Ce sujet a été nettoyé. J'invite les intervenants à suivre cet excellent conseil de c_pages :
P.S. — Le sujet est hautement sensible et nous en avons tous conscience. De grâce, prenons tous le temps de mesurer nos mots et de peser chaque phrase. Il convient de mesurer ses propos.
@Arius : J'ai bien vu qu'un certain nombre de messages ont été masqués, par contre leur contenu est toujours visible dans les citations des autres messages
@qwerty : on est tous les deux utopistes, et on pense la même chose à propos de l'éducation
Je n'ai pas d'autres arguments à ajouter, je suis totalement d'accord avec zeql, Renault, victor, et les messages d'adri1 sur les deux dernières pages.
Exactement!
Pendant ce temps là, grosso-modo, on envoie des bombes et des flics tuer des terroristes (peut-être des civils) on interdit des jeux vidéo et on s'allie avec des pays dirigés par des fous furieux.
PS : Bien sûr, c'est très caricatural, mais je n'aime vraiment pas la guerre, à la limite dans les jeux-vidéos ou les films.
Exactement!
Pendant ce temps là, grosso-modo, on envoie des bombes et des flics tuer des terroristes (peut-être des civils) on interdit des jeux vidéo et on s'allie avec des pays dirigés par des fous furieux.
Après, ce que je disais, c’est ce qui fallait faire en amont, avant que cela nous pète à la gueule (désolé du mauvais jeu de mot :/). On se voilait la face (rhaa, pas fait exprès, désolé !) durant des années, en laissant Daesh grandir.
Quelques ressources pour réfléchir (à lire dans l’ordre, du plus au moins intéressant, et selon votre motivation de lecture) :
Abdelhamid Abaaoud formellement identifié parmi les victimes de l’assaut à Saint Denis, un grand merci aux renseignements marocains. Au moins un SR dont les infos sont assez fiables.
Bon, par contre le décès est regrettable ne fût-ce que pour l'obtention de renseignements et le procès qui aurait fait suite.
En tout cas, c'est maintenant chose (quasiment faite) : la France sera un État policier pendant les trois prochains mois.
Méfions-nous de nos députés, qui deviennent de plus en plus fous à l'Assemblée. Les débats de ce matin font largement aussi peur que des fous armés d'armes de guerre — sans vouloir bien sûr minimiser la douleur et le chagrin des victimes des attentats.
Attendons de voir s'il y a des dérives et les mesures prises par l'ordre judiciaire.
Rassurez-vous, le syndicat de la magistrature est extrêmement méfiant quant à cet état d'urgence et les problèmes potentiels et fort heureusement, les magistrats, même dans la présente situation, gardent une grande influence. Ils ont déjà eu une altercation avec le/un syndicat de police de mémoire.
Méfions-nous de nos députés, qui deviennent de plus en plus fous à l'Assemblée. Les débats de ce matin font largement aussi peur que des fous armés d'armes de guerre
Méfions-nous de nos députés, qui deviennent de plus en plus fous à l'Assemblée. Les débats de ce matin font largement aussi peur que des fous armés d'armes de guerre
Bien sûr, mais elle est plus étroite qu'on ne le pense. Rien qu'à voir l'amendement signé (par rapidement retiré) par 21 députés, proposant que l'exécutif puisse contrôler a priori les publications de la presse, on s'inquiète déjà.
Je reconnais que la formulation est provocatrice, mais à mon sens, il est tout à fait crucial de surveiller de très près les décisions de nos élus et de nos ministres.
Le journal Le Monde a confirmé à de multiple reprise lors de son direct que la partie « contrôle de la presse » prévu par l'état d'urgence actuel n'était pas inclue dans le décret officiel.
À Paris, je en sais pas, mais là où je suis, il n'y a aucune différence visible. On est moins controlé que je ne l'étais en janvier dernier (à Paris, par contre).
Le côté guerre, ou même état d'urgence, me semble d'ici très lointain. Le seul truc (non négligeable, certes), ce sont les perquisitions administratives dont j'entends parlé dans les journaux.
Attendons de voir s'il y a des dérives et les mesures prises par l'ordre judiciaire.
Rassurez-vous, le syndicat de la magistrature est extrêmement méfiant quant à cet état d'urgence et les problèmes potentiels et fort heureusement, les magistrats, même dans la présente situation, gardent une grande influence. Ils ont déjà eu une altercation avec le/un syndicat de police de mémoire.
Méfions-nous de nos députés, qui deviennent de plus en plus fous à l'Assemblée. Les débats de ce matin font largement aussi peur que des fous armés d'armes de guerre
Bien sûr, mais elle est plus étroite qu'on ne le pense. Rien qu'à voir l'amendement signé (puis rapidement retiré) par 21 députés, proposant que l'exécutif puisse contrôler a priori les publications de la presse, on s'inquiète déjà.
En même temps, sans soutenir l'amendement, la presse pose quand même un sacré problème. Entre le fait :
que l'on nous balance des images et témoignages choquants 24/24H depuis 4 jours, ce qui crée un climat de terreur et accessoirement fait de une pub monstrueuse au terrorisme.
que l'on interroge toujours les mêmes musulmans qui disent qu'il ne faut pas faire d'amalgame, chose contradictoire quand ont met en avant que l'acte est condamné par TOUTE la communauté.
que même les premiers jours après l'attentat, les journalistes incitent les politiques à se confronter
que les journalistes dérangent les opérations en suivant de trop près les forces de l’ordre (des vidéos circulent d'ailleurs…)
que les journaux publient des photos du carnage et sans même flouter les corps !
Étant donné qu'on ne peut pas compter sur le sens de l'éthique ou même le sens de la réflexion de certains journalistes, il faudrait qu'il y ait des contrôles exceptionnels pendant ce genre d'évènement.
Attendons de voir s'il y a des dérives et les mesures prises par l'ordre judiciaire.
Rassurez-vous, le syndicat de la magistrature est extrêmement méfiant quant à cet état d'urgence et les problèmes potentiels et fort heureusement, les magistrats, même dans la présente situation, gardent une grande influence. Ils ont déjà eu une altercation avec le/un syndicat de police de mémoire.
Je veux bien que tu écrives que le Syndicat de la Magistrature reste un rempart contre tel ou tel débordement. Pourquoi pas, chacun a le droit de faire de l'humour et de l'ironie.
Mais ce serait bien d'enlever le bandeau 'Staff' quand tu écris ce genre de message.
T'es pas obligé d'être sarcastique, ça ne rend pas ton argument valide (quel argument d'ailleurs ? Tout ce que tu lui dis c'est qu'il a tort et puis c'est moi que j'ai raison na !)
Méfions-nous de nos députés, qui deviennent de plus en plus fous à l'Assemblée. Les débats de ce matin font largement aussi peur que des fous armés d'armes de guerre
Bien sûr, mais elle est plus étroite qu'on ne le pense. Rien qu'à voir l'amendement signé (puis rapidement retiré) par 21 députés, proposant que l'exécutif puisse contrôler a priori les publications de la presse, on s'inquiète déjà.
En même temps, sans soutenir l'amendement, la presse pose quand même un sacré problème. Entre le fait :
que l'on nous balance des images et témoignages choquants 24/24H depuis 4 jours, ce qui crée un climat de terreur et accessoirement fait de une pub monstrueuse au terrorisme.
que l'on interroge toujours les mêmes musulmans qui disent qu'il ne faut pas faire d'amalgame, chose contradictoire quand ont met en avant que l'acte est condamné par TOUTE la communauté.
que même les premiers jours après l'attentat, les journalistes incitent les politiques à se confronter
que les journalistes dérangent les opérations en suivant de trop près les forces de l’ordre (des vidéos circulent d'ailleurs…)
que les journaux publient des photos du carnage et sans même flouter les corps !
Étant donné qu'on ne peut pas compter sur le sens de l'éthique ou même le sens de la réflexion de certains journalistes, il faudrait qu'il y ait des contrôles exceptionnels pendant ce genre d'évènement.
Méfions-nous de nos députés, qui deviennent de plus en plus fous à l'Assemblée. Les débats de ce matin font largement aussi peur que des fous armés d'armes de guerre
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