x n'est pas définie donc il est fort probable que si ta dérivée seconde est nulle, c'est parce que tu n'as jamais introduit x, de ce fait dériver par x forcément ça fait 0
Je n'ai pas vocation à re-développer la théorie ici, pour expliquer ce qui est déjà expliqué. Cette remarque démontre uniquement que le lecteur n'en a pas pris connaissance, prend des éléments épars qu'il ne comprend pas pour ne pas avoir pris connaissance du tout, et pour dire qu'il ne les comprend pas (ce qui est scientifiquement certain, ainsi si je ne lis pas les définitions de N, je ne comprendrai pas les opérations d'addition et de soustraction).
L'espace temps de la TRM est l'espace-temps humain, où chaque point de l'espace est un point discret (x est donc discret), et représente un homme à durée de vie limitée (notée par la TRM "ev" = espérance de vie). Ce qui fait des points de cet espace des non-fixes renouvelables dans le temps. Je m'arrête là, tout scientifique sérieux se renseignera correctement sur la TRM pour en comprendre les éléments. Il peut notamment écouter ce podcast où un scientifique pose une question intéressante sur la TRM).
je n'ai trouvé "la preuve de la possibilité" nulle part. Affirmer n'est pas prouver.
La preuve de la possibilité réside dans la démonstration qu'il existe une solution de forme unique à la question que pose la TRM. Forme réalisable qui a d'ailleurs déjà été réalisée (Monnaie M, uCoin) mais aussi jouée par exemple dans cet excellent jeu démonstratif nommé Ğeconomicus.
Car selon les hypothèses qui entourent la théorie, l'expérimentation peut aller pendant un temps dans le sens de la théorie sans pour autant rendre la théorie vraie scientifiquement parlant.
Tout à fait. Aussi la TRM suppose que l'estimation d'un résultat ne pourrait être justifiée, conformément à ses principes fondamentaux, que devant une expérimentation sur une durée au moins de l'ordre d'une vie humaine.
Il faut qu'elle soit avant tout formellement solide avant d'aller tester sur le terrain
Non ceci est faux (quoique je ne dise pas que la TRM ne soit pas "formellement solide" ce qui serait tout aussi faux). C'est aussi et très souvent à l'inverse "le terrain" qui fait avancer les théories. Je ne sais quel genre de biais ait pu faire croire que la réflexion précédait l'expérience.
Et incomplétude ne signifie pas que rien n'est démontrable, juste qu'il y a une infinité de propositions non démontrables.
Pas uniquement. Car le premier théorème implique le second, bien plus vaste encore, et qui est que la cohérence d'un système logique ("au moins aussi complexe" que les nombre entiers, ce qui ne signifie pas qu'il contienne les nombres entiers sous cette forme), ne peut-être démontrée au sein de ce système (ce qui irait contre le premier théorème).
Ce qui signifie que comme il n'y a de cohérence que relative, on est jamais à l'abri de démontrer, relativement à un système logique tierce, l'incohérence des nombres entiers eux-mêmes (sans quoi on affirmerait la cohérence certaine des nombres entiers N). Et donc in-fine la non-validité de tout ce qui repose sur N.
Bah si, on est capable de démontrer ce que le système axiomatique suffit à démontrer.
Et donc ? En toute cohérence ? C'est quoi :
(a) Jusqu'ici tout va bien ?
(b) C'est du 100% sûr, car N est cohérent ?
(c) Il n'existe pas de modèle logique où l'incohérence de N est démontrable ?
(d) Il n'existe pas une autre conceptualisation de la réalité où N est incohérent, où les objets, concepts, relations, sont d'une toute autre nature, où rien de ce que je connais n'a cours ?
(e) Quelle épistémologie peut se déclarer "cohérente" ?
Des réponses à (a,b,c,d,e) dépendent de la compréhension des théorèmes de Gödel.