J’ai pris l’analyse de texte pour ma part. Je conclus par un truc du genre : l’erreur n’est pas ce qui empêche d’atteindre la vérité (et donc le bonheur) mais c’est ce qui permet d’atteindre une sorte vérité propre à l’homme, alternative à la réelle vérité et relative au temps et donc à l’évolution de la vie.
En gros ma conclusion ressemble à ça. Par contre j’ai pas entièrement lié ça au cours je trouve, on verra bien les notes.
Je me suis imaginé deux secondes entendre quelqu’un dire ça de vive voix, et depuis, je ne peux m’ôter l’idée qu’il faut avoir beaucoup de grammes dans le sang pour sortir une phrase pareille.
Dis comme ça ça peut paraître un peu n’importe quoi mais ça l’est pas tellement je trouve. À cause (ou grâce selon l’auteur) des erreurs, on n’atteint pas la vérité (monde des Idées, donc bonheur, toussa toussa), mais plutôt un stade inférieur (qui peut ne pas être en raccord avec la vérité, on peut être sur des mauvaises pistes dans certains domaines) de la vérité et ce stade évolue avec l’espèce humaine. En gros ce qui fait partie de la vérité scientifique maintenant va être démontré faux plus tard et donc notre vérité va évoluer (peut-être dans le mauvais sens, qui sait). En tout cas c’est comme ça que je l’ai compris.
Après, il n’a pas été très direct dans son document non plus, donc c’est normal qu’on le soit pas non plus.
Non, les gens ils veulent apprendre les formules par cœur, c’est comme en maths.
Les dérivées, c’est pas difficile, une fois que tu connais les formules par cœur tu peux retrouver le signe de la fonction. Euh… le sens de variation. Euh ouai ch’ai plus mais reste que c’est facile.
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