[Demande de contributions] Participez à un atelier de programmation ZdS !

A l'occasion de la sem... wait, vous savez ?

a marqué ce sujet comme résolu.

Au fait, je vois Nohar parler d’évènement "reproductibles aux frais de l’asso", je pense que ces frais peuvent être proches de 0 selon les circonstances. Si on le propose à des collèges / lycées par exemple, il est fort probable qu’on nous prête une salle en échange de la gratuité de l’évènement accessible pour leurs élèves, d’autant plus si cela leur est proposé sur leur temps scolaire / périscolaire (= déjà couverts en assurances). Si les animateurs sont des bénévoles de ZdS, je pense qu’il n’y a pas d’autres frais.

J’aime beaucoup l’idée et ça peut apporter un peu de publicité auprès de ZdS.

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qu’on nous prête une salle en échange de la gratuité de l’évènement accessible pour leurs élèves

Bibou

Dans le cas présent, l’évènement doit impérativement être gratuit. C’est donc juste pour les reproductions que cette idée peut être intéressante.

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Par contre dans les collèges/lycées ça me semble pas jouable au début. On va nous dire "oui oui" sur l’intention, mais au moment de le réaliser y’a toujours trouzemille complications (selon les dires d’un proche qui est enseignant et qui organise régulièrement des projets dans les collèges) : du style "vous n’êtes pas agréés dans notre académie". C’est une grosse machine administrative, avec tous les étages bureaucratiques possibles pour freiner les choses.

C’est pour ça que je préfère ne pas compter sur l’EN au départ. Cela dit il y a forcément des initiatives possibles dans les communes : les médiathèques sont souvent preneuses, et puis il y a peut-être d’autres structures (clubs informatiques ?) qui ont des locaux et peut-être même du matériel à prêter ou louer si on leur demande gentiment. Si tout le monde dans la communauté jetait un oeil/toquait à quelques portes autour de lui, je suis sûr qu’on pourrait trouver pas mal de structures qui sont preneuses, éparpillées un peu partout.

Dans le cas présent, ça s’inscrit dans un événement européen : ça vaut le coup de voir s’il y a déjà des communes qui ont prévu quelque chose pour cet événement, et essayer de s’y greffer, par exemple.

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qu’on nous prête une salle en échange de la gratuité de l’évènement accessible pour leurs élèves

Bibou

Dans le cas présent, l’évènement doit impérativement être gratuit. C’est donc juste pour les reproductions que cette idée peut être intéressante.

Dwayn

Oui bien sûr, c’etait des plans sur la comète pour « dans longtemps ». Dans le cas présent il me paraît logique que l’evenement soit ouvert à tous, et pas juste aux élèves d’un établissement en particulier.

@Nohar C’est vrai, c’est un aspect que je ne maîtrise pas (j’organise mes événements toujours dans le même lycée donc je n’ai jamais eu l’occasion d’avoir à convaincre d’autres établissements).

Dans tous les cas je ne parlais pas de l’evenement d’octobre financé par l’UE.


De quoi est ce qu’on a besoin prioritairement (je veux dire, si j’ai du temps libre cette semaine, je peux faire quoi pour aider) ?

Je peux essayer de réfléchir à un atelier si ça intéresse du monde.

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Je pense qu’il y a plusieurs façons d’aider :

  • Brouillons d’ateliers:

    • Vous avez un sujet en tête ?
    • Essayez d’imaginer un atelier avec des slides.
    • L’atelier nécessite-t’il du matériel pour le suivre ?
    • Comment le public y participe-t’il ?
    • À quel contenu(s) du site votre atelier peut-il faire référence ?
    • Présentez un brouillon sur ce sujet pour faire participer les gens, on l’améliorera tous ensemble.
  • Choses "communes" qu’on peut préparer pour tous les ateliers à la fois :

    • Slides de présentation de Zeste de Savoir (communauté et site web).
    • Préparer un discours qui donne une image catchy et sympathique dès le premier contact.
  • Trouver des lieux potentiels.

    • Se renseigner autour de soi, aller voir les mairies, médiathèques, assos locales qu’on pourrait contacter : 10 ateliers à Trifouillis-Les-Oyes valent mieux qu’un seul à Paris.
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Le tutoriel sur RSA pourrait donner un atelier rigolo, avec des personnes réparties dans plusieurs pièces et d’autres interceptant les messages. Il s’agirait de reproduire la même histoire que racontée ici.

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Up !

Il nous reste environ 4 semaines avant la deadline. Rien d’urgent donc, mais je réveille un peu, pour essayer de voir comment on peut avancer.

Je n’ai pas exactement compris, ceci dit, ce que tu entendais, @Nek , par "zérothon". Peux-tu le préciser, s’il te plaît ?

Bonne inspi ;)

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Personnellement, je n’ai pas avancé d’un pouce ces dernières semaines, ni sur ce sujet, ni sur ZdS au sens large. Je vais me dégager du temps dans les prochains jours pour faire avancer le schmilblik.

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J’ai esquissé des plans pour deux ateliers :

  • Des algorithmes à la science de données
  • Chiffrer ses messages avec RSA

Mais rien de suffisamment sérieux pour être partagé. Je regarde ça ce week-end.

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Après réflexion, je serais disponible en partie sur le période, je peux donc venir aider à animer un atelier, de préférence en région parisienne, même si je peux éventuellement me déplacer. Je suis compétent pour traiter de la programmation en général, certains langages en détail (sûrement pas nécessaire ici), du réseau et de tout ce qui est développement électronique sur les plateformes que je connais.

In fine, si le.s sujet.s choisi.s par l’association relève.nt de mon domaine de compétence, et corresponde.nt à mes disponibilités et à ma zone géographique, je me mentionnerais de moi-même au moment voulu (après décision de la communauté). En attendant, j’aimerais lancer les propositions (plus concrètes, j’entends), en présentant la mienne, sur la découverte du réseau.

Découverte du cœur d’Internet

Durée : environ une après-midi

Lieu : à déterminer

Animateurs : moi-même, et au moins 1 autre

Présentation

L’idée est de proposer un atelier – c’est-à-dire que j’entends ici que la majorité du travail intellectuel est effectué par les participants, au travers d’activités, plutôt que données par nous, à travers des slides. Initialement, il est à destination des jeunes – même si j’en viens à penser que les concepts présentés ne sont pas toujours connus des adultes. L’atelier présenterait les bases de la formation d’Internet, en particulier expliquer le principe de décentralisation du réseau.

En pratique, l’idée est que chacun commence avec une machine (un mini-ordinateur), qui n’est connecté à rien, puis se connecte progressivement pour finir par un réseau formé de tous les participants. Le réseau serait simplifié, afin que tout puisse être compris, c’est pourquoi il n’est pas prévu d’utiliser directement des ordinateurs, qui sont des machines par définition obscures pour le commun des mortels.

Première partie : quelques bases

Sûrement la partie la plus théorique (et la plus ennuyante) de l’atelier, puisqu’il s’agit ici de présenter les concepts important à connaître pour la suite. En particulier, les bases du codage de l’information sont indispensables, c’est-à-dire le binaire, et le fait qu’il peut tout représenter selon comment on l’interprète.

J’utilise souvent l’analogie du langage pour ça, les mots qu’on connaît veulent dire quelque chose pour nous, mais rien pour les non-francophones : la langue est un code. Il en est de même d’une suite de 0 et de 1, dont le sens n’est pas dans l’essence même de la suite, mais bien dans son interprétation selon des règles. Il est possible même d’aller plus loin en prenant un mot qui signifie quelque chose chez nous, et tout autre chose dans une autre langue : la même suite de lettre peut représenter deux concepts distincts. Pour la suite binaire, elle est à la fois une image et un son, sans que ces termes ne se contredisent.

Pour finir cette partie, il me semble (voir « Discussion ») appréciable de distribuer des tables en Morse / des tables ASCII simplifiées (uniquement l’alphabet, par exemple) à chacun, afin qu’ils puissent ensuite communiquer en binaire avec leur machine.

Deuxième partie : mise en place des machines

Chaque participant devient le maitre d’une mini-machine (un ordinateur, mais basique) ; en pratique, cette mini-machine n’est qu’un bouton (le clavier, simplifié), avec une petite lumière – une LED (l’écran). La machine seule ne peut rien faire – le clavier ne communique pas avec l’écran. Il faut donc la faire fonctionner : en réalité, on relierait un processeur entre les deux, mais comme ce n’est pas le but de l’atelier, un simple bout de câble fera l’affaire. À la fin de cette partie, chacun dispose d’une machine qui allume une LED quand il appuie sur le bouton – il peut donc commencer à coder des signaux relevant de différentes interprétations.

Rien de passionnant dans cette partie, mais elle est nécessaire pour la suite, et montre aux participants qu’un ordinateur ne fonctionne pas « seul ». Pour la rendre plus sympa, on peut imaginer faire une petite introduction historique sur l’ordinateur à la fin de la première partie ; l’idée est de laisser l’autonomie arriver tranquillement, et de ne pas les laisser directement seuls devant leurs machines.

Troisième partie : lien direct entre machines

C’est ici que commence véritablement l’atelier : avec le matériel à disposition, il faut réussir à envoyer des messages à son voisin. Normalement, l’idée de connecter mon bouton à la LED de mon voisin viendra directement, puis celle de faire l’inverse, et c’est ainsi qu’on crée un lien simple entre deux machines.

La transition pourrait consister à dire qu’on ne peut pas relier tous les ordinateurs de la planète avec des câbles entre chacun d’entre eux, et, selon le niveau de l’auditoire, de faire calculer combien de câbles il faudrait pour relier tous les participants.

Quatrième partie : le routeur

À partir de là, il faut introduire une machine magique : un routeur – on ne l’introduit pas comme ça, évidemment, il faut expliquer son fonctionnement dans les grandes lignes ; notons d’ailleurs que ce n’est pas un vrai routeur, puisqu’il ne route pas automatiquement. Les participants vont, s’ils comprennent notre explication – c’est là qu’il faut être bons, instinctivement relier leurs machines à un routeur, et être en mesure d’avoir un réseau local.

Petite note sur les mini-routeurs : il faudra coder manuellement l’adresse à qui envoyer le message – encore une fois, pour des raisons de compréhension. Pour ça, le mieux est de demander aux participants de le faire eux-mêmes afin qu’ils se rendent compte que celui qui à la main sur le routeur fait ce qu’il veut avec les paquets qui transitent.

Ensuite, il faut suggérer aux participants de connecter leurs routeurs entre eux pour obtenir un réseau global : Internet. Soit l’atelier s’arrête ici, et on peut laisser les participants bidouiller un peu et s’amuser avec leurs réseaux, soit on va un peu plus loin.

Bonus : idées en vrac

Plus loin, d’après moi, ça veut dire :

  • soit introduire le MoDem, qui permet de communiquer en direct avec les lignes téléphoniques ;
  • soit introduire le réseau fibré ;
  • soit proposer une démonstration de communication par les ondes ;
  • soit une machine qui contrôle automatiquement le routage des paquets (mais compliqué) ;
  • soit une machine de filtrage pour introduire aux problèmes de censure (un firewall, en pratique).
  • autre chose ?

Modalités d’organisation

Organisation générale

Il faudrait au moins plus de 4 participants pour que l’atelier soit un peu intéressant, et au maximum 16 pour que ce ne soit pas le bazar. Le Meet and Code dit que l’atelier doit cibler les 8 – 24 ans : je n’ai pas d’expérience de vulgarisation et gérer des enfants vraiment jeunes me semble compliqué (< 12 ans), d’autant que les activités proposées ne sont peut-être pas accessibles aux très jeunes ; si quelqu’un se sent de la faire, alors il peut venir avec moi, il me faut de toute façon au moins une autre personne pour m’épauler dans la présentation et l’organisation.

Matériel nécessaire

Au niveau du matériel, tout serait a priori fait maison (pas très long), et réutilisable pour faire le même atelier (ou plus poussé), dans le futur. Les coûts me semblent très raisonnables et bien inférieurs à 500 euros (pas de chiffre précis tant que je n’ai rien posé, mais 150 euros est un ordre de grandeur raisonnable). Je suis disponible pour concevoir les machines et routeurs tant au niveau de l’ingénierie que de la réalisation.

Originalité et réponse aux critères

Pour la date, les délais sont plutôt courts, mais j’imagine qu’il n’y a rien d’impossible si ma proposition est retenue assez vite, en particulier si les ateliers se tiennent mi-octobre.

Pour le thème, il ne traite pas de la programmation mais rentre bien dans « l’apprentissage des nouvelles technologies », je pense qu’il passe, donc. De toutes façons, il fait connaître une association portant sur ce thème, donc on peut tricher là-dessus (avis à ceux qui veulent présenter du droit, par exemple, si ça traite du droit de l’informatique, on peut s’arranger ; on pourrait raisonner pareil pour nombre d’autre domaines).

Comme je le disais plus tôt, le budget passe largement, je peux fournir la BoM (la liste du matériel nécessaire à l’association s’il faut, et même passer la commande moi-même, si c’est pas chiant administrativement).

Pour les autres critères :

  • territoire français : CHECK ;
  • jeunes de 8–24 ans : CHECK à peu près (je pense qu’il n’est pas nécessaire de couvrir tout la gamme d’âge) ;
  • assurer la tenue de l’évènement : CHECK, sous réserve de quelqu’un d’autre.

Je pense que cet atelier est intéressant et permettra à chacun soit de découvrir Internet, soit d’apprendre comment il fonctionne en interne. À ma connaissance, ce genre de simplification n’a jamais été faite, alors que la simplification à l’extrême du fonctionnement des ordinateurs et routeurs permet, je pense, une bien meilleure compréhension par le public (et nous-même).

Présentation technique

Pour les plus électroniciens d’entre vous, je propose une présentation succinte des modules créés pour l’occasion.

La mini-machine

Une plaque de CI (plus authentique, et moins cher), avec une LED (+ résistance), et un bouton poussoir (+ anti-rebond), la LED reliée au pin externe Rx du module, et le bouton au Tx.

Liste des E/S : une alimentation (déjà connectée), un pin réception (Rx), et un pin émission (Tx)

Le routeur

C’est un simple multiplexeur / démultiplexeur numérique, à base probablement de circuits logiques 40xx ou 74xx selon ceux qui seront les moins chers (petite vitesse de transmission, donc les CD4000 sont accessibles ici, et moins chiants au niveau alimentation). J’ai pensé aux circuits programmables, mais n’ait pas le matériel pour les programmer (CPLD, FPGA) ou simplement pas envie de m’embêter pour quelque chose de si simple (µC).

Liste des E/S : 2N bidirectionnelles (2N : Rx + Tx N), où N est le nombre de machines connectables (penser que le routeur qui suit est une machine).

Divers

Des câbles (beaucoup) croisés fait main, avec des connecteurs Dupont (facile à connecter / déconnecter et très solide).

Un MoDem est une simple machine de transformation, en fait je pense qu’il suffit de mutualiser Rx/Tx sur une seule ligne.

La fibre n’est pas plus complexe qu’un câble, il faut un laser à un bout et un récepteur à l’autre.

Par les ondes, on peut prendre un petit module 433 MHz, où (plus rigolo) faire un circuit à la main à transistors pour la communication radio (je vous ai déjà dit que j’adorais l’analogique?).

Une machine de routage implique forcément traitement du contenu des paquets – et se rapproche donc du fonctionnement réel du routeur – et donc a minima un microcontrôleur, de même pour le filtrage a priori.

Discussion

N’hésitez pas à me donner vos commentaires, si ce projet ne peut pas servir pour ce Meet & Code, je le mettrais peut-être en place de ma propre initiative ; en particulier, je m’interroge sur les points suivants :

  • faut-il donner des tables Morse ou ASCII aux participants (le Morse déforme le binaire, mais on peut imaginer : - → 1, . → 0) ?
  • l’idée de tout simplifier de façon fonctionnelle vous semble-t-elle une bonne idée ? Est-ce trop complexe et devrait-on donc faire une simple simulation par ordinateur ?
  • dans la même veine, la communication binaire est-elle nécessaire ou un port série en tant qu’entrée / sortie peut-il être un moyen plus simple de communiquer qui ne dénature pas le propos ?
  • quel public peut-on réellement viser ? Quel public peut-on réellement espérer ?
  • serait-il intéressant de lier cet atelier avec d’autres – particulièrement de programmation ?

Sur ce, j’ai trop écrit, c’est à vous.

+8 -0

Merci à toi @TAlone pour cette proposition d’atelier très concrète. C’est bien détaillé et bien réfléchi.

Pour essayer de répondre a tes questions, je dirai :

faut-il donner des tables Morse ou ASCII aux participants (le Morse déforme le binaire, mais on peut imaginer : - → 1, . → 0) ?

Perso, et de manière très subjective, je partirai sur des tables ASCII directement. Il y a de grandes chances que ce soit ça qu’ils revoient plus tard quand il feront réellement de l’informatique.

l’idée de tout simplifier de façon fonctionnelle vous semble-t-elle une bonne idée ? Est-ce trop complexe et devrait-on donc faire une simple simulation par ordinateur ?

Là encore, pour le coté pratique de la chose (et aussi s’éviter des problèmes techniques éventuels) je serai parti sur une simulation par ordinateur. Si le but est d’aider les jeunes a découvrir le code, on s’éloigne déjà un peu de leur acquis (ordinateur avec clavier et écran classique) et j’ai peur qu’à la fin ils ne comprenne pas directement le lien avec internet lui même.

quel public peut-on réellement viser ? Quel public peut-on réellement espérer ?

C’est a nous de définir le public qu’on veut viser en fonction de l’atelier. Là comme ça, je dirais que ton atelier vise un public entre 16 et 20 ans. Car de ce que j’ai pu observer, en dessous de 16 ans (troisième et avant) les élèves sont surtout intéressé par des choses très visuelles et pas trop long à dérouler. Là ton atelier demande une mini réflexion pour faire le lien entre internet (qu’il "connaissent") et un échange de messages entre deux machines.


Ceci dit, de manière générale, j’ai l’impression que cet atelier qui est très intéressant à monter et à réaliser n’est pas celui qui colle le plus à meetAndCode. De ce que j’ai pu lire, meetAndCode se rapproche plus de de la programmation que du réseau. Mais comme quelqu’un l’a dit ici, meetAndCode n’est qu’un prétexte finalement pour que Zeste de Savoir puisse mettre en place des ateliers et maturer ce genre de projet. En tant que trésorier de l’asso, je serai ravi de voir un tel projet financé par l’asso.

Voilà pour moi.

Là encore, pour le coté pratique de la chose (et aussi s’éviter des problèmes techniques éventuels) je serai parti sur une simulation par ordinateur. Si le but est d’aider les jeunes a découvrir le code, on s’éloigne déjà un peu de leur acquis (ordinateur avec clavier et écran classique) et j’ai peur qu’à la fin ils ne comprenne pas directement le lien avec internet lui même.

D’où l’idée éventuelle de prendre un port série comme entrée (et donc un écran réel comme sortie), qui résout ton problème de problèmes : pas d’abstraction des E/S – ils connaissent le matériel ; notons aussi que mon problème de table ASCII est résolu (inutile), et dans le même temps conserve un objectif de l’atelier : le réseau, c’est aussi du hardware ; je trouve que sans brancher de câbles, on s’éloigne beaucoup du réseau réel.

Deuxième point mineur qui concernait l’accès à l’atelier : il est bien plus simple à mettre en œuvre car ne nécessite pas d’ordinateurs ; là, tout dépend donc d’où il faut présenter l’atelier. Aussi, cette solution croisée informatique / réseau me plaît beaucoup, mais elle est un peu plus chère (convertisseur USB / série car les ports série se font rare de nos jours).

Ceci dit, de manière générale, j’ai l’impression que cet atelier qui est très intéressant à monter et à réaliser n’est pas celui qui colle le plus à meetAndCode.

Alors là aussi ça se discute, j’en parle dans mon message initial, et je pense qu’il peut rentrer dans les critères, même s’il n’est pas le meilleur à financer ; si d’autre propositions qui collent plus arrivent, on peut imaginer : greffer mon atelier à un autre, avec d’éventuelles adaptations ou le monter indépendamment par la trésorerie de l’association ; en l’absence d’autres projets, je pense qu’il est suffisamment détaillé et en rapport avec le thème pour décrocher la subvention au nom de l’asso., mais je ne connaît pas le jury qui rendra la décision finale.

En tout cas, merci pour toutes tes remarques intéressantes, que j’ai lues mais si je ne répond pas à tout ici.

+1 -0

Bonjour à tous,

Aujourd’hui j’ai reçu une autre comm' des gens de chez #meetandcode. Je la partage donc ici :

Aujourd’hui, nous souhaitons vous présenter un projet mené par l’association Pangolin dans le cadre de Meet and Code 2018, projet qui aura lieu à Grenoble, le 6 octobre 2018.

Durant cette journée, 4 ateliers seront proposés par l’association aux jeunes de 8 à 16 ans et à leurs parents pour expérimenter en famille d’autres usages du numérique. Au programme : Pixel art et photomontage, ateliers découverte de la programmation avec Scratch, de la robotique ludique, de la musique assistée par ordinateur

Vous souhaitez vous aussi proposer un événement et obtenir un financement de 500 euros pour l’organiser ? Soumettez vos projets avant le 15 septembre !

Bonjour,

Est ce qu’il faut avoir trouvé un lieu pour le 15 septembre ? Quelqu’un s’en est préoccupé ?

Je rencontre des gens biens placés en informatique à l’Université Paris Sud (Paris Saclay) jeudi matin, pour parler de l’organisation d’évènements internes. Je peux (avec votre accord) aborder la question de trouver une salle à l’université pour un événement à nous. Ça serait localisé (s’ils acceptent) sur le plateau de Saclay ou aux alentours de la ville d’Orsay.

Je vois aussi qu’il y a eu peu d’ateliers rédigés, si cela manque je peux tenter d’en proposer un de plus. Éventuellement si d’autres veulent se joindre à moi pour faire ça ?

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