette histoire laisse présager un canon bien plus complexe que ce que tu nous laisse fuiter en tout cas et ça semble un bon univers fantastique pour du jeu de rôle par exemple .

Pas de cris contre toi du coup, mais attention, le lectorat sera moins clément la prochaine fois ! 😇

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Merci pour vos retours, c’est toujours une excellente source de motivation ! Et j’ai besoin de motivation. Je ne sais pas pourquoi, quand j’ai terminé un texte que j’aime bien (comme celui d’hier), j’ai l’impression que le texte m’a vidée de toute ma créativité, et que tout ce que j’écris les jours suivants est un peu nul.

Ça ne m’empêche pas de vous proposer L’ami imaginaire. Est-ce que vous avez eu des amis imaginaires quand vous étiez enfant ?

Phigger, dois-je en déduire que tu prends déjà du retard sur ton projet Bradbury ?

Marius, pour « Avant que ne soient la veuve et l’orphelin », j’ai brodé sur un départ de scénario de jeu de rôles, ça n’est pas étonnant que ça puisse t’y faire penser !

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Où l’on parle d’une armoire dans un grenier : Une armoire dans le grenier (quelle originalité dans le titre !)

Phigger : ton projet Bradbury. Celui dont tu parlais ici et qui a déjà deux semaines, donc deux nouvelles de retard. Le plus difficile dans ce genre de projet, c’est déjà de se lancer, et ensuite de se forcer à tenir le rythme, quitte à faire des trucs juste pour garder le rythme. Un peu comme moi aujourd’hui…

Mais je suis quand même en train d’envisager de me lancer dans un défi Bradbury…

Phigger
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