Caf&Sciences

Le coin des scientifiques !

a marqué ce sujet comme résolu.

Elles sont sympathiques tes 3 dernières vidéos :)

J’ai vraiment bien aimé celle avec les vecteurs. Je le veux bien en prof!

(Donc je connais plus de décimale de Pi que ce qui est utilisé pour calculer la circonférence de l’univers observable avec une précision supérieure à celle d’un atome d’hydrogène. La classe, je pense que je vais le mettre sur mon CV :P)

J’ai un énorme coup de coeur pour le travail de Numberphile. C’est vrai que ça demande de comprendre l’anglais oral, mais c’est toujours un énorme bonheur de voir des mathématiciens professionnels parler de sujets passionnants comme ça

Honnêtement, j’ai été plutôt perplexe face à cet article.

De ce que j’ai compris, l’auteur a adapté la réponse qu’il avait faite à Tom, un élève de troisième, autrement dit que Tom avait reçu une réponse plus courte. Je ne sais pas à quel point la réponse a été modifiée, mais si elle est proche de l’article de blog postée, alors clairement la réponse était très mal faite pour un élève de troisième : elle est très longue, et ne commence à parler de la question posée qu’après la moitié.

Comme article d’image des maths, je trouve qu’il est très bien, mais si l’auteur pensait inclure les élèves de troisième dans son public, je pense que c’est raté.

Je comprends ta critique, mais j’ai aussi du mal à voir comment ça aurait pu être mieux fait.

Après tout, cet élève posait cette question dans le but d’avoir une explication propre. Mais cela ne peut pas se faire sans un minimum de discours et c’est ce que l’auteur a voulu faire. Les quelques activités qui accompagnent permettent à l’élève de pratiquer pendant sa lecture, ce qui n’est pas inutile …

(Désolé de la réponse tardive)
Je ne sais pas, je ne suis pas convaincu par la mise en contexte : selon moi, ce qui est avant le calcul de $\sum \left(\frac 1 2 \right)^n$ est limite hors-sujet. 0.999… = 1, oui, mais j’ai du mal à voir le lien avec la choucroute. J’ai compris que le but est de donner du contexte sur le principe des sommes infinies, mais je pense que ça rajoute plus de confusions qu’autre chose.

Par ailleurs, je pense qu’au niveau pédagogie, il est important d’annoncer pourquoi on fait tous ces détours avant de s’attaquer au plat de résistance. Quand le détour est petit, ce n’est pas la peine, mais quand le détour est trop grand je pense que c’est obligatoire.

Edit : Bon après, comme je l’ai dit précédemment, Tom a reçu une réponse beaucoup plus courte ou largement différente et dans ce cas là ma remarque n’a plus lieu d’être. :)

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En simplifiant à gros traits

Je crois que tout est dit.

Les qualités de Villani en philosophe et historien des sciences sont assez médiocres et je comprends pas pourquoi il s’aventure dans se genre d’écrits.

C’est quand même affolant de voir un texte de pseudo histoire où l’on mêle une mauvaise méthodologie, mauvaise analyse et jugements personnels. C’est pas étonnant si cet article n’est pas dans la section d’histoire…

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Rapidement sur la première partie, histoire de pas faire un post trop long … mais tout est du même genre. Et j’ai même pas creusé pour vérifier ses affirmations non sourcées.

À la Renaissance, le latin s’impose comme la langue des échanges scientifiques internationaux, pour plusieurs siècles — Copernic, Galilée, Newton, Euler publient la plupart de leurs ouvrages majeurs en latin.

Internationaux … en Europe.

En parallèle, les écrits scientifiques dans les langues communes [2] se multiplient ; c’est ainsi que Galilée rédige en italien ses ouvrages scientifico-polémiques Il saggiatore et Dialogo sopra i due massimi sistemi del mondo, ou qu’Euler rédige en français ses « Lettres à une jeune princesse allemande ». Les premières revues scientifiques apparaissent à Paris et Londres au 17e siècle, et l’on y publie dans la langue du pays.

Ou comment se contredire au sein d’un même paragraphe.

Quand le latin passe de mode, les langues communes prennent leur envol.

Touche humoristique, j’espère.

Cependant, il n’était pas question d’utiliser toutes les langues communes ; la multiplication des obstacles linguistiques aurait entravé la circulation des idées. D’un autre côté, comme les lettrés européens étaient tous, à cette époque, plus ou moins polyglottes, ce n’était pas un problème de laisser plusieurs langues coexister.

Comment se contredire deuxième leçon.

Ainsi, en 1905, Einstein publiait tous ses célèbres articles en allemand dans Annalen der Physik, la plus importante revue de physique de l’époque. De fait, l’allemand était alors la langue dominante en physique et en chimie, tandis que le français avait le leadership en mathématique.

Comment faire des généralités à partir d’un seul exemple. Ce n’est pas parce qu’Einstein a publié en allemand que la physique se faisait en allemand (!).

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Épisode un peu baclé mais l’idée c’était juste de donner la définition du Kelvin.

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Épisode un peu baclé mais l’idée c’était juste de donner la définition du Kelvin.

ache
  • À quoi sert son exemple avec l’échelle Benamram ? Juste dire que les degrés Farenheit c’est nul ? Ouah, super argument scientifique
  • Pourquoi on a pris comme référence le point triple de l’eau et pas celui du méthane ?
  • Pourquoi le Kelvin a été choisi comme référence plutôt que le degré celsius en unité SI ?

Pour moi, cette vidéo est un échec dans le sens où après coup, je me dis que j’aurais préféré aller lire wikipedia.

Les précédentes étaient un peu mieux, mais là j’avoue qu’il y a plus de blagues pourries que de trucs intéressant sur les kelvins.

LudoBike

Les précédentes je me rappelle qu’a chaque fois je me suis dit qu’il manquait des infos intéressantes.

En gros il aime dire qu’un mètre c’est un mètre. Mais dès qu’il y a des questions moins évidentes comme « comment on fait pour vérifier qu’un mètre est un mètre » et bah là y a plus personne.

Sur le sujets des mesures, les vidéos de Veritasium sont bien plus instructives et agréables. Mais bon epenser a du s´en inspirer en rajoutant sa couche de lourdeur, d’ego et en retirant la partie scientifique

Il s’est planté dans la définition du point triple. À température ambiante, l’eau gèle à 0°C pile, mais le point triple de l’eau est à 0.1 °C et 600 Pa. Il a oublié de consulter wikipédia, qui donne la bonne réponse.

Puis il pointille sur le Celsius et le centigrade… J’ai préféré ne pas écouté la partie sur la couleur des température.

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