La pensée optimiste du soir : signer des accords non-contraignants, c'est toujours mieux que de ne pas signer d'accord du tout.
La seconde pensée optimiste du soir : on est d'accord sur les objectifs.
La pensée pessimiste du soir : il n'y aura pas de société de demain, le monde va s'effondrer sous la famine et un nationalisme rampant poussera les Hommes à l'entre-destruction plutôt que l’entraide, gaspillant les maigres ressources que des déserts nouvellement nés peinent pourtant à produire.
Bon, soyons sérieux. D'un point de vue écologique, mon choix de vie le plus visible, c'est celui de ne pas avoir de voiture. Je fais mes courses et vais à mon travail en vélo ou transport en commun. Après trois mois ainsi, j'affirme que c'est possible, mais qu'il faut prévoir son coup pour que ce soit facile. Je suis jeune (ça aide de pouvoir pédaler pendant 30 minutes), mais je n'habite pas en centre-ville (donc 10/15 minutes de vélo quoi que je veuille faire – à part la boulangerie, en gros).
Les deux méga-avantage à ça, c'est que je ne passe pas de temps dans les bouchons et que j'économise beaucoup d'argent (faites le calcul si vous avez une voiture, habiter moins loin de son lieu de travail mais ne pas avoir de voiture (ou en avoir une pour un couple plutôt que deux) peut tout à fait être économiquement rentable).